Droit à l'information

Article premierTous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. Article 21.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune

d'une maladie incurable qui la mènera à la mort et qui l'a rendu paralysé. Elle vient demander au droit anglais de pouvoir permettre à son mari d'avoir une certaine impunité si celui ci viendrai l'aider à mourir. Cela lui est refusé par un organisme pré juridictionnel (director of public prosecution). Elle se pourvoit donc devant la CEDH. La requérante veut essayer de requérir au travers l'article 2 qui proclame le droit à la vie, un corolaire qui est le droit à mourir. Ce que la juridiction lui refuse

Les droits de la personnalité Droits de la personnalité : droits inhérents à la personne , pas appréciables en argent , protègent les caractéristiques physiques, morales, sociales de la personne. Se rattachent à conception philo de la personne. Ex : le droit au respect de la vie privée, à l’image, à la voix, au secret des correspondances, à la considération et à l’honneur, à la dignité, au respect des croyances, à l’inviolabilité du domicile , à la présomption d’innocence ( + droit au

Sur le plan européen, à défaut d’une disposition spécifique dans le texte de la Convention européenne des droits de l’Homme, la Cour EDH a comblé cette lacune dans sa jurisprudence. Selon elle, la dignité constitue “l’essence même de la Convention”34. Le juge européen en fait une notion prétorienne, un principe matériel de l’interprétation35. Les ordres juridiques nationaux soulignent aussi le respect de la dignité humaine. Ils n’apportent cependant pas plus de précisions à la définition de cette

évolution et limites ». « Le droit d’avorter –bien plus que la contraception- a mis au jour une éthique radicalement nouvelle : les droits de la femme passent avant ceux du fœtus et avant les devoirs de la mère. Entre l’humain en puissance et l’individu en acte, le XXème siècle a tranché en faveur du second. ». Tel était ce qu’affirmait Elisabeth Badinter, philosophe française et épouse de Robert Badinter. Cette affirmation est loin d’être fausse, cependant, il a fallu attendre un certain temps

de dissuasion efficace ; la plupart des personnes ne veulent pas mourir. Or elles savent que si elles commettent un crime, elles mourront. Donc, elle ne commettent pas de crime afin de rester elles-même en vie * C'est moins barbare que la prison à perpétuité. Car passer sa vie derrière les barreaux est un châtiment beaucoup plus horrible que d'être exécuté; on souffre toute sa vie, enfermé en prison * La peine de mort n'est pas arbitraire. Elle est prononcée au nom du peuple et par le peuple

abolition en France, le combat mené par Robert Badinter, infatigable avocat des droits de l’homme, n’a pas encore convaincu toutes les démocraties. Des Etats-Unis à l’Asie en passant par le Proche-Orient, beaucoup de pays recourent encore à la peine capitale comme moyen ultime de châtiment. La France, quant à elle, a été le dernier pays de la Communauté européenne qui appliquait la peine de mort à l’abolir. La dernière personne à avoir été exécutée en France est Hamida Djandoubi, en 1977. Comment définir

L'acquisition de la personnalité juridique confère à l'individu de nombreux droits, parmi lesquels, le premier est sans aucun doute le droit à la vie. C'est un droit fondamental de la personne proclamé par de nombreux textes. Ainsi l'on peut citer l'article 2 du paragraphe 1 de la Convention européenne des droits de l'homme énonce que « le droit de toute personne à la vie est protégé par la loi ». Mais il faut se demander à partie de quel instant apparaît le droit à la vie: au moment de la conception ou plutôt

d’abord rien»Doit comprendre que l’enfant ne pourrait pas être considéré comme une homme à la naissance, ou devons nous le considérer comme un « être en puissance» qui ne se réaliserait que dans l’existence ?|Rien ne nous indique que le mot « homme » doit être pris dans le sens :- général (le genre humain)- individuel (chacun de nous en particulier)Le « on» ne nous aide guère puis qu’il renvoie aussi bien à l’individu qu’à l’ensemble des hommes.|Concept central du sujet : le devenir.- l’homme est-il

À mort la mort ! Comme vous le savez, il y a de nombreux criminels dans ce monde, mais la vraie question est : que faire d’eux ? Nous avons abordé beaucoup de sujets dans le cours d’éthique et culture religieuse, le sujet dont je vous parlerai abordera principalement le point de vue éthique, car cette controverse touche le moral des gens, l’opinion de ceux-ci dépend de leurs valeurs et leurs habitudes de vie. C’est ce qui m’amène à me poser cette question : devrait-on rétablir la peine de mort