Drame bourgeois

Lorenzaccio Auteur : Alfred de Musset (1810-1857) Date : 1834 Mouvement littéraire : Romantisme Genre : Théâtre Drame Romantique Les personnages : LORENZO : Au pur Lorenzo succède donc celui que les Florentins appellent Lorenzaccio, en ajoutant à son nom un suffixe marquant le mépris. Incarnant toute la débauche de sa ville, Lorenzo jouera donc un double jeu pendant toute la pièce, celui de « Lorenzino », héros romantique par excellence, empli d'idéaux, et celui de « Lorenzaccio », personnage

pièce présente deux aspects : - la satire, comme dans “Le bourgeois gentilhomme”, d’une bourgeoise saisie par la préciosité et le pédantisme ; - l'effet de ces défauts sur une famille qui, comme dans “Tartuffe”, est infiltrée et menacée d'expulsion par un escroc, mais libérée par le stratagème d’Ariste, avec le problème, habituel, chez Molière, du mariage d’un enfant pour lequel s’opposent les parents. La famille de Chrysale, bon bourgeois de Paris, est tétanisée par des contradictions morales, psychologiques

d’Harpagon (IV, 7). – Dans la comédie : le long monologue de Figaro, dans le Mariage de Figaro (V, 3). – Dans la tragédie ou la tragi-comédie : « To be or not to be ? », Hamlet ; les stances du Cid de Corneille (I, 4) ; Phèdre (III, 2 ; IV, 5). – Dans le drame romantique : le monologue de Cœlio à la fin des Caprices de Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo)

pièce présente deux aspects : - la satire, comme dans “Le bourgeois gentilhomme”, d’une bourgeoise saisie par la préciosité et le pédantisme ; - l'effet de ces défauts sur une famille qui, comme dans “Tartuffe”, est infiltrée et menacée d'expulsion par un escroc, mais libérée par le stratagème d’Ariste, avec le problème, habituel, chez Molière, du mariage d’un enfant pour lequel s’opposent les parents. La famille de Chrysale, bon bourgeois de Paris, est tétanisée par des contradictions morales, psychologiques

contrepoint et ouvrir le théâtre à d’autres arts visuels. Quant aux effets sonores, voix off et bruitages participent aussi de la représentation. Si le chœur est présent dès la tragédie antique, la danse et la comédie-ballet s’imposent avec le Bourgeois Gentilhomme, les ressources plus contemporaines de l’exploitation du son sont requises au service de la représentation. Ainsi Mesguish superpose-t-il les époques dans son Dom Juan et fait-il entendre en voix off le discours de Hitler à la fin de

Hippolyte, amour honteux qui la conduira à se donner la mort. Par ailleurs, le destin des héros de tragédie est d’autant plus incompréhensible que, souvent, ces héros meurent en pleine jeunesse. Tel est le cas d’Hernani, valeureux personnage éponyme d’un drame de Victor Hugo : il est assassiné juste avant sa nuit de noces par Don Ruy Gomès, un vieillard n'ayant plus que quelques années à vivre. De même, Antigone, l’héroïne de la tragédie d’Anouilh, sacrifie sa jeunesse et son amour pour Hémon au nom de l’honneur

CHAPITRE 8 • 1668-1669 : Molière revient, plus prudemment, à des comédies qui ridiculisent des bourgeois (avides d’argent, de reconnaissance sociale, d’un savoir usurpé, en proie à des lubies médicales). Il fait scandale en épousant la jeune sœur de Madeleine Béjart (qui passe pour être sa fille et le fait souffrir de jalousie). Sa rivalité avec Lully perturbe la mise en scène de ses derniers divertissements royaux, comédies-ballets jouées pour la cour. Épuisé, il meurt en scène en 1673. Sept

génériques (Études de mœurs,Études philosophiques, Études analytiques). L’écriture de l’ensemble s’échelonne de 1829, avec les Chouans, à 1850, avec les ouvrages inachevés à sa mort et complétés par Charles Rabou : le Député d'Arcis (1854), les Petits bourgeois de Paris, (1856), le Comte de Sallenauve, (1856), et aussi les Paysanspublié en 1854 par sa veuve, Évelyne Hanska. « Cette idée vint d’une comparaison entre l’Humanité et l’Animalité5. » L’ambition de l’auteur était de décrire de façon quasi-exhaustive

lui aussi un grand intérêt pour la danse, il était, d'ailleurs, lui même danseur. Il dansait sur scène, par exemple en 1654, il dansa dans la salle du Petit-Bourbon lors de la représentation des Noces de Pelée. La danse entrait dans l'éducation du bourgeois gentilhomme. Par la suite elle s'est professionnalisée et pour fixer les techniques qui se sont transmises de génération en génération, Louis XIV décida de créer l'Académie Royale de la Danse. De plus, Lully aussi était un bon danseur, et il l’en

comédies et des comédies ballets. Molière analyse et critique la société de son temps dans ses œuvres : 1659 : Les Précieuses ridicules 1662 : L’École des femmes 1664 : Le Tartuffe 1666 : Le Médecin malgré lui 1668 : George Dandin ; l’Avare 1670 : Le Bourgeois gentilhomme 1671 : Les Fourberies de Scapin 1672 : Les Femmes savantes 1673 : Le Malade imaginaire Malade depuis plusieurs années, Molière s’effondre sur scène durant une représentation du Malade imaginaire et meurt chez lui le 17 février 1673.