Double Relation Banque

Les institutions a caractère national Bank al-Maghreb : La banque centrale du Royaume du Maroc, dénommée « Bank Al-Maghreb », est un établissement public doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle a été créée en 1959 en substitution à l’ancienne « Banque d’Etat du Maroc ». Les missions de BAM : Exercer le privilège de l’émission des billets de banque et des pièces de monnaie ayant cours légal sur le territoire du Royaume. Mettre en œuvre les instruments de la politique

départements de la BMCI : 15 Chapitre II. LA SATISFACTION DES CLIENTS : UNE APPROCHE CONCEPTUELLE 21 II.1. Qu’est ce que «  la Satisfaction des Clients » 21 II.2. Le paradigme de la confirmation des attentes : 21 II.3. Engagement d’une double relation : vers le client et les employés : 28 II.4. la satisfaction 29 II.5. La fidélité 33 II.6. Hypothèses 38 Chapitre III. ETUDE DE SATISFACTION DE la CLIENTELE DE LA BMCI SUR LA CARTE « REFLEX » 41 III.1. Problématique : 41 III.2

spécifiques de trésorerie (couverture de change, gestion de la trésorerie d'un groupe..). Environnement externe L'auditeur prend connaissance : des marchés financiers sur lesquels l'entreprise intervient ; ainsi que de ses principaux partenaires (banques, intermédiaires, etc.).  Organisation interne  L'auditeur s'intéresse à l'organisation mise en place et notamment aux différents services intervenant dans les opérations de trésorerie, à leurs attributions respectives et à leur place dans l'organisation

consistent à trier, saisir et enregistrer les données nécessaires à l’établissement des états de synthèse que sont le bilan et le compte de résultat. Ils sont bien évidemment liés aux relations commerciales B to B ou B to C, mais aussi aux relations des entreprises avec les salariés, les organismes sociaux, les banques et l’administration fiscale. La dématérialisation concerne les documents comptables ou extra comptables comme les factures, les documents sociaux et fiscaux, les pièces bancaires, les

Chapitre 1 : les fonctions et les formes de la monnaie 1. Le troc Avec le troc, un produit, bien ou service, s’échange contre un autre produit. Le troc pose le problème de la « double coïncidence des besoins ». Il implique une double correspondance entre la production et les besoins des personnes qui échangent. Il n’est possible que pour des échanges limités à quelques biens et services, entre un nombre peu important de personnes. Le troc n’est pas adapté à une économie de marché, caractérisée

amenés à se procurer des capitaux pour financer leurs activités économiques. I. Comment financer les activités économiques ? A. Capacité et besoin de financement Pour assurer le financement des activités économiques, il faut mettre en relation les agents économiques qui ont une capacité de financement et ceux qui ont un besoin de financement. Certains agents économiques ont des investissements supérieurs à leur épargne = besoins de financement. À l’inverse, d’autres agents, qui ont des

Banques et IFRS : un mariage de raison ? Les grands groupes bancaires européens cotés ont été disciplinés : ils ont, dans l’ensemble, suivi les recommandations des régulateurs boursiers et ont publié, dès le premier semestre 2005, des informations sur l’impact de la conversion en normes comptables internationales (normes IAS/IFRS). La nature et l’étendue de la communication au titre de l’exercice 2004 ont cependant été extrêmement variées. En effet, si certaines banques ont déjà établi leurs

manquant de liquidités peuvent pratiquer le troc, ils échangent en nature leurs produits exportés contre les produits importés. Au niveau national, le don existe bien sûr dans le cadre familial ou dans une optique caritative comme dans le cadre des banques alimentaires. Le troc se pratique avec les SEL (systèmes d’échanges locaux). 22 L’échange monétaire : L’économie d’échange et ses coûts. Il suppose la création de la monnaie. La création de la monnaie est fort ancienne. Dans un récit, Hérodote[3]

toutes les possibilités offertes par la mondialisation et le fait d’entretenir des relations étroites avec plusieurs banques capables de fournir les meilleurs services possibles, même à l’international, leur confèrent un avantage concurrentiel important, la banque intervient donc massivement dans les transactions commerciales internationales. Dans ce contexte, Les Etats ont pris conscience de l’importance de la banque dans la prospérité de leurs économies, et par conséquents de leurs nations, ce qui

Deux modèles économiques vont se succéder. Le premier, issu de la « doctrine Germain » qui recommande une spécialisation des activités bancaires. Le second dont le concept de « banque universelle » est à l’opposé du premier. Avec la loi bancaire de 1984, L’Etat français met sur un pied d’égalité les différentes banques en faisant disparaitre les monopoles. En harmonisant la fonction des différents établissements, le secteur bancaire devient véritablement concurrentiel. Les réformes de 1985 accentuent