Dreyfusards Et Antidreyfusards

politique dans la littérature. Elle va, avant d’être une histoire politique, être un combat des intellectuels divisé en deux camps : les antidreyfusards d’un côté, qui sous un nationalisme exacerbé et un antisémitisme défendent le prestige de l’armée considéré comme le ciment de l’unité nationale (Maurice Barrès, Charles Maurras) ; de l’autre côté les dreyfusards qui placent la défense d’un innocent au-dessus de la raison d’Etat pour faire triompher justice et vérité (Anatole France). L’intellectuel

Labori conseille à Zola de quitter la France pour l'Angleterre avant la fin du procès, ce que fait l'écrivain. Les accusés sont de nouveau condamnés. L'exil à Londres [pic] [pic] Première page du Pilori d'avril 1898 avec une caricature anti-dreyfusarde. On fait donc partir Zola immédiatement au soir du verdict, avant que celui-ci ne lui soit officiellement signifié et ne devienne exécutoire. À l'image de ceux d'Hugo, Voltaire ou Vallès, cet exil déclenche un important mouvement d'opinion. C'est

1ère technologique - HISTOIRE - Thème 3 :La Troisième République : un régime, un empire colonialDémarche  : * Question obligatoire (4 h) Après avoir réalisé l’introduction en cours dialogué pour poser la problématique et le cadre chronologique, on présente le plan du cours. Puis les élèves travaillent en petits groupes sur un questionnaire qui est structuré autour des 7 sous-parties thématiques du plan. Le

condamné un innocent et d’avoir protégé par corporatisme un coupable. Deux Frances s’affrontent alors et le combat a lieu dans la presse. Les antidreyfusards soutiennent l’armée ("l’arche sainte") au nom de la raison d’Etat. La Libre Parole et L’Action Française se déchaînent contre les Juifs qui représentent "l’anti-France". Les intellectuels dreyfusards (Clemenceau, Péguy. . .) veulent défendre les droits de l’homme et réparer une injustice. Ils fondent la Ligue des Droits de l’Homme. Grâce à leur

se déchirent, se battent, s’insultent. Les partisans de Dreyfus sont les Dreyfusard, leur valeurs sont celle de la liberté et de la justice comme Zola, on trouve des intellectuels comme le philosophe A.Gide, le poète Ch.Peguy, des hommes politique plutôt de gauche comme Clemenceau (parti radical) Jaurès (parti socialiste). Les amis de Dreyfus vont fonder une association, la ligue des droits de l’homme. Les antidreyfusards : l’armée, l’Eglise catholique, la presse, la droite nationaliste et l’extrême

par leurs habitudes professionnelles, ces derniers veulent d'autant plus exercer leur droits d'hommes et exprimer leur jugement. 3) Il n'y a pas de limites dans la presses, ils s'engagent sans restriction dans la presses. on est soit dreyfusarde ou soit antidreyfusarde, Zola cherche à convaincre l'opinion publique et va lancer l'affaire Dreyfus en quelque sortes, mais en réalité il y a aussi une violence dans l'opinion publique et finalement la question qui se posent c'est est ce que la presse est

HISTOIREThème 3 → La III Répu avant 1914 : Un régime politique, un empire colonialChap1 → La mise en œuvre du projet républicain4sept 1870 : naissance III Répu + gouvernement de Défense nationaleParis encerclé par les troupes prussiennes → doit accepter l'armistice le 28 janvier 1871 fév 1871 : élections législatives → mène à un traité de paix avec de lourdes indemnités, perte de L'Alsace et Nord Lorraine. 18 mars 1871 : insurrection éclate à Paris → insurgés élisent la Commune de Paris (révolutionnaire)H

divise la société française entre dreyfusards et antidreyfusards. * Les dreyfusards invoquent les droits de l’homme, la liberté individuelle, la recherche de la vérité et la justice. Les socialistes de Jules Guesde estiment qu’il faut laisser les bourgeois se déchirer entre eux, et donc ne prennent pas part au débat. Mais les socialistes de Jean Jaurès soutiennent la cause dès le départ. On trouve les radicaux, les francs maçons, les Protestants sont dreyfusards. Cela donne lieu à la création de

infaillible. La population prend part à l’affaire, car l’innocence de Dreyfus est prouvé dès le début de la crise. D’un côté on a les Dreyfusard, qui pense que Dreyfus est innocent et qui regroupe les intellectuels (comme, Emile Zola qui écrit dans le journal de l’Aurore – de Clémenceau grande personnalité de la Belle Epoque- le fameux « J’accuse ») ; et de l’autre les antidreyfusard qui pense que Dreyfus est coupable et qui regroupe la droite nationaliste, l’armée française et tous les antisémites. Cependant

alors condamné à un an de prison ferme pour diffamation et une amende. Il doit alors s’exiler. Picquart va en prison et Scheurer-Kestner destitué. Mais l’Affaire a bien commencé et la France est dès lors séparé en deux entre les dreyfusards et les antidreyfusards. ( def du livre. + petit encart s/ les hommes . Nbx manif antisémite, l’opinion se déchaîne mais le 31 Août le colonel Henry dt le témoignage a été déterminant lors du procès reconnaît avoir fait de fausses pièces contre Dreyfus :