Droit moral

la tradition : « Le monde est vieux dit-on, je le crois ; cependant Il le faut amuser encor comme un enfant »  Le Pouvoir des Fables. Aussi les fables par Jean De La Fontaine ont été écrites de façon éducative. Il insiste sur ses intentions morales dans son premier recueille dédié à Dauphin et dit : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes » On pourrait évidemment croire que ces fables sont pour les enfants mais non au contraire elles sont destinées aux adultes, car un enfant ne pourrait

Droit de la responsabilité civile La responsabilité civile se définit comme l'obligation de réparer les dommages causés à autrui . Cette responsabilité se traduit par l'existence d'une dette de réparation pesant sur l'auteur de l'acte dommageable au profit de la victime . Cette réparation passe le plus souvent par l'allocation de dommages et intérêt qui correspondent au montant des dommages subis par la victime . Traditionnellement on divise la responsabilité civile en 2 grandes catégories . D'une

Philosophie Dissertation : Le sujet moral Sujet et morale sont deux mots bien différents : le mot sujet a plusieurs significations selon l’angle sous lequel nous l’abordons. Par exemple, il peut être un thème : le sujet d’une discussion ou bien il peut être l’être qui fait l’action ; la morale désigne quant à elle, l'ensemble des règles ou préceptes relatifs à la conduite, c'est-à-dire à l'action humaine. Ces règles reposent sur la distinction entre des valeurs fondamentales : le juste et l'injuste

La Casuistique : http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=5973 Casuistique La casuistique (La casuistique est utilisée en théologie morale, en droit, en médecine et en psychologie. Elle consiste à résoudre les...) est utilisée en théologie morale, en droit, en médecine et en psychologie. Elle consiste à résoudre les problèmes posés par l'action concrète au moyen de principes généraux et de l'étude des cas similaires. Le mot « casuistique » vient du latin casus qui signifie :

Droit des obligations+ Intro : I) Le rappel des constantes de la responsabilité civile a) Structure de base de tout régime de responsabilité Quelque soit le régime de responsabilité, il faut toujours que soit réunit les trois conditions positives de la responsabilité : le fait générateur, le dommage, un lien de causalité. Il faut ajouter à ces trois conditions positives, il faut ajouter une quatrième condition, une condition négative, l’absence de cause d’exonération. Cette quatrième

sociétés. Cela montre que nous jugeons en prenant comme modèle les pratiques culturelles de notre propre société. Dés lors, ces critiques manquent d’objectivité et d’une certaine prise de recul. Influencé par sa propre culture, ai-je seulement le droit de juger les autres? Si oui, sur quels critères pouvons nous nous appuyer pour juger ? Est-ce possible, contenu des grandes différences de mode de vie et de la pluralité des cultures qui existent, d’émettre un point de vue juste sur autrui ? N’est-ce-pas

positif aussi en ce qu’il suscite la réflexion et exige un détour, destiné à le dépasser pour nous permettre de progresser. Or il est évident que la matière fait souvent obstacle à notre liberté, comme autrui, ou encore la société, l’État, la morale, le droit, jusqu’à notre conscience en nous-mêmes. Qu’en est-il donc de la liberté, face à ces entraves : faut-il y voir un rêve impossible, s’il s’avère que le monde est fait d’obstacles que l’on ne peut espérer dépasser un jour parce qu’ils lui sont

le fouillis. La première thèse est le désordre est préférable à l'injustice car on peut y mettre un terme facilement. Puis de l'injustice que personne n'aime car elle mène à des inégalités. Et enfin, peut-il y avoir une justice en dehors du droit? Le désordre est préférable à l'injustice car on peut facilement le stopper. Le désordre à plusieurs origines. il peut être mener par un groupe de personnes car elles sont en colère contre une idée, une loi ou bien une

solidarité organique A. Le passage de la société traditionnelle à la société moderne La thèse soutenue par Durkheim dans son livre De la division du travail social, repose sur le fait qu’il existerait dans toutes les sociétés humaines, une fonction morale qui rend les individus solidaires entre eux. Cette solidarité dépendrait soit de l’existence d’une conscience collective (solidarité mécanique) soit de la division du travail social (solidarité organique). Aujourd’hui, la communauté laisse la place

reconnaissance publique pour avoir des effets structurants dans la société. Ce n’est plus le cas dans les écrits récents du philosophe dans lesquels c’est dorénavant la diversité qui structure les contours des délibérations collectives. L’égalité morale des individus est un principe qui ne peut être enfreint que par quelques principes politiques de base nécessaires à la cohésion politique dune société pluraliste et le problème est dorénavant celui de former une identité commune dans un contexte de