Duché de Bavière

beau-frère de Mansart, qui dessinait de Versailles et de Paris, pour les souverains étrangers, des plans qu’exécutaient ensuite ses élèves. À dire vrai, nulle « copie conforme » n’a été tentée, sauf peut-être à la fin du XIXe siècle, par Louis II de Bavière, que ses contemporains déclarèrent fou. À Herrenchiemsee, il fit édifier un extravagant Versailles, un peu plus petit que l’original. Dans la galerie des Glaces, dans la Chambre du roi, dans les Grands Appartements ainsi transportés sur une petite

appropriation privée des charges publics (car c'est de génnérzion en g"nation) et cette appropriation prépare le seigneurial, progressivement on assiste à la création de grandes principautés autonomes. Ces principautés regroupent plusieurs comtés, (par ex le duché de Bourgone, Bretagne…) . ces principautés territoriales sont gouvernés par des princes, chaque principauté représente un cadre politique et juridique indépendant . Donc le prince à la tête de cette principauté territoriale est souverain, il est titulaire

particule, les armoiries et les honneurs de la cour. ⎝ La particule : ne détermine pas la noblesse. Un propriétaire qui avait une terre collait à son nom le nom de la terre. Les titres étaient attachés aux terres et non aux personnes. Un duché, un marquisat, un comté était lié à la terre et si le propriétaire de la terre la perdait, il perdait le droit de porter le titre. ⎝ Les armoiries : c’était un privilège partagé avec les bourgeois, les ecclésiastiques et les villes. La distinction

certains domaines territoriaux très puissants comme l’Aquitaine qui, à cette époque, représente géographiquement le quart ou le cinquième de la France car elle s’étend du Poitou au Pyrénées et de l’Atlantique à l’Auvergne. Evidemment il y a aussi le duché de Bourgogne. Ceux sont là des puissances territoriales à côté desquelles le roi est un petit personnage. Le roi exerce une autorité réelle sur les terres de son domaine mais il a souvent fort à faire avec certains seigneurs voisins, des seigneurs

la maîtresse de Forcheville ». La tendresse succédait à la jalousie : « Penser que, pas plus tard qu’hier, comme elle disait avoir envie d’assister à la saison de Bayreuth, j’ai eu la bêtise de lui proposer de louer un des jolis châteaux du roi de Bavière pour nous deux ». Il prenait d’éphémères résolutions de rester quelque temps sans la voir. Mais cet amour, « qui s’étendait bien au-delà des régions du désir physique », le faisait s’interroger sur « le mystère de la personnalité ». Il se servit de

l’obtention par l’intéressé d’un décret d’admission à domicile. Forgo n’ayant ni sollicité, ni obtenu un tel décret, fut considéré comme ayant en France un simple domicile de fait et comme ayant conservé son domicile de droit dans son pays d’origine la Bavière. Sa succession mobilière importante fut réclamée par des collatéraux de sa mère qui étaient ses seuls parents. La solution dépendait de la loi successorale applicable. Selon la loi bavaroise les collatéraux héritèrent. Selon la loi française les biens

l’abbé qui dirige l’Abbaye de St-Denis, Abbé SUGER (dirige le royaume pendant 2 ans lorsque Louis VII est à la croisade) Suger meurt en 1161, Louis VII met la dynastie capétienne en danger ; en 1137, le futur Louis VII avait épousé l’héritière du duché d’Aquitaine, Aliénor d’Aquitaine ; mariage intéressant pour la monarchie. Aliénor apportait des territoires, les provinces (Auvergne, Limousin, Poitou, Périgord, Gascogne). En 1151, Louis VII se sépare d’Aliénor en faisant annuler le mariage : Aliénor

employés, elle illustre non seulement un style artistique, mais encore certains traits de la civilisation dont elle est issue. 1re partie : la commande du tableau : – elle est le fait d’une famille princière de la Renaissance, les Della Rovere, dont le duché, celui d’Urbino, s’est souvent signalé par son mécénat et par l’intérêt porté à l’art ; – elle est passée auprès d’un des plus grands peintres de la Renaissance, Le Titien, qui a alors atteint sa pleine maturité d’artiste. Que la commande s’adresse

supériorité du temporel sur le spirituel. §1. La monarchie universelle: Dante, Marsile de Padoue et Guillaume d'Occam Ces auteurs sont dits bavarois parce qu'ils interviennent au 14ème siècle aux côtés de l'Empereur germanique (Louis V de Bavière) qui se trouve engagé dans une querelle doctrinale très intense contre la papauté. C'est une querelle qui existe depuis les 11/12ème siècles, plus précisément, depuis la réforme grégorienne. A) Dante Dante Alighieri (1265 – 1321) est

Elle d’abord dominé par l’éveil d’une composante le royaume de Prusse. Il se trouve que la Prusse ne va pas tarder à s’opposer à l’autorité. Ce royaume de Prusse a été créé par Frédéric 1er de Hohenzolern à partir de deux différentes composante : le duché de Prusse et es terres qui avaient été concédé à un ordre religieux et militaire afin de permettre de soigner les croisés allemand installé à Jérusalem. En 17011 l’empereur accorde au duc de Prusse le droit de porter le titre de roi. Dès lors l’Etat