Drame bourgeois

"Le Bourgeois Gentilhomme" de Molière. 1) Résumé, acte par acte. ACTE I : Dans la maison de M.Jourdain, le maître de musique et le maître à danser discourent de la médiocrité du maître de maison, compensée, il est vrai, par l'ampleur de s bourse ; M.Jourdain n'est certes pas éclairé, mais il paie bien (scène1) ! Arrive M.Jourdain, qui fait longuement admirer sa riche tenue à ses professeurs, avant d'écouter la pastorale composée à son intention, qui constitue le premier intermède (scène2).

la société puisqu'il parle à travers un personnage. Enfin, le théâtre est accessible à tous, et permet une spectaculaire propagation des idées, par support écrit et surtout oral. La pièce de théâtre se diversifie en tragédies, comédies, drames bourgeois et romantiques, mais dans tous les cas, le dialogue reste le principal texte. Cette forme est très vivante, et l'auteur peut employer à travers les paroles des personnages un registre polémique et défendre ses thèses. Ce procédé est accentué par

sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous de la terre. » Il faut se rappeler que tout ce qui entoure le jeu des acteurs est fictif , le décor, les costumes, le maquillage, tout est faux. Les comédies-ballets notamment «Le bourgeois gentilhomme» de Molière est un genre ou (OU ACCENT) le beau et l’apparence sont amplifiéS jusqu’à L'excès, l’intrigue est mise au second plan pour laisser au spectateur la pleine vue du spectacle. Les ajouts scéniques auraient pour fonction de créer

du XXème siècle, Paul Valéry: "certains se font de la poésie une idée si vague qu'il prennent ce vague pour la poésie elle-même".Par ailleurs, une scène est restée célèbre dans le théâtre français : il s'agit de celle de Monsieur Jourdain dans Le Bourgeois Gentilhomme de Molière, scène dans laquelle le personnage découvrait avec étonnement grâce à sont professeur de philosophie que "tout ce qui n'est point prose est vers , et tout ce qui n'est point vers est prose". Ne devons-nous pas nous interroger sur

sur des conventions encore largement utilisées dans de nombreuses mises en scène. II) L’acceptation et la soumission du spectateur à ces conventions 1) Pas de théâtre sans spectateurs. Quelque soit le genre théâtral (comédie, tragédie, drame, tragicomédie, etc…). Le spectateur vient assister à une représentation, à un spectacle, cherchant à se divertir, à éprouver du plaisir après les contraintes de la vie quotidienne. La vie réelle étant trop sérieuse. Le théâtre est un art vivant

autres genres théâtraux, apparus au XXe siècle, comme la nouvelle forme de tragédie dans laquelle les héros sont des hommes et des femmes ordinaires, les héros sont victimes de l'Histoire, des guerres et des faits de sociétés ou bien la comédie, le drame ou le vaudeville qui représente un mal face à un fait quotidien. En effet, la comédie dénonce le mariage contrarié d’une jeune personne à une personne que ses parents ont choisis pour des raisons sociales. C'est le cas dans Le médecin volant

théâtre des sensations, la femme, des émotions ; le penseur, des méditations. Tous veulent un plaisir ; mais beaucoup, le plaisir des yeux ; celles-là, le plaisir du cœur ; les derniers, le plaisir de l’esprit. » Cette approche nouvelle permise par le drame romantique a autorisé la banalisation des usages du théâtre, son embourgeoisement, fût-ce au prix d’un manque d’unité. D’autres auteurs ont spécialisé leur production pour toucher un public ciblé. On peut citer le théâtre de boulevard, le vaudeville

l’aveuglement d’Orgon à son égard, des manières des Précieuses Ridicules ou de l’avarice d’Harpagon. Rire de ces défauts ou de ces ridicules revient à les condamner. Critiqué en utilisant le rire comme Le Bourgeois Gentilhomme de Molière, c’est une pièce dans laquelle Molière s’attaque aux bourgeois de son époque. Pour cela il utilise un vocabulaire faux qui ne correspond pas à Monsieur Jourdain et caricature au maximum le jargon de ses personnages (surtout Mr Jourdain) ce qui provoque le rire. Il critique

d’identifier et d’indiquer la source de comique pour chacun des extraits ; c’est-à-dire à quel type de comique faisait appel chaque texte en vue de faire rire le lecteur. Le premier texte, celui de Molière, extrait de la pièce de théâtre comique Le Bourgeois gentilhomme (1670) ce qui peut déjà, dans une premier temps expliquer la présence du registre comique. Ensuite, au vu du type des personnages et de leur caractère, on peut dire que l’autre principale source de comique relève du comique de caractère

aussi et surtout envers le public. Le premier but de l’écriture d’une pièce, donc de l’auteur, est de plaire à ses lecteurs, de le séduire. Pour cela ils utilisent notamment le divertissement, le rire comme sait si bien le faire Molière (cf. le Bourgeois gentilhomme, par exemple, qui veut se faire noble en les imitant mais n’arrive seulement qu’à se rendre ridicule), les rebondissements, des « effets spéciaux » tel que dans la mise en scène de Dom Juan de Delcampe avec la foudre qui tombe sur le