Droit français des sûretés

Le point de départ du droit des suretés est une opération de crédit, c'est-à-dire un lien d’obligation entre créancier et un débiteur. La pire situation pour le créancier est la suivante : Il est simple créancier chirographaire, c'est-à-dire qu’il ne dispose d’aucune garantie particulière pour le paiement de sa créance. Certes il bénéficie comme tout créancier d’un droit de gage général sur les biens de son débiteur. Ce droit de gage général signifie que lorsque la dette sera exigible, le créancier

Mlle Mayer DROIT PENAL Bibliographie  Code pénal Bouloc et Matsopoulou, droit pénal général et proc pénale, Sirey 2006 DPG, Mayaud, 2007, PUF, collection droit fondamental Précis Dalloz de DPG, Bouloc, 21e édition 2007 Economica, DPG Desportes et Le Gunhec, 13e 2006 Introduction I. L’objet du droit pénal Le droit pénal est le droit de la peine. La peine est une sanction infligée par l’Etat à ceux qui portent atteinte à l’ordre public. Le droit pénal va viser

publique et d’une façon générale aux règles impératives. Les obligations n’engagent que ceux qui sont parties à l’acte. Valablement formées , elles tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. L’obligation peut se définir comme un lien de droit entre deux personnes physiques ou morales. Les éléments nécessaires pour la validité des obligations qui dérivent d’une déclaration de volonté sont : 1) La capacité de s’obliger ; 2) Une déclaration valable de volonté portant sur les éléments essentiels

rentrée 2003, la licence droit-gestion est une formation d'excellence. Une soixantaine d'étudiants sont admis chaque année sur présentation de leur dossier de candidature. Les étudiants titulaires de la licence (3ème année) peuvent continuer dans la double Maîtrise (deux diplômes) Gestion parcours Droit des Affaires et Droit des Affaires parcours Gestion. Objectif du diplôme : L'objectif de cette filière est de donner les connaissances fondamentales d'une double compétence en Droit et Gestion nécessaires

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, qui adapte les principes de la philosophie des Lumières à l'État français. La disparition de la monarchie absolue est confirmée par l'article 3: « Le principe de toute souveraineté réside expressément dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. ». La loi n'est plus édictée par le roi qui n'est plus souverain, elle est désormais « l'expression de la volonté générale » (article 6). Les droits naturels de

Dossier Droit des affaires La fiducie En toute discrétion Une petite révolution qui devrait bouleverser quelque peu les milieux du private equity et de la banque. Une petite révolution passée en toute discrétion. C'est ainsi qu'on pourrait caractériser la fiducie à la française, adoptée en deux temps — par une loi du 19 février 2007 puis par la LME du 4 août 2008 — et réclamée par nombre d'entreprises et acteurs de la finance. Cet instrument juridique, déjà présent dans d'autres pays (“trust”

Il faut y voir clair dans le sens de l’expression « droit des biens »: - Le mot « bien » au sens large, vise tous les éléments qui peuvent s’intégrer dans le patrimoine, c’est-à-dire tous les éléments de nature patrimoniale. Du point de vue du classement des droits (les droits réels s’intéressant aux choses, les droits personnels relevant de la volonté des personnes, et les droits intellectuels concernant les transpositions des droits réels appliqués à des biens de l‘esprit), la patrimonialité

◾Bibliothèque Numérique ◾Catalogue bibliographique N° 4 - Septembre 2014 Télécharger (PDF – 3.7 Mo) Abonnement & Renseignements Revue semestrielle d’Etudes, de Législation, de Jurisprudence et de Pratique Professionnelle en Droit des affaires & en Droit Communautaire Accueil du site > N° 4 - Septembre 2014 > Doctrine > La titrisation dans l’espace UEMOA La titrisation dans l’espace UEMOA par MOHAMADOU BOYE Maître-Assistant Associé Université Gaston Berger

Il est toujours dangereux pour un système absolu de se réformer. La révolution est la conséquence d’un certain nombre de paradoxe non maîtrisé. 1. les problèmes fiscaux : l’Etat français se lance dans de sréformes qui coûtent cher, il a donc des problèmes fiscaux, or le manque de bien doit être comblé par les impôts. Mais les terres du clergé et de la noblesse ne payent pas d’impôts (or cela représente 50% des terres du royaume). Déséquilibre et besoins de l’Etat croissants. Le clergé et l’aristocratie

l'époque de leur signature un réel progrès, mais représentent aujourd'hui un mécanisme lourd et obsolète au regard de ce que sont devenues les relations entre les Etats membres de l'Union européenne. A titre subsidiaire, le droit national va venir pallier les défaillances du droit international, et par là même régir lui aussi, la procédure d’extradition. En France, la loi visée est la loi du 10 mars 1927 relative à l’extradition des étrangers sans compter toutes les conventions bilatérales sur les accords