Déchéance De Gervaise

point de vue de Gervaise La description de l'ivresse de Gervaise ; les effets de l'alcool I. Un récit mené selon le point de vue de Gervaise A. La focalisation interne Gervaise au centre du passage : nombreuses occurrences du pronom "elle" ; L'utilisation du discours indirect libre B. Un langage typé Le style oral : nombreuses marques d'oralité : exclamations, interrogations oratoires, constructions emphatiques, style relâché. Le laisser-aller du langage de Gervaise reflète son

diffamation et un exil à Londres dans la même année. Gervaise Macquart est blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d'Or à Paris. Gervaise et son amant Auguste Lantier viennent à Paris avec Claude et Etienne, leurs deux fils. Lantier est paresseux et infidèle. Il quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule avec ses fils. Au lavoir, Virginie, la sœur d’Adèle, provoque Gervaise. Une bagarre éclate entre les deux femmes. Gervaise l’emporte. Coupeau, un ouvrier zingueur lui fait la cour

l'histoire de la vie de Gervaise Coupeau à Paris. Quelles sont les différentes étapes de l'ascension sociale à la déchéance du couple Coupeau? Tout d'abord, Gervaise et Coupeau se marient. Tous deux sont assez pauvres et doivent également élever Claude et Etienne les deux fils de Gervaise. Quelques années plus tard, on apprend que le couple s'est installée dans un appartement à la Goutte d'or où règne un certain confort. Tout le monde mange à sa faim et Coupeau et Gervaise travaillent dur

L'Assommoir raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d'Or à Paris. Gervaise et son amant Auguste Lantier viennent à Paris avec Claude et Etienne, leurs deux fils. Chapelier de métier, Lantier est paresseux et infidèle. Il quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule avec ses fils. Au lavoir, Virginie, la sœur d’Adèle, provoque Gervaise. Une bagarre éclate entre kes deux femmes. Gervaise l’emporte sur son adversaire. Coupeau, un ouvrier

peindre la déchéance fatale d'une famille ouvrière , dans les milieu de faubourgs . Au bout de l'ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l'oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement, la honte et la mort . 3°) On a beaucoup reproché à Zola le fait d'avoir eu la curiosité littéraire, de ramasser et de couler dans «  un moule très travaillé «  la langue du peuple .   1° chapitre : 1°) Gervaise est une

omniscient mais c'est aussi celui de Gervaise : la fin du premier paragraphe suggère le soupçon formulé intérieurement. Mais surtout le constat énoncé au début du deuxième paragraphe "Lantier n'était pas rentré" Le style indirect libre permet l'effacement du narrateur donc au lecteur de se sentir plus proche du personnage (ici moyen d'accentuer le pathétique). C'est d'ailleurs à partir de ce regard qu'est perçu l’espace, le milieu dans lequel évolue Gervaise. 2 la misère matérielle a) l'espace

Au début du roman, Gervaise n’a que 22 ans elle est plutôt jolie malgré la rudesse de sa vie passée qui marque un peu son visage et son corps. Je fais allusion à sa jambe droite qui boite. « Gervaise n’avait que vingt-deux ans. Elle était grande, un peu mince, avec des traits fins, déjà tirés par les rudesses de sa vie. » (p.51) « Gervaise boitait de la jambe droite ; mais on ne s'en apercevait guère que les jours de fatigue […] ». A ce moment là, elle vit alors dans la misère, dans une petite

dissemblables, mais que l'analyse montre intimement liés les uns aux autres. L'hérédité a ses lois, comme la pesanteur.[3] Dans tous les déscriptions de ses personnages, Zola indique les causes de leur déchéance. C’est toujours l’héritage des ancêtres pris par leur successeurs. Le cas de Gervaise, héroïne principale de L’assommoir, est un excellent exemple de l’influence de l’hérédité familiale : (..) née en 1828 ; a deux garçons d'un amant, Lantier, dont l'ascendance compte des paralytiques

peut mettre « La déchéance d'une femme » Les parents de Gervaise c'est Antoine Macquart, les grands parents, Adélaïde Fouque, sa soeur Lisa et son frère Jean, le registre épique admire les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre. Les caractéristique :• Une forme de récit descriptif : point de vue omniscient • Des figures de style : hyperboles, effets d’ accumulation et répétitions.,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, L'idéal de Gervaise au début du roman

Résumé Venue de Plassans en Provence, Gervaise Macquart arrive à Paris et vit avec Auguste Lantier à l’hôtel Boncoeur, un garni de la Goutte d’Or. Lantier quitte Gervaise pour vivre avec Adèle, une ouvrière des métaux. Au lavoir, Gervaise se heurte à Virginie, sœur d’Adèle. Virginie reçoit une fessée de Gervaise qui se retrouve sans aucun bien après le départ de Lantier. Au chapitre 2, Gervaise travaille comme blanchisseuse chez Madame Fauconnier. Elle se met en ménage avec Coupeau, ouvrier