Duo Maitre Valet

scène d’expositionLe personnage d’Arlequin et l’originalité du personnage = intéressant en lecture linéaire. Il ne reste pas dans son rôle. Il est intelligent, frondeur.+ travaille en parrallèle le mâitre et l’opposition entre les ^personnages : il essaie de garder le rang établi entre maître et valet on sent la peur de l’inversion des rôles.En conclu : cela donne le ton de la pièce avec remise en question de la noblesse + dans l’esprit du siècle des lumières Je te laisse ce commentaire mais il

préjugés contre l’amour Ce premier thème est donc l’amour contre les préjugés sociaux, nous allons parler de Lisette et Arlequin, qui sont tout deux déguisés en maitre. Si nous récapitulons bien, Lisette est censée être Silvia, et Arlequin, Dorante. Le duo Silvia – Lisette ne sait pas que Dorante et Arlequin ont eux aussi changé de rôle, et le duo Dorante – Arlequin ne sait pas non plus pour Silvia et Lisette. Donc, si Lisette est Silvia, et Arlequin est Dorante, Silvia tombe amoureuse d’Arlequin en pensant

5actes Cette pièce est considérée comme osée, elle a été censuré 5ans. Le Mariage de Figaro ou la folle journée d’après le titre se passe en une journée conformément à la règle de l’unité de temps pièce classique + personnage principal est Figaro un valet qui est mis au devant de la scène clin d’œil aux Fourberie de Scapin + intrigue principale est le mariage comédie + adjectif folle promet des nombreux rebondissements. * Résumé BS : le comte Almaviva est amoureux de Rosine, Figaro l’a fidèlement

JUAN : LE COUPLE SGANARELLE / DOM JUAN RELATION MAITRE ET VALET Dom Juan de Molière, écrit en 1665, met en scène dans une tragi-comédie un libertin séducteur et athée. Son valet Sganarelle l’accompagne au long de la pièce, mais il est quant à lui un personnage du peuple tout à fait croyant et respectueux des femmes. Face à ses contradictions de caractères, nous pouvons nous demander quelles sont les relations qu’entretient ce couple maître-valet qui. Nous verrons tout d’abord l'attachement de

Inspire la peur « le plus grand scélérat », « plus grand méchant homme » comme un monstre => métaphore animale « un chien », « bête brute », « pourceaux » Ces mots finissent le portrait. II. Sganarelle se dévoile => portrait différent de son maître. Valet de comédie par son nom (équivalent d’Arlequin) - Servile, obéit même lorsque ça lui déplait « par son ordre je partis avant lui », « fidèle en dépit que j’en ai » => lâcheté « la crainte en moi fait office de zèle » et son empressement « le

début de l’acte II qui est marqué par la présence dominante des valets en scène. De façon logique, le jeu a été construit par Mario pour favoriser les vraies confrontations, respectant les conditions sociales. Suite à l’interrompu de Dorante, qui est venu pour réprimander Arlequin, les deux valets en déguise sont laissés à leur confrontation sur scène. Nous tenterons que l’enjeu de ce passage tient à comment à travers le duo des deux valets se joue un conflit sur la question de l’aveu de la circonstance

passé qui explique la situation des personnages va justement constituer l’essentiel de l’ouvrage. « in medias res » : ce serait le cas si on avait réellement action. Or il ne se passe rien : deux hommes discutent, s’endorment, se perdent, le maître bat son valet pour la forme : guère plus passionnant qu’une scène d’exposition de Beckett. Difficile donc de croire que les deux personnages du titre soient des héros ; paradoxe de ce décalage. D’ailleurs, Diderot dit les avoir choisi par hasard, comme

l'acte III scene 6 – Il s'agit d'une scène où les valets, avant leurs maîtres (III,8), ôtent leur masque et s'avouent 
mutuellement leur véritable identité et leur condition sociale réelle. C'est d'abord Arlequin qui abandonne son déguisement en finissant par révéler son statut de « soldat d'antichambre », avant que Lisette ne confesse qu'elle n'est que la « coiffeuse de Madame ». C'est donc la fin de la comédie dans la comédie pour les valets. – Chacun des deux personnages est persuadé d'être

A travers les siècles, le rôle du valet a évolué, et particulièrement entre le XVIIe et le XVIIIe siècle dans des comédies allant de Molière à Beaumarchais et au XXe siècle avec Jean Genet. La condition du maître et celle du valet reflètent une réalité sociale. Ce couple incarne l’inégalité de la société, dans laquelle le maître, représentant des puissants, domine ; et le valet, considéré comme inférieur, exprime l’impossibilité de se faire une place dans un monde où la naissance prime sur le mérite

Les relations Hamm/Clov Hamm et Clov, soit, le père et le fils adoptif forment un duo théâtral dans Fin de partie de Samuel Beckett. Ces personnages monosyllabique semble être incomplet, mais à la fois complémentaire. Tel un vieux couple ce duo meuble et structure la pièce. En effet ces personnages évoque la théâtralité, . Ils jouent ensemble. Le père et le fils, le maître et le valet. C’est un véritable jeu qui se créé entre eux. Tout d’abord à travers les mouvements