Dreyfusards Et Antidreyfusards

majeure qui divise les républicains : les radicaux sont majoritairement dreyfusards tandis que de nombreux députés républicains modérés se rangent dans le camp antidreyfusard. L’antisémitisme se développe. Les dreyfusards combattent alors pour réparer une erreur judiciaire au nom de la justice et de la vérité, ils s’appuient sur les Lumières et la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen . Tandis que les antidreyfusards opposent la raison d’Etat, la nécessaire défense de l’armée et le nationalisme

même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès du ministère de la Guerre contre Walsin-Esterházy. Alors que le cercle des dreyfusards s'élargit, deux événements quasi simultanés donnent en janvier 1898 une dimension nationale à l'affaire : Esterházy est acquitté, sous les acclamations des conservateurs et des nationalistes ; Émile Zola publie « J'Accuse…! », plaidoyer dreyfusard qui entraîne le ralliement de nombreux intellectuels. Un processus de scission en deux de la France est entamé, qui se prolonge

pour des raisons politiques. Il veut être attaqué en justice pour que l'affaire soit débattu. Il sera condamné pour diffamation mais l'affaire devient politique et la presse comme l'opinion se divise en 2 camps : Les dreyfusards et les antidreyfusards. La presse antidreyfusarde : -Elle utilise l'antisémitisme très présent dans la population, les juifs sont caricaturés sous des traits grossiers : nez crochu, brun, gros ...) on les accuse d'utiliser leur argent pour tenter de corrompre les dirigeants

Diable. Emile Zola (Dreyfusard) prend le parti du colonel et intervient en écrivant une lettre ouverte au Président de la République qui sera publiée dans L'Aurore le 13 Janvier 1898 dénonçant une série d'officiers et clamant l'innocence de Dreyfus. Cette lettre lui coûtera un an de prison, preuve que la France n'accepte pas d'autre opinion que l'antisémitisme. 
D'ailleurs l'Aurore est un des rares journaux dreyfusards avec Le Sifflet qui est le journal principal du parti dreyfusard. Celui du parti

trahison envers l’état français pour avoir livré des documents secrets à l’Allemagne. Il est exilé en Guyane à vie. Les français se « divisent » alors en deux clans: les dreyfusards (avec Dreyfus et persuadés de son innocence) et les antidreyfusards (contre Dreyfus, et généralement antisémites). Zola, un des principaux dreyfusards, publie le 13 janvier 1898 dans un journal une lettre ouverte, « J’accuse…! », pour défendre le capitaine. Cet engagement lui vaudra un an de prison et une amende pour diffamation

social particulièrement propice à l'antisémitisme. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906. Elle divise profondément et durablement les Français en deux camps opposés, dreyfusards (partisans de l'innocence de Dreyfus, qui a rapidement été avérée) et antidreyfusards (adversaires de Dreyfus). Enfin, elle suscite de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. À la fin de l'année 1894, le capitaine de l'armée française

d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. L’origine de cette affaire, la condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Empire allemand, s’avéra par la suite être une erreur judiciaire]

innocence et est à l’origine du cercle des dreyfusards contenant des personnalités tels que le vice-président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner, l’ancien député Georges Clemenceau, ou encore l’écrivain Emile Zola. Ces derniers tentent de prouver l’innocence de Dreyfus mais Esterhazy est acquitté à l’unanimité le 11 janvier 1988. Ce dernier finira ses jours en Angleterre sans aucun soucis. Révolté, Emile Zola publie « J'accuse… ! », un réquisitoire dreyfusard qui entraîne le ralliement de nombreux intellectuels

 français d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. Cette affaire reste l’un des exemples les plus marquants d’une erreur judiciaire difficilement réparée, avec un rôle majeur joué par la presse et l’opinion publique. Ainsi, une affaire

d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. La condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus — pour avoir prétendument livré des documents secrets français à l’Empire allemand — était une erreur judiciaire[2],[3] sur fond d’espionnage