Donna Summer

INTRODUCTION : La conscience peut être définit comme étant le propre de l’homme, donc, la connaissance que l’homme a de lui-même, de ses pensées, de ses sentiments ou encore de ses actes mais aussi du monde qui l’entoure. Elle définit donc ce que l’Homme est : un être capable de penser, de se rendre compte de ses actes et de leurs conséquences. Elle donne à l’homme sa capacité d’analyser, de se juger ainsi que de juger les autres. C’est grâce à cette conscience

PHILOSOPHIE : Apprendre a penser par soi même Kant a expliqué un jour qu’on n’apprend pas « la » philosophie comme on apprend l’histoire ou la geographie , on ne peut qu’apprendre a philosopher L’acte de philosophie celon socrate se fait par le questionnement . Si l’ont en croit le dictionnaire Larousse , Philosopher serait l’action d’argumenter , de raisonner ainsi que de mediter . Quand au verbe penser , il est ecrit que ce cerait le fait de concevoir , reflechir et comme precedemment

plus en plus de civilisations au pluriel, notamment sous l'influence de Lévi-Strauss, comme ensembles cohérents et durables de règles, de savoirs et de mœurs, sans hiérarchie. cogito Mot latin signifiant « je pense ». L' intuition « cogito ergo sum », « je pense donc je suis », constitue pour Descartes la certitude première résistant au doute méthodique et, comme telle, le modèle de toute vérité. conscience morale Capacité propre à l'homme de pouvoir juger ses propres actions en bien comme

Lycée Municipal de Niamey TA Avril 2010 REPUBLIQUE DU NIGER Fraternité-Travail-Progrès MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE ET SUPERIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MESS /RS Exposé N°04 Groupe N°08 PŒUVRE : MEDITATION METAPHYSIQUE René Descartes résenté par : * Rimanatou Koba Abdrammane * Souleymane Moussa Ramatou * Nana Baraatou Harouna * Soumana Siddo Moustapha * Djibo

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Jules BLOT ------------------------------------------------- TLB Du latin pendere, « peser », ou pensare, « peser »,  « juger », la pensée regroupe un ensemble de phénomènes produits par l’action de l’esprit. Penser par soi-même c’est produire sans aucune influence du monde qui nous entoure. Il est également possible d’être influencer par des éléments intérieurs, les sentiments

" La science nous permet d'être comme maître de la nature " Descartes . La science est d'abord l'idée d'un avènement du savoir positif , c'est a dire la contemplation de ce qui nous entoure et l'interprétation de ce que nous en faisons . Grâce au cogito : "je pense donc je suis" qu'énonce Descartes, la science peut être une infinité d'interprétation qui conclut à la Raison. La nature ayant comme pouvoir de s'élaborer sans l'homme , les expériences peuvent démontrer ou montrer une certaine logique

confronté à des problèmes d'identité en lien avec la complexité du monde et de l'individu lui-même ? La psychanalyse ne serait-elle pas la clé de la découverte de sois ? L'homme un être qui pense et qui se pense, dérivant sur le célèbre cogito ergo sum, ou « je pense, donc je suis » de Descartes. Il a tout d'abord un sexe définit, il va de ce fait se façonner à ce que la société veut de lui en tant qu'individu masculin ou féminin. Il a conscience d'être un être social et va donc chercher à avoir

La mode est au fait « d’être soi-même », plusieurs publicités sollicitent le consommateur à « être lui-même », sans se soucier des autres, de la société, de la mode. C’est surtout un slogan crée pour faire vendre car en flattant l’ego du client, ce dernier se sentira unique, original, lui-même et bien dans sa peau. Le message transmis est d’être authentiques, spontanés, naturels… L’idée de pouvoir penser que je ne suis pas moi-même me parait peu crédible car je crois me connaitre donc je sais qui

Fiche de lecture Jean-Paul Sartre L'existentialisme est une humanisme 1. Si on prend l'exemple de l'objet en opposition a l'homme. On sait parfaitement pourquoi on crée un objet et à quoi il va servir. « On ne peut supposer un homme qui produirait un coupe-papier sans savoir à quoi l'objet va servir ». Lorsqu'on fabrique un objet on « s'est inspiré d'un concept et pour créer se coupe-papier on se réfère au concept de coupe-papier, et également à une technique de production préalable qui

entre le vrai et le faux. Outre cela, il est provisoire car il doit mettre en évidence les conditions de la certitude en retirant de la science, par exemple, tous les éléments ne relevant que du probable. Par contre, il n’affecte pas le cogito ergo sum (je pense donc je suis) car, si je doute que je doute, je doute encore et ainsi de suite jusqu’à l’infini. Dès lors, et dans la mesure où je suis certain de ma pensée, je puis affirmer que je doute car je pense et cela, indépendamment des nuisances