Drosophile

signalant l’entrée dans la phase d’élongation de la transcription TFIIE et TFIIH se dissocient alors du complexe. TFIIB se dissocie également, mais se réassocie à TFIID) qui reste fixé au promoteur. Interactions entre les TAFs des complexes TFIID de drosophile et d’homme Les interactions entre les TAFs sont représentées par des traits noirs. Les traits pointillés correspondent à des interactions plus faibles ou controversées. Les TAFs homologues entre dTFIID (en haut) et hTFIID (en bas) sont représentés

à 50% indique que les organismes sont proches et possèdent donc un ancêtre commun.    Ouvrir le logiciel anagène Ouvrir les quatre fichiers présents dans le dossier boxthm présents dans le dossier développement Sélectionner les fichiers Dfd drosophile, B4 homme, C4 homme, B4 souris, B4 Xénope Comparez les séquences à l’aide du logiciel. que pouvez –vous dire ? Relever les pourcentages d’identités entre les séquences à l’aide du menu « information ». Que remarquezvous ? Pourquoi peut-on affirmer

cellules indifférenciées C2C12 conduit à une diminution de l'expression endogène nPTB. Tant le miR-133 et les co-exprimées miR-1/206 microARN sont très conservés entre espèces animales et des protéines PTB sont des cibles pour ces miARN dans prédit la drosophile , souris et les humains. Il existe deux miR-133-sensibles éventuels éléments (MRE) au sein de la nPTB 3 'non traduite (UTR), et un rapporteur luciférase de transporter la 3' UTR est réprimée par miR-133 d'une manière dépendante du MRE. La transfection

développement d’une partie de la tête chez une souris par le gène équivalent… de la mouche ! Je trouve cela énorme : le développement de notre cerveau est contrôlé à la base par le même gène que celui qui contrôle le développement du système nerveux de la drosophile. Depuis que j’ai réalisé cela, je ne regarde plus les mouches de la même façon… Autre surprise, les gènes hox sont tous très proches les uns des autres, et en fait dérivent tous d’un même gène ancestral, qui est donc apparu il y a extrêmement longtemps

laquelle on trouve essentiellement des gènes ouverts à la transcription, càd qu’il s’agit de gènes qui sont transcrits et de gènes qui sont prêts à l’être La structure chromatidienne influence la transcription génique XP réalisée sur la drosophile : La drosophile sauvage a les yeux rouges et on sait que cette coloration est due au gène w ; il existe certaines mutantes qui ont les yeux majoritairement blancs (il reste qq cellules rouges) On a découvert qu’il ne s’agissait pas d’une mutation dans

orrection des activités du chapitre 3 Comprendre et modéliser le brassage interchromosomique lors de la méiose I Drosophile à ailes longues et corps gris Méiose gamètes 1 Méiose gamètes Drosophile à ailes vestigiales 2 et corps ébène Fécondation II nombreuses cellules œuf donnant... 100% de Drosophile Méiose à ailes longues gamètes et corps gris 1 2 Drosophile à ailes vestigiales et corps ébène Méiose gamètes Fécondation III nombreuses cellules œuf donnant.

|l’Homme est interdite à ce jour. | |La relation génotype-phénotype est-elle si |Exercice formatif: la couleur des yeux de la |Un phénotype macroscopique (ex : couleur | |simple ? |drosophile. |des yeux) donné résulte de l’expression | |III. La complexité des relations |Exercice d’application : les groupes sanguins. |combinée de plusieurs gènes. La mutation | |génotype-phénotype

parties codantes des gènes. Les mécanismes de la transcription et de la traduction sont hors programme. C/ Complexité des relations entre génotype et phénotype - Applications Activité 1 : Analyse de divers exemples : pigments des yeux de drosophile, albinisme, groupes sanguins... Cours : Un phénotype macroscopique donné résulte de processus biologiques gouvernés par l'expression de plusieurs gènes. La mutation de l'un seulement de ces gènes peut altérer ce phénotype. Un même phénotype

de l’ADN   1960 Jacob et Monod : notion d’ARNm   1965 Niremberg : décriptage du code génétique L’ingénierie génétique se développe, avec des applications industrielles (OGM, production de protéines recombinantes) Gènes et chromosomes : la drosophile (1928) Expérience d’Hershey et Chase (1953) Expérience d’Avery, Mac Leod et Mac Carthy (1944) : Nature du principe transformant Introduction Février 2001 : Publication de l’ébauche (draft) de la séquence du génome humain Avril

de gamètes produits par les individus de F1. ------------------------------------------------- 2 Premier cas : les phénotypes issus du test-cross sont en quantités égales Résultat d’un croisement-test avec brassage interchromosomique chez la drosophile. * Si les résultats du test-cross engendrent quatre phénotypes en quantités égales, cela montre que les gènes sontindépendants, portés par des chromosomes différents : les individus F1 ont produit 4 types de gamètes différents avec une probabilité