Dynamique Du Capitalisme Chez Marx

de l’effet King-Davement 12 B. Un produit net suffisant 13 C. Convergence d’intérêts 13 3. Conclusion 13 CHAPITRE 3 : LA CONTRIBUTION FONDATRICE, SMITH ET LA SOCIETE MARCHANDE SECTION 1 : DIVISION DU TRAVAIL ET ECHANGE CHEZ SMITH 15 15 1. La division du travail 15 2. Division du travail et intérêt individuel 15 3. L’échange monétaire 16 SECTION 2 : LA THEORIE DE LA VALEUR 16 1. Le fondement de la valeur 16 2. La mesure

ECONOMIE Histoire de la pensée économique Introduction La réflexion économique apparait déjà chez les philosophes grecs (Platon - 7ème siècles avant JC ; Aristote – 4ème avant JC) qui étudient l’économie ou la gestion de la cité. Au moyen âge, la morale chrétienne inspire la pensée économique comme chez Augustin philosophe du 4ème siècles ou Saint Thomas d’Acquin du 13 ème siècle ou encore Nicolas Oresme du 14 ème siècle. Entre le 16ème et le 18ème siècle, les mercantilistes préconisent

questions relatives à la répartition des revenus. La littérature économique est fortement émaillée d’analyse abordant les questions de la répartition des revenus. Les classiques se sont intéressés en particulier aux questions de la répartition (Ricardo, Marx). Les néo-classiques se sont intéressés également à la formation de la répartition (Walras). D’autres courants ont également traités cette question de répartition (néo-cambridgien années 50-70). L’analyse de répartition occupe une place importante

| |Capitalisme, socialisme | |et démocratie | |La doctrine marxiste; le capitalisme peut-il survivre ?

contemporains. La sociologie compréhensive qu’il défend lui permet de penser de manière originale les relations entre les structures ou l’organisation sociale et les comportements des groupes et des individus . Ses travaux sur la genèse du capitalisme moderne, sur la sociologie de la religion ou encore, sur l’histoire économique se lisent comme un projet scientifique visant à rendre compte d’une question essentielle, celle du développement de la rationalité, à la fois comme mode de pensée culturellement

dotées des puissances de l’industrialisation vont devoir fixer et se partager leurs territoires à l’image des Etats-Nations Européens : ce nouveau monde multipolaire court donc un très grand risque. L’addiction à la croissance Selon Schumpeter, le Capitalisme est un processus de « destruction créatrice », en perpétuelle évolution, se débarrassant des éléments obsolètes. Les sociétés modernes sont donc fragiles et doivent faire l’objet d’une attention particulière : elles peuvent sombrer (crise de 1929

croissance économique ? Par quels mécanismes, le progrès technique donne-t-il naissance à la croissance ? Pourquoi la dépression succède-t-elle à la croissance ? Globalement, il s’agit d’expliquer ce qui met en mouvement le capitalisme, c’est à dire ce qui permet d’expliquer sa dynamique. Pour actualiser cette problématique, on peut se demander si le ralentissement de la croissance économique qui affecte les économies des PDEM depuis le milieu des années 70 n’aurait pas une cause technologique ? è L’auteur

« L’histoire de toute société jusqu’à nos jours, c’est l’histoire de la lutte des classes. » Karl Marx et Friedrich Engels, Le Manifeste du parti communiste, 1848. Les apports de Marx aux sciences sociales que sont la sociologie, l’histoire, l’économie ou encore la philosophie sont considérables. On peut les regrouper en trois ensembles : Tout d’abord, il montre hiérarchiquement structuré ; que toute société est un ensemble Ensuite, il observe l’origine et le développement de la division du

gouvernementales. 3) L’école classique et les débuts de la pensée scientifique en économie : La naissance de l’économie politique actuelle est étroitement liée au développement de la pensée philosophique individualiste et libérale du 18 ème Siècle. Le capitalisme et la libre entreprise représente le versant économique de cette philosophie tandis que la démocratie en constitue le coté politique. C’est a cette époque qu’a été explorée la relation entre démocratie politique et libéralisme économique avec une

effectif, le social est devenu le régulateur de l'économie. Aujourd'hui, les entreprises poussent à une rationalisation de la production, il faut rationaliser, délocaliser, ne pas trop augmenter les salaires. Nous sommes passés d'un capitalisme industriel à un capitalisme financier. Les grands ateliers de la planète vont se retrouver dans les pays émergents, ce qui explique l'augmentation du prix des matières premières → appauvrissement des pays qui n'ont pas de matières premières → déséquilibre. ●