Dreyfusards Et Antidreyfusards

la France en 2 entre dreyfusards et antidreyfusards. Les dreyfusards sont convaincues de l’innocence de Dreyfus et accusent l’état major et le conseil de guerre d’avoir condamné un innocent en connaissance de cause. La gauche républicaine française traditionnellement patriote et militariste depuis la révolution, s’éloigne alors de l’armée. Cette tradition là semble s’achever avec cette affaire. Après cette affaire la gauche est globalement antimilitariste. Les antidreyfusards veulent surtout éviter

et vérité. Mais cet engagement coûte très cher au romancier. Sur le plan financier, tout d'abord, la justice fait saisir ses biens et les revend aux enchères. Alors que le dreyfusisme s'exposait sous un jour immatériel pour les nationalistes antidreyfusards, ceux-ci trouvent en Zola leur tête de turc. Il concentre dès lors toutes les attaques et incarne à lui seul le traître à la patrie et à l'armée. C'est ainsi que dès 1898, l'écrivain est l'objet d'un torrent d'articles satiriques, de caricatures

condamné à un an de prison le 23 Février 1898 et exilé à Londres. A partir de la condamnation de Zola, l’opinion publique va passionnée l’affaire Dreyfus. On observe alors (02) camps qui prônent une conception incompatible de la justice : les Dreyfusards pour eux l’innocence de Dreyfus ne fait pas de doute, on les appelle aussi les Mystiques. (Charlie Péguy) disait qu’ils sont des passionnées de justice et de vérité qui placent les droits de la personne humaine au-dessus de la considération. Ce

en Belgique. Enfin dans l'affaire Dreyfus, un jeune capitaine juif alsacien est envoyé au bagne après avoir été accusé d'avoir fourni des informations militaires aux allemands. C’est à partir de ce moment que le peuple se divise entre dreyfusards et antidreyfusards. On est en présence du symbole de l'injuste et cette affaire pointe du doigt les lacunes des régimes républicains. Après avoir surmonté différentes crises, la IIIème république a su s'imposer dans le paysage politique français. Les paysans

contexte : La défaite de 1870 et ses conséquences . la presse devient un média où s'exprime les intellectuels (Dreyfusards et antidreyfusards ) . Le mot intellectuel aparaît au moment d l'affaire Dreyfus ( personne qui prend parti de cette affaire et qui cherche à inflencer l'opinion publique ) . Pourquoi les intellectuels

cela, l’état major refuse de réviser le procès. Dès lors, les républicains modérés comme Clémenceau prennent la défense du capitaine Dreyfus et publient dans leur journal L’Aurore un article de Zola intitulé « J’accuse ». Face aux dreyfusards se trouvent les antidreyfusards qui se composent de nationalistes désireux de garder l’armée unie et puissante. Dreyfus sera finalement gracié suite à la découverte d’un faux fabriqué par le colonel Henry. Après l’affaire Dreyfus, et durant les élections de

Emile Zola, 4 ans après, publie dans un journal une lettre commençant par « j’accuse », publication qui provoque des réactions très vives dans l’opinion publique la France est donc divisée en deux : les pours et les contres. POUR (Dreyfusard) CONTRE (Antidreyfusard) Gauche, Socialistes, intellectuels Droite, hommes de lois, justice   La France est partagée et des ligues se sont développées. Pour soutenir Dreyfus : Les Droits de l’Hommes (Zola, Jaurès) ; et pour ceux qui sont contre : la ligue

France » : Une France à tendance monarchiste traditionnelle, catholique, nationaliste et antisémite, qui défend l’honneur de l’armée Française (Antidreyfusards) et une deuxième France républicaine, attachée aux valeurs de justice de droit de l’Homme, de laïcité, et qui lutte contre la raison d’Etat et la toute puissance de l’armée. Ce sont les Dreyfusards (Républicains). Ils vont créer la ligue des Droits de l’Homme et du Citoyens. Dreyfus sera par la suite condamné à nouveau par le tribunal militaire

la gaudriole, le scatologique et la pornographie. Ils introduisaient ainsi dans la vie politique des méthodes qui annoncent le poujadisme du xxe siècle, voire l'agitation populiste la plus extrémiste. Très proche de l'extrême droite ligueuse, antidreyfusarde et antisémite, Léon Hayard, « l'empereur des camelots » était rémunéré а l'occasion par les mouvements nationalistes pour organiser une manifestation dite spontanée mais il était surtout le grand pourvoyeur de cette librairie du trottoir qui les

les intellectuels répondent aux publications de la presse de droite antidreyfusarde dans des journaux républicains comme L'Aurore, le journal dirigé par Georges Clémenceau, où paraît la lettre ouverte d'Emile Zola au Président de la République J'accuse. ◦ L'opinion publique est profondement divisée entre dreyfusards et antidreyfusards. Les dreyfusards sont pour la plupart républicains comme Jean Jaures. Les antidreyfusards, nationalistes, catholiques, antisemites refusent de mettre en cause