Débat Nouvelle école Keynésienne Classique

partir du XVIII ème siècle. Les premiers économistes ayant tenté de réfléchir à la vie économique au cours du XVII et XVIII ème siècle sont : Les classiques : Adam Smith, David Ricardo, jean batiste Say. Ces auteurs ont les premiers développés une vision libérale de l'économie et ont analysé le fonctionnement des marchés et sur cette base les auteurs classiques ont formulé le slogan du libéralisme laisser faire et laisser passer donc il faut favoriser le choix des entrepreneurs et il faut leur laisser

niveau Fonctionnement de l’Etat et des entreprises publiques Politiques économiques Gestion financière Politiques publiques territoriales Gestion des ressources humaines Management et conduite du changement Questions internationales Informatique et nouvelles technologies Dossiers et conférences d’actualité Conférences de méthodes, langues et communication Cycle de formation à l’ENA de France Bilan des enseignements et statistiques Les thèmes des stages de la 1ère année Les thèmes des mémoires de fin

s'exprime dans la Revue Internationale de Droit Economique. Cf, manuel de Gérard Farjat, en 1982 chez Themis. - pour lui, c'est une nouvelle branche du système juridique. Sur l'idée que l'économie moderne se caractérise par le fait que l'Etat est présent sur l'ensemble de l'économie. - cela aurait pour conséquence la disparition / le dépassement de la distinction classique droit privé / droit public. Le droit économique représente une synthèse juridique - ces institutions devraient être comprises les

travail et du capital - Progrès technique - Schumpeter .J - Secteur - Système productif - Taux d’activité 93 PLAN I. LES THEORIES DE LA CROISSANCE A. Les précurseurs B. Schumpeter et le rôle de l’entrepreneur C. Les modèles de croissance post-keynésiens (Harrod, Domar) D. Le modèle de croissance néoclassique (Solow, 1956) E. Le Rapport Meadows (1972) et l’approche systémique F. L’Ecole de la Régulation et le régime d’accumulation G. La croissance endogène II. LES ANALYSES EMPIRIQUES DE LA CROISSANCE

monarchie et république. On nomme alors un président monarchiste : le maréchal Mac Mahon pour contenter les deux parties. En 1876 nouvelles élections législatives ; majorité républicaine. Cette majorité nomme J. Simon à sa tête en tant que 1er ministre. Le 16 mai 1877 Mac Mahon renvoie J. Simon en procédant à la dissolution de l’assemblée. En octobre 1877, nouvelles élections ; majorité républicaine. Les républicains invitent Mac Mahon à se démettre de ses fonctions ou à se soumettre au pouvoir

travail et du capital - Progrès technique - Schumpeter .J - Secteur - Système productif - Taux d’activité 93 PLAN I. LES THEORIES DE LA CROISSANCE A. Les précurseurs B. Schumpeter et le rôle de l’entrepreneur C. Les modèles de croissance post-keynésiens (Harrod, Domar) D. Le modèle de croissance néoclassique (Solow, 1956) E. Le Rapport Meadows (1972) et l’approche systémique F. L’Ecole de la Régulation et le régime d’accumulation G. La croissance endogène II. LES ANALYSES EMPIRIQUES DE LA CROISSANCE

économiques dans leur ordre d’apparition historique 4 chapitres : * Economie classique : 18ème -19ème siècle : les conclusions des économistes classique sont laxistes : « laissez faire » * Critique socialiste, Marx * Economie néo classique : nouvelle formulation du libéralisme économique. Commence en 1870. La critique des socialistes et celle de Marx n’a pas convaincu grand monde. * Economie Keynésienne : Keynes (1936). 2ème : le marché : que peut on dire sur le(s) marché(s) ?

? Le cours peut donc aider les étudiants à pousser leurs réflexions et recherches au-delà des sentiers battus en visitant d’un œil nouveau et intrinsèque les réalités du sous-développement africain. Cette recherche d’un nouvel outillage se veut une contribution modeste aux débats actuels sur un développement économique et social de l’Afrique. Ce sont là quelques unes des raisons qui font que, d’un point de vue méthodologique, le cours devra procéder en deux étapes : 1°) Dans une première étape, caractériser

ces formes et les dispositifs qui ordonnent les échelles nationales, ce qui soulève le problème de l'"internalisation" des formes internationales au sein des économies nationales, un problème inhabituel par rapport aux approches macroéconomiques classiques du type "contrainte externe". En d'autres termes, il est inévitable que se développe en creux le questionnement qui fait l'objet même de la théorie des régimes internationaux. La théorie des régimes internationaux est une théorie construite par

DES VARIATIONS DE QUANTITE DE MONNAIE 1 LA VISION CLASSIQUE : LA MONNAIE PASSIVE 1.1 La dichotomie classique 1.2 L’équation quantitative de la monnaie 1.3 La théorie quantitative de la monnaie 1.3.1 La demande de monnaie 1.3.2 La relation monnaie-inflation 2 LA VISION KEYNESIENNE : LA MONNAIE ACTIVE 2.1 L’existence de sous-emploi 2.2 L’intégration de la réserve de valeur 2.3 La relation monnaie-production 3 L’OPPOSITION ENTRE CLASSIQUES ET KEYNESIENS EST-ELLE DEPASSEE ? 3.1 Des mécanismes monétaires