Dreyfusards Et Antidreyfusards

ainsi que l'ettouffement de preuves, d'autre part nous avons Maurice Barrès qui souhaite la (maintenance) de Dreyfus en prison pour le bien de la France. Ces deux documents représentent chaque partis-pris de l'affaire Dreyfus, les Dreyfusards ainsi que les Antidreyfusards L'affaire Dreyfus a était une crise politique majeure sous la IIIème République. La France va connaître une grande montée du nationalisme et de l'antisémitisme à cause d'une presse influente, libre de diffuser n'importe

Clemenceau, publie J’accuse de Zola, à l’époque très célèbre. Minoritaires et marginaux ● Lazare, fort incroyant aspire à la totale assimilation des juifs dans la société française ● Scheurer-Kestner, de la bonne société, protestant (comme beaucoup de dreyfusards), se considère comme protecteur des Alsaciens ● Le commandant Picquart, alsacien, prend la tête des Renseignements, découvre la culpabilité d’Esterhazy, ce qui lui vaut une disgrâce. Y compris au début chez les intellectuels ● Les premiers intellectuels

En arrière plan, on voit un militaire de l’armée qui est au garde à vous, il assiste à la scène d’un air solennel, on peut donc en déduire que l’armée est aussi antidreyfusarde, sachant que c’est l’armée qui a monté le complot contre Dreyfus. En dessous de cette illustration, un message de Drumont à propos de “Judas” Dreyfus : “Français, voilà huit ans années que je vous répète chaque jour.” Il utilise le terme de “Judas”

connait plus la nature Dans sa crinière blanche enflé comme un manchon Il ne semble plus qu’un bichon » L'affaire Dreyfus constitue un temps fort pour l’histoire de la caricature : La presse satirique s'engage dans la bataille du côté antidreyfusard En 1894, le capitaine Alfred Dreyfus fut accusé d'espionnage et condamné par un tribunal à la déportation dans l'île du Diable. Deux ans plus tard, il fut prouvé que le jugement était fondé sur des documents falsifiés et l'on eut de sérieuses

tourne autour d’une accusation faite au capitaine Alfred Dreyfus, un français d’origine alsacienne et juif qui sera finalement innocenté. Cette histoire, comme je l’ai dit déchirera la France en deux camps opposé les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus et les « antidreyfusards » ceux qui le croient coupable. Le tout prend naissance en 1894, lors de la condamnation du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Allemagne. Pourtant, tout ceci n’est que mensonge

Lazare publie à Bruxelles un petit ouvrage dreyfusard qui révèle des informations plus détaillées qui provoque certains soupçons de l'Etat Major au vue de Picquart. C'est en Mars 1896, après la découverte du "petit bleu", un télégramme du commandant Charles Estherhazy où le commandant Georges Picquart reconnait une écriture identique au bordereau : " Je fus épouvanté, les écritures n'étaient pas semblables. Elles étaient identiques". Le mouvement dreyfusard s'élargit, Mathieu Dreyfus aidé par le député

La révélation de ce scandale, dans « J'Accuse…! », un article d’Émile Zola en 1898, provoque une succession de crises politiques et sociales uniques en France. Elle divise profondément et durablement les Français en deux camps opposés, dreyfusards et antidreyfusards. Cette affaire est le symbole moderne et universel de l'iniquité au nom de la raison d'État. Comment une affaire d’espionnage est-elle devenu « l’Affaire » qui a divisé la France et ces conséquences ? Nous verrons en premier lieu

d’une espèce différente . » Cet aspect provoque indignation, et certaines personnes demandent la révision du procès de Dreyfus, de plus en plus convaincus de son innocence, ceux que l’on appelle dès lors les dreyfusards (et ceux étant persuadé de la culpabilité de Dreyfus, les antidreyfusards …). Le clivage nait lors de la publication de la lettre qu’adresse Zola à Félix Faure, alors président, le 13 janvier 1898, dans le journal L’Aurore par Clémenceau, qu’il intitule « J’accuse ! ». Il est indigné

est à l'origine d'une crise politique majeure des débuts de la IIIe République, au cours de laquelle l'opinion française s'est divisée en deux clans ennemis: les antidreyfusards qui mettent en avant la raison d’Etat et soutiennent l’armée et les dreyfusards qui clament l’innocence de Dreyfus. Un personnage très représentatif des dreyfusards est l’écrivain et journaliste français Émile Zola qui, dans l’article de presse intitulé « J’Accuse…! » dans le journal L’Aurore publié le 18 janvier 1898, sous

d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. L’origine de cette affaire, la condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Empire allemand, s’avéra par la suite être une erreur judiciaire2