Durkheim Crime Normal

pénal 1) Droit pénal et politique criminelle La politique criminelle est un concept introduit au XIXème siècle par un auteur qui s’appelle Feuerbach qui la défini comme l’ensemble des procédés répressifs par lesquels l’état réagit contre le crime. Comme au temps de Feuerbach la politique criminelle comprend toujours les procédés répressifs mais également les mesures préventives qui luttent contre la criminalité. La politique criminelle est selon le professeur Delmas Marty s’analyse comme l’ensemble

Justice concluait que les peines minimales ne constituent « pas un outil efficace en matière de détermination de la peine, c’est-à-dire qu’elles gênent le pouvoir judiciaire discrétionnaire sans offrir de meilleurs résultats quant à la prévention du crime ». Pour ce qui de la politique pénitentiaire, un vaste programme de construction de prisons devait permettre d’ici à 2007 de substituer des maisons d’arrêt modernes aux établissements les plus obsolètes. Une augmentation exponentielle du parc

n’est pas un problème « social » Un problème sociologique est toujours de comprendre ce qui se passe en termes d’interactions sociale = il s’agit pas de savoir pourquoi quelque chose va mal, mais comment le système entier fonctionne ; ce n’est pas le crime, mais la loi qui intéresse le sociologue ; ce dernier veut résoudre le problème qui est de comprendre la situation sociale dans sa totalité, les valeurs et les modes d’action des deux systèmes, et la manière dont ils coexistent dans l’espace et le

déterminé par des forces transcendantes, ou naturelles. Dans la société moderne, on pense que le social a ses lois propres et qu’on peut élucider ces lois. On pense que la société est un tout qui n’est pas la somme de ses parties. C’est l’holisme. Emile Durkheim travaille sur le suicide, acte éminemment individuel. Il arrive à montrer que suicide est un fait social et doit ê appréhender de cette manière. Il montre que le suicide est déterminé par des faits sociaux. Corrélat° entre religion et suicide. De

politique criminelle Introduit au 19e siècle par FEUERBACH, la politique criminelle est définit comme l’ensemble des procédés répressif par lesquels l’état réagit contre le crime. Cette politique criminelle est plus large car elle comprend les procédés répressifs mais aussi les mesures préventives de lutte contre le crime. (Aménagement urbain) La pol criminelle est définit, dans cette conception élargit, par DELMAS MARTY : c’est l’ensemble des procédés par lesquels le corps social organise la

| | | |Émile Durkheim (1928) | | |

l’alcoolisme montrent des concentrations significativement plus élevées. La testostérone influençant le développement de nombreux traits caractéristiques masculins, l’agressivité peut être considérée comme un de ces traits, qui s’exprimera chez les hommes normaux par de la dominance ou de la compétitivité. 2.2 Facteurs pré- et périnataux L’influence des facteurs pré – et périnataux sur le développement de conduites violentes a été peu abordée parce que le laps de temps entre le problème potentiel

défendues dans une société, qu'elles soient ou non confirmées par le droit. Chaque peuple a sa morale qui est déterminée par les conditions dans lesquelles il vit. On ne peut donc lui en inculquer une autre, si élevée qu'elle soit, sans le désorganiser (DURKHEIM, Division trav., 1893, p.217). Toute politique et toute morale se fondent, en définitive, sur l'idée que l'homme a de l'homme et de son destin (VALÉRY, Variété IV, 1938, p.174): [pic]1. ... les morales sont des «données». C'est un fait que, pour

C’est ici que les enseignements d’Emile Durkheim vont, selon J. Donzelot, permettre aux républicains de trouver une réponse adéquate aux marxistes et aux libéraux. En étudiant la société industrielle naissante, il constate que du fait d’une densité démographique de plus en plus forte, un processus de plus en plus puissant de division sociale du travail se met en place et oriente d’une certaine façon la société . Ce qui marque le changement social selon Durkheim, c’est la division du travail qui contribue

et le bruit l'épouvantent : les préjuges dont on la fait naître sont ses plus cruels ennemis ; elle fuit ou se tait devant eux : leur voix bruyante étouffe la sienne et l'empêche de se faire entendre ; le fanatisme ose la contrefaire, et dicter le crime en son nom. Elle se rebute enfin à force d'être éconduite ; elle ne nous parle plus, elle ne nous répond plus, et, après de si longs mépris pour elle, il en coûte autant de la rappeler qu'il en coûta de la bannir."D'où vient la conscience morale ?