Dreyfusards Et Antidreyfusards

refuse une révision du jugement. Le 14 janvier 1898, Zola publie dans l’Aurore l’article « J’accuse », virulent réquisitoire à l’encontre de l’etat major. La France est alors divisé entre dreyfusard (socialistes et radicaux et quelques modérés, protestants, francs macon, Ligue des Droits de l’Homme) et anti dreyfusard ( qui insiste sur la défense de l’armée, et de l’Etat ; La Croix) Le gouvernement des modérés perd alors toute autorité. En 1899, la découverte d’un faux fabriqué par le colonel Henry

clos. Le procès est quasiment délibérément truqué. Le procès ne créé pas d’engouement (pas de dreyfusards). Le capitaine Dreyfus est dégradé et déporté. C’est la presse antisémite qui donne le ton. Dreyfus est déporté à l’ile aux diables ou il est soumis à un isolement total et à une véritable torture (chaque nuit est enfermé dans une boite en bois qui le compresse). B) De la riposte (anti)-Dreyfusarde à la grâce du capitaine Dreyfus (1897-1899) : a) Des raillements à la cause Dreyfus : L’affaire

l’article de Zola paru dans l’Aurore le dossier est ré ouvert, Dreyfus est rejugé mais de nouveau condamné. Il est finalement gracié en 1899. Durant cet affaire l’opinion publique française s’est divisé en 2 camps : Dreyfusard : Zola, Lazare, Proust, Blum, Clémenceau Antidreyfusard : A. Daudet, L. Daudet, E. Drumont, M. Barrès, C. Maurras Durant cet affaire a presse écrite devient un média de masse qui façonne l’opinion contre la libre parole. (Figaro et l’Aurore contre la libre parole) La 1ère

l'armée d'avoir condamné un innocent et de ne pas vouloir le reconnaître. On parle alors de l'Affaire Dreyfus. Pour les Révisionnistes ou Dreyfusards, il faut, au nom de la justice, faire éclater la vérité quelles qu'en soient les conséquences pour l'armée. Beaucoup se rassemblent dans la Ligue des droits de l'homme, créée à cette occasion. Pour les Antidreyfusards, la raison d'État, le prestige de l'armée, l’intérêt national exigent de ne pas revenir sur la chose jugée. À la suite d'un procès en révision

les partisans de la révision du procès: qui regroupent les forces de gauche et les défenseur des Droits de l'Homme → surnommés les « Dreyfusard ». la droite nationaliste ou monarchiste et les catholique intransigeants qui refusent que l'on mette en doute une décision militaire et que l'on porte atteinte à l'honneur de l'armée: ils constituent les « antidreyfusards ». Dreyfus, condamné à nouveau lors d'un second procès, n'est réhabilité qu'en 1906. La séparation des Églises et de l'Etat

permettre l'ascension sociale et la diffusion du progrès. 1894-1906 → Affaire Dreyfus Elle débute par la contamination, à tort, pour espionnage d'un officier français juif. Elle divise les Français entre des dreyfusards qui dénoncent une injustice l'antisémitisme et les antidreyfusards, nationalistes et xénophobes. 1905 → Loi de séparation des Églises et de l’État Elle fait de la république un État laïc qui garantit la liberté des cultes mais n'en finance aucun. La religion est considérée

progrès. 1894-1906 à l'affaire Dreyfus. Explication : l'affaire Dreyfus débute par la condamnation, à tort pour espionnage d'un officier français juif, le capitaine Dreyfus. Elle divise les Français entre les dreyfusards qui dénoncent une injustice fondée sur l'antisémitisme et les antidreyfusards, nationalistes et xénophobes. L'innocence de Dreyfus est finalement prouvée. 1905 : loi de séparation des Eglises et de l'État. Explication : cette loi fait de la République un Etat laïque qui garantit la

troisième république, survenue à la fin du XIX°siècle. Il fut déclenché par l'accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus et dura 12 ans. Lors de ce conflit la France fut diviser en deux camps d'une part les dreyfusards (pour son innocence) et de l'autre les antidreyfusards (« dreyfus à trahie »). En plein conflit Zola découvre que les accusation envers Dreyfus son fausse, et révèle donc qu'il y a eu une erreur Judiciaire. Pour ceux il utilisa entre autre la presse comme à travers son

Journal. Ce sont les antidreyfusards. D'autres journaux affirme l'innocence de Dreyfus, ce sont les dreyfusards. Le 13 janvier 1898, Zola publie dans le journal L'Aurore un article intitulé "J'accuse" qui est édité à plus de 200 000 exemplaires et défend l'innocence de Dreyfus. Ces personnes qui prennent position pour Dreyfus seront qualifiées avec mépris d'"intellectuels". L'opinion publique est aussi traversée par cette division entre les dreyfusards et les anti-dreyfusards. Cette crise, et la manière

largement étayée par les quotidiens. Elle passionne le lectorat et l'intérêt pour la presse augmente, puisque c'est uniquement à travers elle que les faits sont rapportés. L'affaire divise le pays en deux camps : les « dreyfusards » qui défendent l'innocence de Dreyfus et les « antidreyfusards » qui prônent la culpabilité de l'homme. La « trahison de Dreyfus » est révélée par la presse : c'est Édouard Drumont, fondateur de La Libre parole, qui dénonce Dreyfus. Les publications de l'éditeur sont teintées