Double Conscience De Soi De Hegel

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans

ennemi, dans sa sincérité cruelle ou son indifférence à mon orgueil, ne peut-il pas être un juge plus implacable, et plus pertinent de mes actes ? Notre ami met en avant nos qualités, cependant fait-il le travail nécessaire pour que je puisse prendre conscience de mes défauts, de l’origine de mes erreurs ? C’est possible, mais ce n’est pas systématique. c) Le 3ème problème est que notre ami est un autre soi-même, c'est-à-dire qu’au-delà de l’altérité, cet ami nous ressemble. Puisque nous ne nous

même par introspection : Mon " moi " (autrement dit 'je') est à tout instant un état de conscience et n'est que cela. Il consiste en sensations, perceptions, souvenirs, sentiments, idées etc. Mon corps, comme le monde extérieur, ne me sont pas directement connus. Ils ne sont que sensations et perceptions. Ils ne sont donc que des états de conscience interprétés. - La caractéristique dominante de cette conscience est sa polarisation. Elle est à tout instant dans un état de valeur soit positive (joie

L’essentiel est enfin de se rappeler qu’un bon devoir de philosophie est avant tout un exercice de pensée par soi-même qui mobilise des références non pas par simple érudition, mais dans le cadre d’une véritable réflexion. Comme le rappelait en son temps Hegel : « La philosophie doit nécessairement être enseignée et apprise, aussi bien que toute autre science. […] Autant l’étude philosophique est en et pour soi une activité personnelle, tout autant est-elle un apprentissage. » C’est à cet apprentissage

de se le représenter contrairement a un cercle carré par exemple + rien ne nous empeche de désirer qqchose que nous PENSONS etre impossible B) Désirer l'impossible = Désirer être Dieu ( morale l'interdit + pour les athéistes , Il n'existe pas donc double impossibilité) C) Désirer l'impossible => peut etre dangeureux et mener a se déconnecter de la réalité, donc on est mm plutôt encourager à désirer autre chose que l'impossible III] Le désir de l'impossible n'est-il pas proprement humain ? A)

vision totalisante et rationnelle du monde : le mal ferait partie d’un dessein, serait l’un des éléments d’une téléologie dont il s’agirait simplement de déterminer les composantes pour se rassurer. 2.1.1. Hegel et la théorie de l’Esprit du monde Dans son ouvrage La Raison dans l’histoire, Hegel examine tout ce qui semble négatif non seulement dans l’individu luimême, mais dans l’Histoire, envisagée comme un ensemble. Sa réflexion repose avant tout sur le constat d’une omniprésence du mal : « l’histoire

civilisation. Jean-Jacques ROUSSEAU a montré comment l'humanisation se fonde précisément sur la naissance de l'amour-propre, lequel substitue le désir au besoin, et la rivalité inextinguible au simple instinct de conservation. Seul l'homme, dit encore HEGEL, peut tuer et mourir pour des idées ou pour l'honneur, pour une femme, pour un drapeau ; seul l'homme peut prendre plaisir au spectacle de la souffrance, ou rester sourd à toute compassion lorsqu'il s'agit de réaliser un plan historique ou messianique

solidaire. Point de départ mais point de départ seulement, puis-que, selon Foucault, cette interrogation kantienne s'est refermée sur un pro-jet ANTHROPOLOGIQUE qui, au lieu d'en demeurer à la MISE en QUESTION de l'ê-tre et de la LIMITE, va aboutir à HEGEL, à la pensée DIALECTIQUE, celle de la CONTRADICTION et de la TOTALITE.Néanmoins, KANT demeure fondamental, aux yeux de Foucault, parce que l'émergence de la notion de LIMITE implique un BOULEVERSEMENT de toute la pensée, dans la mesure où ce que la

travail selon Rousseau 5 Le mépris grec du travail 5 Le travail est nécessaire pour cadrer l’homme : un argument ambigu 6 B. Le travail comme moyen de libération 7 1. La maîtrise de la nature (Descartes) 7 Le travail comme processus d’humanisation (Hegel) 7 Le travail comme devoir moral (Kant) 9 4. La libération par la technique : la fin du travail ? (Marx) 10 C. L’aliénation par la technique 10 La technique affaiblit l’homme (taoïstes, Platon, Montaigne, Rousseau) 11 Ce qu’on possède nous possède

et la signification. »1[1] Dans l’histoire et sa progression, la crise correspondrait ainsi à un moment de bégaiement, un chaos, une rupture dans la progression. En fait, rien de plus problématique que la notion de « crise ». Car, qui depuis Kant, Hegel ou Marx pourrait encore croire qu’il y a une disjonction exclusive entre « crise » et « progrès » ? Toute la philosophie moderne a porté et pensé la crise comme un progrès dans l’Histoire, dans laquelle, du mal on a vu sortir un bien. Penser la crise