Double Conscience De Soi De Hegel

qu’historien. L’homme n’a pas simplement comme tout ce qui est et devient, une temporalité ( fait d’être dans le temps, soumis au temps et son érosion) , il a une historicité. Il a une histoire, c’est-à-dire qu’il devient dans le temps mais en ayant conscience d’être dans le temps, en étant cause entière ou partielle des changements qui forment son devenir ( ce qui n’est pas le cas des objets et même de la Nature, dont le devenir est le résultat nécessaire de lois) et aussi sans doute en ayant une certaine

Introduction : → Droit = règles qui organisent la société, il est de partout. Notion difficile à définir car permanente. → Double sens : - Droit objectif = ensemble des règles de conduite socialement éditées qui sont sanctionnées et qui s’imposent aux membres de la société ; vaste ensemble. - Droits subjectifs = prérogatives individuelles reconnues et sanctionnées par le droit objectif. Partie 1 : Etude du droit objectif Titre 1 : Identification de la règle de droit (= somme

phénoménologie apparaît sous Henri Lambert en 1734. Il lui attribue le sens de doctrine de l’apparence. Ce terme de phénoménologie est ensuite repris par Kant et surtout par Hegel. En 1807, Hegel fait paraître le célèbre texte « La phénoménologie de l’esprit » qui offre une histoire du développement progressif de la conscience, de la simple sensation jusqu’à la raison universelle. Mais, c’est avec Husserl, au début du 20ème siècle que la phénoménologie naît vraiment. Il ne s’agit pas réellement d’une

qui les différencie des besoins naturels et, plus encore, de l’instinct animal, lequel est dépourvu de conscience. Spinoza distingue en ce sens l’appétit du désir et dit de celui-ci qu’il est l’essence de l’homme. Précisons encore : les exemples de Hume montrent que la puissance du désir est incompréhensible si on l’isole abstraitement du milieu dans lequel elle se déploie. Comme le note Hegel, le bourgeois jouit moins des choses que de la représentation de lui-même qu’il obtient à travers elles

Le langage Introduction 1 I. Le langage est-il le propre de l’homme ? 1 A. Typologie des « signes » 2 B. L’arbitraire du signe 2 C. La double articulation du langage 2 D. Réaction et représentation 3 1. Le langage animal est un automatisme sensori-moteur 3 2. Le langage humain est représentatif et suppose la pensée 4 II. Langage et pensée 5 A. Peut-on penser sans langage ? 5 1. La pensée préexiste au langage 5 2. Pensée et langage sont indissociables

manifestée en deux temps, celui de la Première Guerre mondiale au cours de laquelle se sont affrontées les Etats européens, celui de la chute du totalitarisme communiste qui a mis un terme à tout projet d'affranchissement de l'homme par lui-même. Hegel n'en a pas moins légué un lieu commun à la politique moderne, celui de la relation dialectique entre l'Etat et la société civile. Dans son interprétation démocrate-libérale, c'est cette dernière qui l'a emportée avec le triomphe de la théorie libérale

le sujet peut-il connaître le vrai ? Descartes : je pense je suis : vérité subjective mais intellectualiste. Le sujet est humain, on postule une nature humaine : tous les sujets humain quelque soit leur culture peuvent chercher une même vérité → double universalité : universalité des sujets (nature humain) et universalité de la recherche de la vérité. On présuppose un homme naturel et non pas historique ou culturel → abord philosophique classique → abord intellectuel. b) l'inversion du rapport

la fantaisie créatrice.  Le principe de l’imitation est infondé Platon est donc bien sympa, mais, soyons sérieux, réduire l’art à un simple phénomène d’imitation est inconcevable et ne nous permet pas de saisir la véritable nature de l’art.  Hegel, dans son Esthétique a bien mis en évidence le caractère absurde de ce principe. Pourquoi, en effet, reproduire la nature une seconde fois ? N’est-ce pas une tâche superflue ? Ce que nous contemplons dans le monde, il n’est nul besoin de le reproduire

simple besoin. Le besoin est manque du nécessaire, « exigence ou nécessité naturelle ayant une cause physiologique ». Le désir, au contraire, est défini par Spinoza dans l’Ethique comme un besoin conscient : « le désir est l’appétit accompagné de la conscience de lui-même ». Ainsi, il est du domaine de la représentation, il appartient par essence au monde de l’esprit et donc à l’illimitation. En effet, si nos besoins sont naturellement limités, nos désirs sont par essence infinis, infiniment renouvelables

déconcertante de l’autre. Imprévisibilité. Agressivité subite, gentillesse soupçonneuse, comportements surprenants comme la grâce de l’amitié qu’autrui peut offrir dont on ne se sent pas nécessairement digne. En effet, autrui est caractérisé par une double structure : alter ego = figure contradictoire. Autrui est une autre intériorité qui est dans mon extériorité. (paradoxe) * Alter : l’autrui c’est l’autre, le différent, l’étranger, il est un autre que moi. En cela il peut une constituer une menace