Dossier Vente Chanel

les différentes activités (BCG, ADL, Mc Kinsey…) et vérification de l’équilibre global 2 – Décisions stratégiques à partir du portefeuille - Phase de lancement (produit dilemme) : investir dans les capacités de production, étoffer l’équipe de vente, investir dans la communication et la distribution - Phase de croissance (produit vedette) : conserver la position acquise acquise en investissant de façon à rester leader ; éventuellement se tourner vers des marchés à l’exportation de façon à trouver

THEME 1 : DE L’ACTION COLLECTIVE A L’ORGANISATION  Dossier 1 : L’ACTION COLLECTIVE I - De la formation du groupe à l’action collective : 1) La formation d’un groupe : (doc 1) Un ensemble de personnes réunies ne suffit pas à former un groupe. • On parle de groupe organisé, lorsque les individus s’engagent collectivement dans une action en vue d’atteindre un ou plusieurs objectifs. • L’action collective, suppose donc la constitution d’un groupe dont les membres ont choisis d’agir de façon collective

de marketing .Un peu d'histoire .Le jour où les SkiDoo devinrent jaunes .La place de la publicité dans le marketing-mix b) L'importance de la publicité dans la transaction commerciale .Publicité et cycle de vie du produit .La publicité, acte de pré-vente c) Il y a publicité et PUBLICITÉ .Pour ou contre la publicité .Parler pour parler? d) Confrontation de deux stratégies e) L'heureux mariage de la publicité nationale et de la publicité locale .La diversité des possibilités .Une répartition convenable

contrôle des opérations de concentration. Les entreprises qui souhaitaient fusionner devaient notifier auprès de la DGCCRF qui avait le pouvoir de décider si cette concentration pouvait se faire ou non. Le conseil de la concurrence instruisait les dossiers de pratique anticoncurrentielle et jugeait en première instance avec notamment un pouvoir de sanction. Au sein du conseil de la concurrence, il y avait deux instances : • l'instance d'instruction composée de rapporteurs sous l'autorité

d’une présence sur Internet 17 Présenter son entreprise 17 Internet: un outil de communication institutionnelle 17 Internet: un outil relationnel orienté client 18 Internet: un outil de présentation de ses produits ou services Internet: un outil de vente 24 III. Adapter sa présence Web à son mix marketing A. Connaître son marché 30 B. Adéquation au mix marketing 31 C. Politique de produit 32 D. Politique de prix 33 E. Politique de distribution 34 F. Politique de promotion 37 G. Politique d’implication

Nos recommandations et notre projet P.50 A- Optimisation du canal internet pour Cartier P.51 1- Respecter l’image de Cartier P.51 2- Une offre produits adaptée P.53 3- Optimiser les services P.55 4- Des conditions de vente et P.57 de livraison à la hauteur de Cartier B- Style du site e-Cartier.fr P.62 -» Synthèse de nos différents outils d’optimisation P.65 du canal internet Conclusion P.67 Bibliographie P.68

Le FMI, intervient en injectant de l’argent sur les marché, il va réguler les crises et intervenir dans les pays en crises. Les traités des Nation unies, la convention de Viennes sur la vente internationales de marchandises. Avec cette convention, c’est du droit matériel international pour la vente de marchandise. La convention de Genève, sur la lettre de change, le billet à ordre et le chèque, convention de 1930 et 1931, et c’est convention permettent l’échange internationale. Se

(France) avec un CA de 4.2 Md€ Swatch Group (Suisse) avec un CA de 3.5 Md€ Ralph Lauren (USA) avec un CA de 3.5 Md€ Gucci Group (Italie) avec un CA de 3.4 Md€ Coach (USA) avec un CA de 2.4 Md€ Valentino F. Group (Italie) avec un CA de 2.2 Md€ Chanel (France) avec un CA de 2.2 Md€ Tiffany & Co (USA) avec un CA de 2 Md€ Hermès (France) avec un CA de 1.8 Md€ Giorgio Armani (Italie) avec un CA de 1.6 Md€ Prada (Italie) avec un CA de 1.6 Md€ Données 2007/2008 On remarque que toutes ces marques

fait il est nécessaire de commencer cette étude en précisant le sens exact du terme consommateur. Ce dernier peut être défini comme étant « un individu qui achète ou qui a la capacité d’achat de biens et de services qui lui sont offerts en vue de la vente par les institutions du marketing afin de satisfaire ses besoins et désirs. »1 Nous ne pouvons parler du consommateur sans citer le comportement du consommateur. Cette discipline s’occupe essentiellement du « processus de prise de décision des individus

inhérents à tout choix. D’autant plus que, pour de nombreux responsables d’entreprise, la communication publicitaire est un domaine ambigu, à la fois nécessaire et insaisissable. Elle est nécessaire car on ne peut rien faire sans elle : les réseaux de vente la réclament, la concurrence vous y oblige, la distribution vous fait dépérir sans elle. Mais c’est aussi un domaine difficile à maîtriser, aux coûts fabuleusement élevés, peuplé de personnages au profil déroutant, les créatifs, qui veulent faire parler