Dreyfusards Et Antidreyfusards

intitulé « J’Accuse…! », provoque une succession de crises politiques et sociales uniques en France. À son paroxysme en 1899, l’affaire révèle les clivages de la France de la Troisième République, où l’opposition entre le camp des dreyfusards et celui des antidreyfusards suscite de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. Elle ne s’achèvera véritablement qu’en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocente et réhabilite définitivement Dreyfus

cassation pour innocenter et rehabiliter Dreyfus définitivement. Cette affaire prend au bout d'un moment une ampleur considérable, jusqu'au point de diviser toute la France en deux à son apogée en 1899. Les courants politiques se divisent en dreyfusards et antidreyfusards. Cette affaire permet à des organisations antisémites de voir le jour et d'exposer leurs idées avec un bon prétexte. C'est par exemple le cas de l'Action Française. C'est un mouvement politique réactionnaire, nationaliste et antisémite

valeurs républicaines. Ce système politique stable permet ainsi la fin de divisions liées à l’affaire Dreyfus. En 1894 le capitaine Dreyfus est accusé d’espionnage au profit de l’Allemagne. Cette affaire divise alors la droite antidreyfusarde (et antisémite) et la gauche dreyfusarde qui réhabilitera Dreyfus en 1906. La république est ainsi consolidée, montrant à tous son implication pour une justice digne de ce nom. Enfin c’est avec la loi de la séparation entre l’Église et l’Etat en 1905 que ce régime

bouleverser la France. Alfred Dreyfus est condamné au bagne à perpétuité pour haute trahison. La réalité est que le véritable coupable est le commandant Ferdinand Esterhazy. Pourtant, celui-ci est acquitté. La France se divise alors entre dreyfusards et antidreyfusards. Le célèbre « J’accuse », article écrit par Emile Zola, va créé un véritable scandale. Ce n’est qu’en 1906 que sera réhabilité Alfred Dreyfus. Cette affaire aura mit en lumière l’antisémitisme encore présent dans la société.Les républicains

mai 1898. Ce sont aussi des temps forts de cette campagne. Les partisans de la révision du procès ont exprimés leurs volontés dans des journaux qui sont de fervants dreyfusards : La Fronde (voix dreyfusarde féministe), L’Aurore, la Petite République, le Journal des Droits de l’Homme, Le Radical, Le Rappel. Journaux antidreyfusards : La Croix (théorie du complot juif, le plus antijuif de France), l’Intransigeant, La Libre Parole (racisme à prétention scientifique). A côté de ces journaux marqués

militaires, les juges et le gouvernement. La France se divise en deux camps : les dreyfusards et les antidreyfusards. Les gouvernements se succèdent sans parvenir à résoudre la crise. Dreyfus est finalement gracié, avant d’être innocenté et de réintégrer l’armée en 1906. Les conséquences politiques de cette affaire sont considérables. Désormais, les défenseurs des valeurs républicaines sont ceux qui ont choisi le camp dreyfusard. C) Affirmation et limites du modèle républicain 1) L’enracinement

d'espionnage et condamné au bagne à perpétuité. Malgré les dénégations de l'accusé, un dossier vide de preuves, l'absence de mobile, le Conseil de guerre la condamné à l'unanimité. L’opinion publique française se divise alors en deux : les dreyfusards et les antidreyfusards. Le capitaine est dégradé dans la cour d'honneur de l'École militaire à Paris, puis expédié à l'Ile du Diable, en Guyane française pendant 2 ans. En 1898, on a trouvé le vrai coupable : Esterhazy qui est acquitté la même année. Pour

livré des renseignement militaire à l’Allemagne. Il est condamné, puis sont innocent devient évidente mais personne ne l’affirme en vain. L’opinion française s’est violemment divisé durant cette Affaire. Les antidreyfusard, antisémites croyaient en la culpabilité de Dreyfus et les dreyfusard prônait la justice et le revue de l’Affaire afin d’écarter cette grande erreur judiciaire. Le pays français en prend pour sa renommé, de nombreux citoyens attaque la république parlementaire et l’accuse de ne

justice En 1898, les intellectuels s’empare de l’affaire notamment pamphlet. Emile Zola qui publie son célèbre « J’accuse » dans le journal « L’Aurore » et qui prend la défense de Dreyfus. L’opinion française se scinde en 2 : * Les dreyfusards * Les antidreyfusards 1899 : Dreyfus est de nouveau condamné à 10 ans de Bagne mais gracié par le président. Il faut attendre 1906 pour que son innocence soit reconnu et réhabilité. Indirectement la république a été renforcé par l’affaire Dreyfus parce

l’Affaire Dreyfus éclate. Le capitaine Dreyfus de confession juive est accusé, à tord, d’espionnage au profit de l’Allemagne. Il est condamné à la déportation à perpétuité. L’Affaire Dreyfus éclate et divise l’opinion publique en deux : les dreyfusards et les antidreyfusards. Les premiers réclament que justice soit rendue, tandis que les autres, au nom de l’intérêt national exigent qu’on ne revienne pas sur le jugement pour préserver le prestige de l’armée. Il est à signaler aussi que l’alerte de Tanger