Duke Ellington

interviews, Richards has historical Often Cited Maternal grandfather as a strong influence Growing Up. Richards' mother also introduced Richards to the music of Billie Holiday, Louis Armstrong, Duke Ellington. Richards' mother aussi Richards Introduced to the music of Billie Holiday, Louis Armstrong, Duke Ellington. Another influence was American Film and recording artist Roy Rogers, whom the young Richards imitated by dressing as a cowboy and playing guitar. Another influence WAS American Film and recording

scène le soir de son triomphe. Tous les géants du jazz encore vivants :Ornette, Rollins, Cecil Taylor, Braxton,Yussef Lateef, Ahmad Jamal, il en reste si peu... Même Nixon avait naguère invité solennellement le plus grand musicien de son époque, Duke Ellington, à la Maison Blanche.Obama n’en a rien à foutre du jazz, il ne le ressent pas. Il suffit de le voir danser, aucun swing, aucun feeling, il est aussi loin du jazz que ne l’était son idole Bill Clinton lorsqu’il embouchait un saxophone ténor ! La

Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés qui rassemblent des intellectuels et artistes de la Rive Gauche : Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Marcel Mouloudji, Miles Davis… Le jazz est sa passion. En 1939, il assiste à un concert de Duke Ellington : c’est une révélation. Son premier roman célèbre (signé sous le pseudonyme de Vernon Sullivan) est J'irai cracher sur vos tombes, (1946). Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Boris

Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés qui rassemblent des intellectuels et artistes de la Rive Gauche : Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Marcel Mouloudji, Miles Davis… Le jazz est sa passion. En 1939, il assiste à un concert de Duke Ellington : c’est une révélation. Son premier roman célèbre (signé sous le pseudonyme de Vernon Sullivan) est J'irai cracher sur vos tombes, (1946). Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Boris

le développement du disque, les premières vedettes comme Louis Amstrong connaissent une renommée internationale et le genre se répand en Europe. Les instruments se sophistiquent : saxophone, piano, contrebasse. De grands orchestres se forment : Duke Ellington, Fletcher Henderson, Count Basie ... C'est l'âge d'or des big bands et du swing, qui connaît un réel succès populaire ; puis viens l'ère du bebop durant laquelle apparaissent de grands solistes à la virtuosité époustouflante. Le jazz, lui auusi

trouverait fort désagréable. Même notre auditeur acharné de jazz n’écoute pas du jazz toute la journée : il choisit un morceau de Free-jazz au détriment d’un morceau d’Acid jazz, ou même un morceau de Miles Davis plutôt que de Duke Ellington. De la même manière, si l’on dit avoir le goût de la liberté, n’est-on pas ici aussi beaucoup trop large ? Boris Vian, dans Le déserteur , prévient le président que les gendarmes pourront tirer, lui enlever cette liberté

nombre de percussionistes. La prohibition des années 1920, permet à la musique noire, appréciée de gangsters richissimes, de trouver des mécènes généreux et de développer les "bigs bands", où s'épanouissent de grandes sections de cuivres ("Duke" Ellington (avec comme batteur Sony Greer, entre autres), Bill "Count" Basie, "Cab" Calloway, Chick Webb (batteur soliste et chef d'orchestre) en sont les plus célèbres chefs, compositeurs, arrangeurs voire pianistes, qui se produisent dans les non moins

Barry Lyndon (1975) ou 2001 : L'Odyssée de l'Espace (2001: A Space Odyssey) (1968). Et que dire du mélomane Woody Allen, ardent défenseur du jazz, dont les grands noms ( Cole Porter, George Gershwin, Django Reinhardt, Harry James, Benny Goodman, Duke Ellington, Glenn Miller, Louis Armstrong, etc… ) furent une source inépuisable d’inspiration. Un autre exercice est celui de l’art du recyclage dont maître Quentin Tarantino est évidemment un expert puisqu’il s’agit de la technique personnelle de ce cinéphile

eux une revue de presse et de nombreux articles. A la fin des années 40, Vian laisse le Tabou au profit d'une autre cave de jazz, le Club Saint-Germain-des-Prés, à deux pas de là, rue Saint Benoît. Il y reçoit de célèbres jazzmen américains dont Duke Ellington, Charlie Parker ou Miles Davis. Multipliant à l'infini ses activités, Vian écrit à cette époque ses premiers spectacles de cabaret. Il se met également à la traduction de romans noirs dont ceux de Raymond Chandler dans la série "Série noire",

Musiciens et Compositeurs Joseph Haydn, Wolfgang Amadeus Mozart, Franz Liszt, Jean Sibélius - Peintres et Sculpteurs Frédéric-Auguste Bartholdi, Marc Chagall, Juan Gris, Nadar - Autres Artistes John Wayne, Clark Gable, Louis Armstrong, Duke Ellington, Oliver Hardy - Militaires Abdelkader (Algérie), Félix Eboué, Joseph Joffre - Hommes de Sciences et Médecins Ovide Decroly, Henri Dunant, Alexander Fleming, John Glenn - Industriels Charles Hilton, les chefs des groupes automobiles