Duke Ellington

omniprésent tout le long du roman. Il y a de nombreuses références aux musiciens et compositions de jazz. Par exemple plusieurs « Z » de jazz sont à l'intérieur des mots (ex. : Doublezons, zonzonner…) et le nom de Chloé provient de l'arrangement de Duke Ellington intitulé « Chloé ». • La religion : Vian critique la religion à travers un mariage et un enterrement. Pendant le mariage, l'église est présentée comme avide d'argent. Le curé se réjouit de la mort du chef d'orchestre, comme il n'aura ainsi pas

plus tenaces, perdra son insouciance, partagera le sort de Chloé, verra disparaître son monde, ses amis, sa vie. Chloé : Chloé incarne la beauté, féminité et la douceur. Elle est l'objet de l'amour de Colin. Elle porte le nom d'un morceau de Duke Ellington et l'amalgame est fait par colin lui-même : c'est un beau morceau ! Elle est jeune et jolie, insouciante et sensuelle. Elle ne brille pas par son intelligence, n'aime pas les situations compliquées, elle aime rire. Elle aime l'amour et les attentions

Antonine Paterne, fille d'une indienne caraïbe, sont tous deux natifs de la Guadeloupe. Il a un frère, André et une sœur. À l’âge de 7 ans, Henri Salvador débarque en métropole. Adolescent, il découvre le jazz et rêve d’imiter ses idoles, Duke Ellington et Louis Armstrong. Passionné de musique, il étudie la trompette, le violon et la guitare. Dans les années 30, Henri Salvador fait ses premières armes aux terrasses des cafés en tant qu’humoriste. Le public se délecte des pitreries du jeune

pauvre, naturel, lucide, triste, insomniaque, profond... Chloé Chloé incarne la beauté et la féminité. Elle est l'objet de l'amour de Colin. Elle se présente d'ailleurs davantage comme un objet qu'un sujet. Elle porte le nom d'un morceau de Duke Ellington et l'amalgame est fait par colin lui-même : c'est un beau morceau ! Elle est jeune et jolie, insouciante (jusqu'à son mariage !) et sensuelle. Elle ne brille pas par son intelligence (l'argumentation au sujet du travail !), n'aime pas les situations

du même métal : calypso, cha-cha-cha, Guitar Boogie, Green Eyes Rumba, rock’n roll, big bands américains en 78 tours, Chatanooga chew chew, et pour sûr Menelik (The Lion of Judah), composé par le trompettiste Rex Stewart et enregistré avec Duke Ellington et Ben Webster en 1941. Quelle aubaine que ce thème de jungle, tout à la fois irréprochable célébration de Menelik l’invincible (l’unique exemple d’une victoire africaine sur un colonisateur européen — mars 1896, l’armée italienne est écrasée

il est l’un des héros de l’œuvre. Chloé Chloé est la jeune femme dont tombe amoureux Colin. Elle porte en elle tous les attraits de la féminité : beauté, légèreté, et une certaine naïveté aussi. Elle a le même nom qu’un morceau composé par Duke Ellington, ce qui lie l’univers de l’amour à celui du jazz. Elle n’est pas très intelligente mais aime la vie. Toutefois, dès son mariage, elle tombe gravement malade. Elle finira par mourir de sa toux, mais surtout d’un ennui profond. C’est elle qui

une revue de presse et de nombreux articles. A la fin des années 40, Vian laisse le Tabou au profit d'une autre cave de jazz, le Club Saint-Germain-des-Prés, à deux pas de là, rue Saint Benoît. Il y reçoit de célèbres jazzmen américains dont Duke Ellington, Charlie Parker ou Miles Davis. Multipliant à l'infini ses activités, Vian écrit à cette époque ses premiers spectacles de cabaret. Il se met également à la traduction de romans noirs dont ceux de Raymond Chandler dans la série "Série noire",

des vrais salles de spectacles et des dancings populaires tels que le Cotton Club à New York. Cette musique cherche alors à faciliter la danse comme avec ce fameux swing. Une des grandes figures qui dominent le secteur des grands orchestres est Duke Ellington (1889-1974), pianiste, compositeur, arrangeur et chef d'orchestre. Cet homme avec ses collaborateurs a réinventé un nouveau Jazz plus viril et raffiné, son style est multiple et il se plait à jouer toutes sortes de mélodies envoutantes. Ce middle

réharmonisés, paraphrasés mélodiquement deviennent méconnaissables. L'improvisation s'éloigne du thème, de la recherche mélodique, pour se rapprocher du discours, de l'expression débridée. « Jouer du bop c'est comme jouer au Scrabble sans les voyelles. » Duke Ellington. Au tournant des années 50, Miles Davis quitte le quintette de Charlie Parker et s’associe aux arrangeurs et musiciens Gil Evans et Gerry Mulligan pour expérimenter une nouvelle formation instrumentale. L’instrumentation mute et passe de l’habituel

jeunes lions qui sont excellents. Nous, les papys, avons un devoir capital : c’est de les aiguiller pour être sûr qu’ils prennent le bon chemin et leur expliquer ce que l’on sait. Le passage du flambeau, comme l’ont fait en leur temps Louis Armstrong, Duke, Basie, Hawkins, Roy Eldridge …  Mais, je dois dire qu’aujourd’hui, je ne m’enthousiasme pas énormément car il est difficile de trouver et d’entendre quelque chose d’intéressant venant de la jeune génération actuellement. Ayant côtoyé les meilleurs