Duo Maitre Valet

l’époque pour ses mimiques, grimaces et autres bruits de la bouche devenus cultes qui ponctuent ses phrases et rendent ses personnages excellemment drôles. Yves Montand est lui aussi un acteur célèbre grâce à de nombreux premiers rôles. Dès lors, le duo de Funès et Montand attire l’oeil. Effectivement, des artistes populaires et appréciés du public sont un avantage indéniable au succès d’un film car ils donnent envie aux spectateurs d’aller voir un film dont ils savent à l’avance qu’ils ne seront probablement

rôles à la comédie de Beaumarchais Le valet prend un poids que la tradition théâtrale ignorait. Pour Figaro, l’unique but dans la vie est de trouver le bonheur, il a decidé de devenir indépendant. En cela, c’est un personnage représentatif de la philosophie du 18e siecle, qui considère que le bonheur a une grande importance. Avant, on menait sa vie en suivant les règles morales très strictes afin de s’assurer d’aller au paradis. Le personnage du valet est typique de la comédie : la tragédie

femmes de Molière. Le comte Almaviva est tombé amoureux d'une jeune orpheline qui s’appelle Rosine. Il est prêt à tout pour empêcher Bartholo, son vieux tuteur, de l’épouser. Le compte Almaviva se déguise pour séduire Rosine. Il rencontre son ancien valet Figaro, malicieux, qui l'aidera à épouser Rosine. Le Barbier de Séville fut adapté à deux reprises pour l'opéra, d'abord par Paisiello en 1782 sous le titre barbiere di Siviglia, ovvero La precauzione inutile, puis par Gioachino Rossini en 1816 sous

et infidèle, qui fait de nouveau débat. Sa lecture de la pièce lance un regard neuf sur cette pièce connue de tous. Dans la pièce de Molière, Dom Juan et Sganarelle ne sont rien l’un sans l’autre. Dans la mise en scène de Vincent on retrouve ce duo, comme on l’attend. Dom Juan (Loïc Corbery) est svelte et jeune, Sganarelle (Serge Bagdassarian) est plus âgé et enrobé. Il n’y a pas de surprise dans le choix de ces comédiens aux physiques contrastés mais on apprécie. Et il n’y a pas que leurs physiques

présenter Jacques et son maître, les deux personnages principaux de l’œuvre, autrement que par l’intermédiaire de leur dialogue, ce début semble s’attacher à remettre en cause délibérément les principes, déjà traditionnels à l’époque de Denis Diderot, du genre romanesque. Il convient alors de s’interroger sur les motivations de cette subversion. c. Annonce du plan En refusant les principes du roman traditionnel, l’incipit nous présente une version nouvelle des rapports maître/valet, à travers lesquels

l’occasion s’en présentera. | | | | | |LE MAÎTRE - Mais, Jacques, on n’a jamais rien stipulé de pareil. | | | | |

Le Mariage de Figaro , qui s’inscrit dans la trilogie : Le Barbier de Séville et La Mère coupable . Dans cette comédie, Beaumarchais met en scène le valet Figaro qui tient tête au Comte Almaviva, son maître, ce dernier tentant de séduire sa fiancée, Suzanne. Le texte proposé est la scène d’exposition de la pièce, présentant les personnages et l’intrigue. Quels enjeux nous révèle cette scène d’exposition ? I) Lignes 1

renouvelés :maître et valet 2 stéréotypes du théâtre traditionnel or la situation dramatique où Beckett les a placés en défait le modèle. Hamm : maître despotique et imprévisible dans ses caprices, clov : valet soumis plein de rancune, tyran (on comprend qu’il détient le pouvoir, est responsable de la mort de Nell et de la mère Pegg) Reprennent un cliché de la comédie traditionnelle mais Beckett revisite ce couple : paradoxe : le couple de l’autorité impuissante et de la vaine révolte, hamm, maître impotent

particularité d’être gouvernée par d’anciens esclaves qui contraignent maîtres et domestiques à échanger leurs places. Les nouveaux maîtres ne se privent pas de se venger de leurs années de servitude en infligeant à leurs esclaves les vexations qu’ils ont jadis subies. Mais en même temps qu’ils découvrent l’ivresse du pouvoir, Arlequin et Cléanthis font l’apprentissage de la générosité. Ils finissent par avoir pitié de leurs anciens maîtres et insistent pour que chacun retrouve sa place. Satisfait du progrès

le roman prend immédiatement l’allure d’une conversation à bâton rompu. L’œuvre est placée sous le signe de l’oralité. - Polyphonie discursive Deux dialogues se superposent : celui du narrateur et du lecteur, et celui de Jacques et son maître. La multiplicité des voix ou polyphonie énonciative peut avoir une valeur programmatique. Cet entrelacs énonciatif offre maintes possibilités narratologiques et laisse présager des interventions et interruptions qui auront lieu dans la suite, les