Droit des malades

Service hospitaliers ( droit public) Les hôpitaux qui ouvriront plus tard en Europe au moment des croisades ont été inspirés par les hôpitaux du Moyen-Orient. Le premier hôpital de Paris, les Quinze-vingts a été fondé par Louis IX après son retour de la septième croisade entre 1254 et 1260. 4ème et 5ème siècles : crées à l’origine par les Chrétiens et encouragés par le Clergé, les maisons d’hospitalité apparaissent au 4ème et 5ème siècles pour accueillir les malheureux, malades ou trop âgés ou les pèlerins

D'après Georges Canguilhem, philosophe médecin, un individu malade est passé dans un autre univers, il est devenu un autre homme. On peut faire la distinction entre la "maladie du médecin" définissable à partir de critères objectifs, descriptifs, statistiques et "la maladie du malade". Il ressent des symptômes, mais ne les décode pas avec la même grille que le médecin. 2 ) Que ressent-on lorsqu'on est malade ? Dès l'annonce de la maladie, trois bouleversements psychologiques

Dés le Moyen Âge, les patients en fin de vie pouvaient bénéficier d’une aide spirituelle, mais on ne peut pas encore appeler cela soins palliatifs. C’est en 1842 que Jeanne Garnier fonde l’association les Dames du Calvaire qui accueillent les malades incurables. 32 ans plus tard est créé le premier hospice à Paris (qui est aujourd’hui la plus grande unité de soins palliatifs en France), puis à Dublin et à Londres. Cicely Saunders, médecin anglaise jouera un rôle prépondérant dans le développement

ONCORA. Site ONCORANET Les soins de support en cancérologie : Recommandations – Soins du corps: version 2 validée le 19/06/2008 en séance plénière. Reproduction Interdite (art. L122-6, 335-2 et 335-3 CPI)©. Copyright RRC-RA (GIPONCORA) 2009. Tous droits réservés. 1/70 BPA-PEC-06-19-SOINSCORP LES SOINS DE SUPPORT EN CANCEROLOGIE RECOMMANDATIONS – SOINS DU CORPS Date de création : Version : 2 Date de validation : 19/06/2008 Table des matières Sens des soins ...........................

Le débat public sur l’acharnement thérapeutique s’installe progressivement dans les années 1970 avec l’émergence d’un nouveau sujet de préoccupation éthique animant de vives controverses chez les théoriciens et les praticiens du droit et de la médecine : le droit au « laisser mourir ». Plus généralement, on va se poser la question des conditions de la mort en milieu hospitalier car il existe un constat socio-juridique plutôt frappant : aujourd’hui, l’hôpital connaît 70 % des décès. Si jadis

« L’euthanasie est-elle une pratique acceptable dans un état de droit qui prescrit la peine de mort ? » Durant ces dernières années, la médecine a fait énormément de progrès dans les traitements des maladies. Aujourd’hui dans les pays occidentaux, il est pratiquement impossible de mourir d’une infection ou d’une grippe. Dis-je bien aujourd’hui car ce n’était pas le cas auparavant. Aujourd’hui nous avons des vaccins, des médicaments efficaces mais surtout des hôpitaux équipés des machines très sophistiquées

santé du patient, cette consacre un droit général à être informé sur son état de santé. Elle pose également les conditions d’accès au dossier médical. L’affirmation du droit du malade s’affirme dans un contexte de démocratie du malade : la possibilité du patient de devenir acteur d’où la nécessité d’information de consentement de codécision du malade. Elle s’applique pour tout patient Quelles sont les grands principes dans la loi ? - La loi proclame le droit à la protection de la santé qui doit

Asiles Etudes sur la condition sociale des malades mentaux de Erving Goffman (1968) annabelle.dady@hotmail.fr annabelle.dady@hotmail.fr I. Biographie de l’auteur ; problématique et résumé de l’ouvrage annabelle.dady@hotmail.fr annabelle.dady@hotmail.fr L’ouvrage Asiles d’Erving Goffman a été écrit en 1968. Il traite du comportement et des rapports sociaux qu’entretient le malade mental dans les hôpitaux psychiatriques avec l’environnement hospitalier. Il étudie donc tout le long de

Avec l’évolution de la société, l’euthanasie peut se décliner en plusieurs formes. Il existe tout d’abord l’euthanasie active, c'est-à-dire l’administration délibérée de substances létales dans l’intention de provoquer la mort, à la demande du malade ou de ses proches. Il s’agit là de la forme la plus reconnue d’euthanasie. L’euthanasie passive, quant à elle, est le refus ou l’arrêt du traitement nécessaire au maintient de la vie. Certains, parlent aussi d’euthanasie indirecte lorsqu’elle est

Jean-Marie Despont Etudiant à L’institut de Formation des Cadres de Santé Dijon Intervention du 16/12/2010 • La déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789) article 1er: les hommes naissent libres et égaux en droits • La constitution française • Code de la santé publique: loi du 27 juin 1990, régie par les articles L3211,L3212,L3213 • La loi du 4 mars 2002 • La charte de la personne hospitalisée ( 2 mars 2006) Quatre types généraux: • HL = Hospitalisation Libre • H.D.T. = hospitalisation