Durkheim Crime Normal

successivement l'objet de la sociologie et la méthode qu'elle emploie. Puis nous indiquerons les principales divisions de la science qui se constitue sous ce nom. On remarquera sans peine que nous nous inspirons directement des idées qu'a exprimées Durkheim dans ses différents ouvrages. Si d'ailleurs nous les adoptons, ce n'est pas seulement parce qu'elles nous paraissent justifiées par des raisons théoriques, c'est encore qu'elles nous semblent exprimer les principes dont les diverses sciences sociales

formation du radicalisme philosophique (Alcan). Halévy est un des nombreux concurrents aujourd’hui éclipsés par le succès de Durkheim dans son entreprise de fonder une sociologie scientifique. On trouve chez Halévy à la fois des principes de l’explication scientifique des faits sociaux (IM), et une doctrine pratique proche de l’individualisme ontologique. Controverse entre Durkheim (RMS) et Halévy sur l’explication des faits sociaux : le second argue que si l’on explique les faits sociaux en les rattachant

26 DEI Voir « Durée moyenne d’écoute par individu (DEI) » 26 DET Voir « Durée moyenne d’écoute par téléspectateur (DET) » 26 Déterminisme 26 Diffusion d’une innovation 27 Distinction 27 Division du travail social (De la) (ouvrage d’Émile Durkheim paru en 1893) 27 Domination (selon Max Weber) 27 Domination charismatique (selon Max Weber) Voir « Domination » 28 Domination légale-rationnelle (selon Max Weber) Voir « Domination » 28 Domination symbolique Voir « Violence symbolique » 28

classe « laborieuse » finissent par créer des pathologie sociales à causes de leur vices (alcool), donc dimension sociale très « bourgeoise ». Adolphe Quételet (1796-1874), astronome et mathématicien belge : essaie de dégager facteurs poussant au crime dans les catégories de la population. Constate que des lois probabilistes semblent s'imposer aux individus. Cherche à promouvoir la « physique sociale ». Mais pb : a stt des intentions politiques : dtmner par le calcul ce que serait la nature humaine

vu le jour grâce à Durkheim. Cette tradition sociologique française est très proche d’Elias. Quant à Durkheim, il instaure un geste épistémologique nouveau : il soustrait le suicide à la psychologie et à la philosophie. Il aborde du point de vue sociologique. Ce qui l’intéresse ce n’est pas l’état d’esprit de celui qui se suicide. En effet, il met en place une typologie des suicides, établit et découvre les lois sociales qui régissent les suicides. Elias est proche de Durkheim lorsqu’il étudie notamment

par solidarité la notion d’entraide, les échanges possibles entre les différents individus. Dans notre cas nous étudierons les échanges possibles au sein d’une épicerie sociale. Notre enquête s’oriente sur celle d’Evry. Ce faisant, l’analyse de Durkheim sur les solidarités et les liens sociaux mérite d’être reprise, d‘après lui, les sociétés industrielles créent toujours du lien social car l‘individualisme va de paire avec l‘interdépendance des individus. En ce point, il était assez optimiste par

inclinons à penser qu’elle est la forme même de l’inconscient punitif collectif, et ce, pour au moins trois grandes raisons que nous allons brièvement présenter. On peut déjà suggérer une explication anthropologique. Dans les sociétés primitives, le crime représente une violation des lois du tabou qui déterminent et garantissent l’organisation de la communauté. L’individu qui enfreint ces lois informulées mais admises par tous met en danger l’ensemble du clan. Mais cela ne conduit pas la communauté

éléments du sacré sont généralement considérés comme intouchables : leur manipulation, même en pensée, doit obéir à certains rituels bien définis. Ne pas respecter ces règles, voire agir à leur encontre, est généralement considéré comme un péché ou crime réel ou symbolique : c'est ce qu'on nomme un sacrilège. Le pire des sacrilège est la profanation, qui est défini comme l'introduction d'éléments profanes dans un enceinte sacrée (réelle ou symbolique). Notons que la notion de « sacré » ne se trouve

criminel c’est étudié le crime au sens large, ou le fait infractionnel. Comme la constaté Durkheim le crime s’observe dans la plupart des sociétés et qu’elle que soit les périodes concernée. L’étude du crime au sens large n’est pas le monopole des juristes cela a toujours intéressé les psychologues, les sociologues, les psychiatres et de plus en plus les scientifiques . En effet, le crime en lui-même apporte deux renseignements par rapport à cette nature humaine : - le crime nous renseigne sur

de ceux qui se sont adressés à lui. Il est important, pour réagir contre cette requête, de comprendre qu’un problème sociologique est totalement différent d’un «problème social» entendu en ce sens. Il serait naïf, par exemple, de considérer que le crime pose un «problème» parce que les juristes et les policiers le définissent ainsi ou de s’intéresser au divorce parce qu’il fait «problème» pour les moralistes préoccupés de protéger le mariage. Plus clairement encore, le «problème» du contremaître,