Dreyfusards Et Antidreyfusards

d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. L’origine de cette affaire, la condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Empire allemand, s’avéra par la suite être une erreur judiciaire[2]

affaire). La question de l’antisémitisme a beaucoup été creusée comme clef d’interprétation possible, mais d’autres entrées peuvent également être envisagées pour comprendre l’Affaire, notamment le nationalisme qui a conditionné toute une frange anti-dreyfusarde, beaucoup plus qu’un antisémitisme militant. Quelle utilisation de l’affaire Dreyfus peut-on faire pour entrer dans les programmes de premières ? On peut envisager une entrée par une étude de cas sur l’affaire, avec toutefois une distinction entre

droits de l'homme =) contre Aff Dreyfus et accusation ■ Radicaux (Clémenceau) profitent de la situation =) victoire élections de 98 ■ laïcité =) séparation Eglise Etat ■nouveau clivage dte/gche +clivage à l'intérieur république , entre dreyfusards et anti-dreyfusards =) naissance gauche et dte modernes I. L'affaire Dreyfus: causes et climat de l'époque: 1894-95 1) Pourquoi l'affaire Dreyfus se déroule-t-elle à cette époque précise? ■1871 armistice avec la Prusse car défaite France humiliation

douze ans, de 1894 à 1906, a bouleversé la société française , allant jusqu'à remettre en cause la République En quoi la presse a une influence sur l'opinion publique dans l'affaire Dreyfus Plan : Un drame qui remet en cause la République Dreyfusards et Antidreyfusards L'affaire après l'affaire 1 Un drame qui remet en cause la République 1-La conspiration des militaires: En 1884 une affaire d'espionnage éclate au sein du ministère le géneral Mercier craint alors pour sa carrière et sa réputation Il

III) Les dreyfusards et les antidreyfusards. L’affaire Dreyfus est un conflit social et politique de la Troisième République qui a surgit la fin du XIXe siècle, concernant l’accusation portée auprès du capitaine Alfred Dreyfus, français d’origine alsacienne et juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans

Ils s'attirent les foudres de Drumont (un journaliste, écrivain, polémiste et homme politique français, fondateur du journal La Libre Parole, antidreyfusard, nationaliste et antisémite. Il est également le créateur de la Ligue nationale antisémitique de France), qui les surnomme "le syndicat". L'opinion commence à se diviser entre dreyfusards et antidreyfusards. Chaque camp est soutenu par ses journaux, qui se livrent à une bataille très violente d'arguments et d'insultes. III. La découverte de Picquart

y a une bipolarisation de L’OPF donc affrontement entre les dreyfusards et les antidreyfusards (2 presse partisane). Journal Dreyfusard : L’aurore par Clémenceau Clémenceau : homme politique né en Vendée, républicain du Parti Radical, laïque, célèbre pour sa longévité politique, sa ténacité et il sera président du conseil des ministres. « Le tigre ». Les dreyfusards sont républicains. Les intellectuels sont les profs, dreyfusards, écrivains, journalistes, personnes qui travaillent. Les valeurs

est gracié. La presse et l'affaire Dreyfus: une influence réciproque presse-opinionSi la presse d’information à grand tirage, ménage ses lecteurs, la presse d’opinion, quant à elle, prend position.Face aux dreyfusards qui combattent au nom de la justice et des droits de l’homme, les antidreyfusards défendant l’honneur de l’armée et la raison d’Etat, alimentent une violente campagne antisémite contre le "Juif Dreyfus", notamment dans La Libre Parole d’Edouard Drumont. La caricature, simplificatrice et

commencent une campagne en faveur de la révision de la condamnation Dreyfus, d’abord relayée essentiellement par la presse de gauche. Elle déclenche en retour une vague d’antisémitisme très violente dans l’opinion. La France est alors en majorité antidreyfusarde. Mais le colonel Henry, chef-adjoint du « service de statistique » est de son côté conscient de la fragilité du dossier d’accusation et il le renforce, en accord avec le chef d’Etat-major, afin d’éviter toute tentative de révision. En 1896, il

sécurité nationale 3) La caricature montre la division de l'opinion car il y a deux images opposées, au début tout le monde discute en exposant les différents arguments et cela se finit par une bagarre généralisée. 4) On peut dire que les antidreyfusards étaient antisémites car ils haïssaient les juifs, ils n'hésitaient pas à des actions violentes telles que le fait de casser avec leurs cannes et leurs gourdins les volets des magasins juifs ou de s'attaquer physiquement à des élèves d'origine