Donna Summer

l'âme. Les meditations sont une sorte d'approfondisement de la quatrième partie du Le discours de la méthode. Les objection presentées par les lecteurs: l'âme est une chose qui pense? Et est ce que Dieu existe? Les méditations Cogito ergo sum Comment peut on trouver la vérité sans une méthode de recherche? Sa métaphysique n'est pas un système mais un exercice de la pensée qui offre de nouveaux fondements à la science. La meditation se distingue radicalement de la recherche scientifique

personne n’est pas immuable, figé. Le sujet ne se réduit pas à une fonction (≠ Descartes) ni à une fiction (≠ Nietzche.) II/ LA CONSCIENCE : CHOSE PENSANTE. DESCARTES, le discours de la méthode. (Cf. Annexes, 1.) A) LA DECOUVERTE DU « COGITO ERGO SUM »  Ce « cogito » c’est l’apparition de la subjectivité à elle-même. Il intervient dans le contexte du projet de Descartes de refondation de la connaissance. Son ambition est de trouver un principe indubitable pour toutes les connaissances à venir

que cela est la première connaissance certaine qu’on peut acquérir. « je pense donc je suis -> cogito ergo sum » Je doute de tout : du sensible, des math et même de mon raisonnement. A chaque fois je prends du recul ( cf métaphore A). Cependant, une chose est certaine : je doute ! Je peux douter du sujet de mon raisonnement mais je ne peux pas douter que … je doute ! « cogito ergo sum » J’ai conscience de douter de tout et je ne peut pas le remettre en question . 1) La vérité performative

esprit ou une àme. Une réflexion est alors nécessaire pour déterminer ce que je suis réellement au-delà de ce que je prendre conscience dans l’instant. Après avoir émis cette série de doutes, je sais que je pense, car je suis, c’est le « cogito ergo sum », je pense donc je suis et inversement. Je suis donc ce que je suis au terme de notre réflexion Cartésienne et non ce que j’ai conscience d’être spontanément. Il est donc facile de faire erreur, mais seule la conscience propre peux se rendre compte

binaires, évidents. Quand je dis « on perçoit », ce « on » renvoie en fait au sujet pensant. Ainsi le 1 me semble être celui de la personne pensante, du sujet qui cherche à raisonner le monde. C’est ce fameux sujet défini par Descartes dans le Cogito ergo sum : le sujet pensant est l’unité de départ. J’adopte cette définition par facilité car je ne suis pas persuadée que la conscience conditionne l’existence. En revanche, elle conditionne la perception du monde. Dans l’ordre naturel, on perçoit donc aussi

2 LA CONSCIENCE 1 L•ES•S Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine

peut blesser. Cependant, la personne à qui je dissimule la vérité risque de l'apprendre autrement, et ainsi je perdrais la confiance qu'elle m'accordait. b- "Gogito ergo sum" dans le "Discours de la Méthode", Descartes explique qu'il réduit d'abord à néant ses "fausses certitudes" pour n'en conserver qu'une "cogito ergo sum", je pense donc je suis. il déduit de cet axiome d'autres vérités et, de ce fait, parvient à la Vérité. il s'agit cependant d'un travail extrêmement long et pénible, et

« Suis-je ce que j’ai conscience d’être ? » Perdre, reperdre, prendre conscience, la conscience est l’intuition plus au moins claire qu’à l’esprit de lui-même, des objets qui s’offrent à lui, ou de ses propres opérations. Mais la conscience touche tout d’abord l’individu lui-même, lorsque celui-ci prend conscience de son acte, ce qui nous renvoie au terme juridique de la responsabilité des actes « obligation de répondre de ses actes », mais il existe aussi la perte de conscience, sois le fait

La structure globale de la dissertation. Introduction – Développement – Conclusion. ------------------------------------------------- Introduction ------------------------------------------------- ⬇ ------------------------------------------------- Développement (1) ------------------------------------------------- Développement (2) ------------------------------------------------- Développement (3) ------------------------------------------------- ⬇ -------------------------------------------------

La vie intérieure Au cours du temps, différents mouvements et différents philosophes se sont succédés. Certains comme Platon, spiritualiste du IVème siècle av JC, pensent que l’esprit a plus de réalité que la matière et que ce qui nous définirait serait notre vie intérieure (la matière étant secondaire) : « Ce qui compte c’est le monde des idées ». Cependant, d’autres penseurs s’y opposent: C’est le cas de Lucrèce, matérialiste du IIème siècle av JC. Selon lui, la vie intérieure ne peut être