Décision N 2010 39 Qpc 6 Octobre 2010

: La supériorité de la Constitution sur la loi dans l’ordre interne Contrôle de constitutionnalité Document n°1 : Conseil constitutionnel, Décision n° 2011-163 DC du 16 septembre 2011 [Définition des délits et crimes incestueux] Question prioritaire de constitutionnalité Document 2 : Conseil constitutionnel, Décision n° 2010-14/22 QPC du 30 juillet 2010, M. Daniel W. et autres [Garde à vue] II – Thème 2 : La primauté du traité international sur la loi dans l’ordre interne Document n°3 : Cass

humaine donc qui préexisteraient à toute société. La déclaration rappelle les droits. Elle ne dresse pas une liste complète des droits (article 1). 3 idées principales : Principe d’égalité en droits Aspect de libéralisme : la personne prend une décision sans l’avis de l’État comme le droit de propriété (article 2 et 17) et la liberté d’entreprendre (article 2). Liberté d’opinion B. La DDHC fixe la nature du régime politique La déclaration fixe le régime en donnant au pouvoir plusieurs attributs

constitutionnalité (QPC) ouvre la possibilité de contester la constitutionnalité de la loi a posteriori, à l’occasion d’un procès devant un juge ordinaire. Cette QPC est transmise par le Cour de cassation ou le conseil d’Etat au Conseil constitutionnel. (Sarkozy) Avec le développement de ce qu’on peut appeler “la justice constitutionnelle“ sous l’effet des interprétations du Conseil constitutionnel, le droit constitutionnel devient un droit jurisprudentiel : droit enrichi par des décisions successives

théorie juridique LA DÉCISION sous le parrainage du Professeur Norbert FOULQUIER É LÉONORE G IGON ET L UCIE SPONCHIADO : Recherches sur les actes juridiques unilatéraux à plusieurs auteurs R OBERT M BALLA O WONA : Le « temps d’effet » de la décision administrative en droit positif camerounais È VE M ATRINGE : L’office du juge et le déploiement dans le temps des effets de sa décision en droit français et en droit suisse M ARIE M ARTY : Un exemple de décision nouvelle : la décision d’enquête européenne

un texte qui sera appelé le projet constitutionnel. Selon la loi du 3 juin, ce texte est transmis à ce qui est convenu d’appeler un comité consultatif constitutionnel. Il doit rendre un avis sur le projet de loi constitutionnelle. Il est composé de 39 membres : une grande moitié sont des parlementaires et une petite moitié nommée par le gouvernement. Ce texte ainsi modifié par le conseil des ministres est transmis au conseil d’Etat. Le 18 août : le conseil d’Etat rend son avis. Selon lui il faut

communistes et les extrêmes gauches. Le projet a été approuvé à 85% en métropole. La C° a été promulguée le 4 octobre 1958 = juridiquement la fin de la IVe Rép, et début de la Ve Rép. Mais politiquement au mois de juin on est déjà sous la Ve Rép. Une fois promulguée il faut mettre en place les institutions (président élu le 21 décembre) et les élections. Gouvernement est formé le 15 octobre mais il y a une période transitoire entre la promulgation de la C° et le fonctionnement effectif de toutes institutions

administratif général- Dalloz- septembre 2009. * Ouvrage Pr Walline, précis dalloz, 23ème édition * Ouvrage du professeur Didier Truchet qui s’intitule droit administratif, collection Tennis, 3ème édition, septembre 2010. * Yves Gaudemet, droit administratif, 19ème édition, 2010 * Utiliser le dictionnaire de droit administratif : définitions. Editions Ciret, 5ème édition de 2008. * Le GAJA : les grands arrêts de la jurisprudence administrative.17ème édition, septembre 2009. * Annales

2ème République et le Second Empire En février 1848, le Roi est contraint à l’abdication et un gouvernement provisoire est constitué. Alors, comme l’histoire se répète, on retrouve les mêmes circonstances et ce gouvernement provisoire va prendre 3 décisions marquantes : La première est d’établir le suffrage universel masculin, c’est-à-dire supprimer la condition du cens, du paiement d’un impôt. Celle du décret du 27 avril 1848, plus connu sous le nom de décret « SCHOELCHER » qui abolit définitivement

ou le juge constitutionnel. Des institutions classiques, telles que l'intangibilité de l'ouvrage public (3) , l'imprescriptibilité des poursuites disciplinaires (4) , l'imprescriptibilité des archives publiques (5) ou les commémorations nationales (6) sont, entre autres, autant d'indices de la difficile acclimatation de l'oubli à l'environnement du droit public. Il est également des raisons pour douter de la pertinence de parler de droit à l'oubli en général. L'expression n'a jamais été mentionnée

.........p. 5 2. Le modèle européen : le contrôle concentré...........................................................................................................................................................................................p. 6 B. Le contrôle de constitutionnalité en France............................................................................................................................................................ p. 7 1. Les normes de référence du contrôle