Dualité Femme

LA FRIME « Faire la belle » est une expression pour qualifier une fille ou femme qui parade, se pavane, se prend pour quelqu'un de beau. Cette expression reflète bien la frime, et l'attitude de certaines femmes. Nous avons choisi ce sujet car nous sommes 3 femmes, et nous observons dans la vie de tous les jours la frime parmi nos connaissances, et même parfois nous-mêmes. Nous trouvions intéressant de se poser quelques questions pour mieux comprendre les raisons de la frime dans la société

Cette volonté de faire naître des émotions à travers l’œil du spectateur serait pour certains une particularité spécifiquement féminine. Mais existe-t-il un rapport sexué à la création? Certains se disent capable de repérer une œuvre produite par une femme en littérature, peinture, sculpture, etc. il y aurait donc un art féminin et un art masculin. Or, dans le domaine de la peinture, il n’y a aucune particularité stylistique qui s’attache à l’œuvre des femmes. Ni la délicatesse de la touche ou l’utilisation

souvent victimes de la pauvreté et du chômage et d'être plus exposées à la violence et ce depuis de nombreux siècles la femme a dès sa naissance un rôle bien à elle. Les hommes ayant des vues traditionnelles - revendiquant que les femmes doivent s'occuper des travaux ménagers plutôt que de travailler par exemple - gagneraient plus que ceux dont la vision des rôles homme/femme est égalitaire. En revanche, les femmes ayant des valeurs traditionnelles sont plus succeptibles de gagner un salaire moins

analyse spatiale détaillée vient nous aider à appréhender les sentiments d’attraction et de répulsion impliqués par certains lieux. Dans la même perspective, la partition traditionnelle et à priori sexuée de l’espace géographique vient assigner à la femme la sphère privée, c’est-à-dire l’espace intérieur, face à la sphère publique, l’espace extérieur prégnant de masculinité. Dans l’optique adoptée par di Méo, la géographie sociale s’établit alors à travers un décryptage de l’identification des lieux

incompatibles, elles restent au-dessous de leur portée sans se mettre à la nôtre, et perdent la moitié de leur prix. Croyez-moi, mère judicieuse, ne faites point de votre fille un honnête homme, comme pour donner un démenti à la nature ; faites-en une honnête femme et soyez sûre qu'elle en vaudra mieux pour elle et pour nous. S'ensuit-il qu'elle doive être élevée dans l'ignorance de toute chose, et bornée aux seules fonctions du ménage ? L’homme fera-t-il sa servante de sa compagne ? Se privera-t-il auprès

dénoncer et critiquer ses habitudes et ses soi-disants bonnes mœurs. Le plus souvent à l'encontre de la grande ou de la petite bourgeoisie, Chabrol s'attaque toujours à une étude psychologique toute en nuance mais qui révèle une grande férocité. La Femme Infidèle, sortie en 1969, s'inscrit dans la plus pure lignée Chabrolienne. Situant son récit au sein d'une famille bourgeoise parisienne, le cinéaste va, comme à son habitude, nous peindre un portrait au vitriol de ces gens qui ont tout pour être heureux

du simple geste d’écrire, dans cette ambivalence entre écriture politique et écriture romanesque qui est la sienne. Drieu compte en effet sur le roman Le Feu follet pour se faire reconnaître en homme de lettre. Ce qui est marquant ici, c’est cette dualité entre la monstration (le critique juge, désigne) et la création non projetée (l’auteur doit s’en remettre à une autorité extérieure pour qualifier sa propre œuvre). Drieu perd son statut de romancier, et avec la capacité de définir son œuvre. Dès

figure inspirée de George Sand. Par son double prénom, Félicité et Camille, le narrateur annonce d'emblée au lecteur qu'il aura affaire à un personnage double qui se place entre les deux sexes. Ce travail analysera d'abord ce personnage en tant que femme auteur, pour ensuite s'attacher aux ressemblances entre George Sand et Camille Maupin, mais aussi les contradictions qu'incarne Félicité des Touches à différents niveaux. Au niveau du genre tout d'abord, Félicité prend un pseudonyme masculin et est

sur le positionnement social basé sur le degré du savoir être et du savoir faire tant que la hiérarchie des valeurs et des hommes que nous offre notre espace vitale, s’avère fondée. Il s’agir bien entendu ici de la disharmonie de vécu social homme/femme. A la suite de ce qui précède, l’on peut se demander si l’être de sexe masculin est en droit dans ses relations avec l’être du sexe féminin déconsidéré ce dernier comme un être de second plan telles que certaines traditions humaines le conseillent

représentations dont le rôle principal était tenu par une femme puis sur le texte de Musset. Dans un second temps nous observerons que Lorenzo est un personnage insaisissable qui oscille en permanence entre le bien et le mal, ce qui renforce son ambigüité. Puis, pour finir, nous nous pencherons sur le paradoxe de ce personnage qui se présente à la fois comme héros et anti-héros. Le personnage de Lorenzo a été de nombreuses fois joué par une femme. Après la mort d’Alfred, Paul de Musset, son frère