Drosophile

les connaissances (6 points) La Drosophile est un insecte dont on connaît de nombreuses variétés issues de mutations. L’une d'elles se caractérise par l'absence de nervures transversales au niveau des ailes (mutation cross veinless). On cherche à localiser le gène impliqué dans ce phénotype. Expliquez les résultats expérimentaux présentés dans le document. Vos explications seront complétées de schémas chromosomiques. Document On croise entre elles des Drosophiles qui différent par le caractère

individus roux meurent par 100 Sujet 39 : Les drosophiles de phénotype sauvage ont les antennes normales, le corps gris et les yeux rouges. 1. On croise deux drosophiles : l’une de phénotype sauvage, l’autre de race pure aux antennes courtes, corps ébony et yeux rouges. On obtient : 54 drosophiles aux antennes normales et corps gris ; 57 drosophiles aux antennes normales et corps ébony ; 56 drosophiles aux antennes courtes et corps gris ; 58 drosophiles aux antennes courtes et corps ébony. En

associée des cancers des muscles chez les enfants. Le Rhabdomyosarcome est le cancer le plus fréquent de tumeur solide chez les enfants. Les gène Pax 3 est transloqué à côté du gène FOXO1, ils fusionnent Les gènes Pax ont été identifiés chez la drosophile. Ce sont des gènes qui vivent dans le noyau. Question 1 : · 1 : · 2 : Dermomyotomes· 3 : Ces cellules vont faire les muscles du bourgeon de membres. Bourgeons de membres.Ici, un mutant Pax 3 est recréé. Question 2 : knocking. On va ajouter quelque

en 20006. Cependant, les cerveaux d'invertébrés les plus étudiés demeurent ceux de la drosophile et du ver nématode Caenorhabditis elegans. Du fait de l'important panel de techniques à disposition pour étudier leur matériel génétique, les drosophiles sont tout naturellement devenues un sujet d'étude sur le rôle des gènes dans le développement du cerveau7. De nombreux aspects de la neurogénétique des drosophiles se sont avéré être également valable chez l'Homme. Par exemple, les premiers gènes impliqués

3) La formation des asques 44. Conclusion : La disposition des spores dans les asques de Sordaria s’explique par la recombinaison inter et/ou intrachromosomique. II. Le brassage génétique dans le cas d'un organisme diploïde : exemple de la Drosophile. A. Transmission d’un caractère. 1) Données expérimentales et phénotypes (dominants, récessifs). Est-ce que les deux souches diffèrent pour un seul gène ? 2) Le croisement test et les génotypes. Hypothèse 1 : Si le caractère

allèles. (Souvent un allèle dominant est écrit en majuscule et un allèle récessif est écrit en minuscule). 1 Cas d’un couple d’allèle ou monohybridisme 1) Réalisation d’un croisement P1 x P2 On croise une drosophile de lignée pure à ailes vestigiales (=atrophiées) avec une drosophile de lignée pure à ailes longues. Un individu de lignée pure est homozygote. On considère que le caractère « forme de l’aile » est déterminé par un seul gène. Ce gène existe sous 2 allèles : - l’allèle vg+ détermine

L'image des chromosomes géants de la larve femelle (3ème stade) de Drosophile montre bien le chromosome X ou I (un seul bras), les chromosomes II (bras R et L) III (bras R et L). Ils sont réunis par leurs régions centromériques au niveau du chromocentre. Ici, le petit chromosome IV n'est pas clairement repérable. La taille exceptionnelle de ces chromosomes, extraits d'une cellule diploïde, est due d'une part au phénomène de polyténie (épaisseur) et d'autre part au fait qu'ils sont peu condensés

P et L et entre p et l ce qui empchait lassortiment indpendant. B) tude chez la drosophile. Morgan a mis en vidence cette dviation des chiffres obtenus par rapport la loi de Mendel. Il a tudi deux types de caractre un gne pour la couleur des yeux pr pourpre et pr rouge et pour la longueur des ailes vg vestigial vg normal. - tude du croisement pr pr vg vg pr pr vg vg Dcouverte du linkage. tude chez la drosophile 1er Croisement P pr pr vg vg pr pr vg vg F1 pr pr vg vg Test-cross pr pr vg

et la psychologie. Pour illustrer ce fait, prenons l’un des plus beaux exemples de la biologie moderne, celui des gènes homéotiques. Ces gènes particuliers de développement ont tout d’abord été mis en évidence, puis longuement étudiés, chez la drosophile. On a découvert que les mêmes gènes (ou plus exactement des gènes homologues) structuraient également le développement antéro-postérieur des vertébrés. L’explication ? Elle est a priori simple : ces gènes ont été hérités d’un ancêtre commun.

par des récepteurs PAMP (Pathogen Associated Molecular Pattern)→ structure moléculaire exprimée sur pathogènes qui est reconnue par les récepteurs de l'immunité innée. La molécule toll est impliquée dans le developpement de la drosophile lorsquon mutait toll, la drosophile devenait plus sensible aux infections cela prouve que toll permet de reconnaître les pathogènes Or, insectes ont que immunité innée, donc c'est un recepteur de l'immunité innée Chez mammifères, ils ont découvert plusieurs molécules