Décoré Maupassant

ressembler tout en sachant que le théâtre est une représentation absurde du monde comme le met en relief l’extrait des Vocations de Baudelaire. Les costumes et les décors d’une pièce sont deux facteurs importants pour une bonne représentation. Le décor se compose d’un milieu et de décorations. Dans le livre On ne badine pas avec l’amour de Musset, la scène 5 de l’acte 2, les personnages sont près d’une fontaine et l’auteur indique qu’un arbre est situé un peu en retrait. Chaque objet à son importance

et la réalité. Un vrai jeu serait ici à mettre en place pour les transition (ex : ouverture de ces différents espaces) mais il me semble que ce système « d'embriquement » est tout de même très illustratif et précaire. La façon manuel de déplacer le décor, dans cette ambiance tout de même très « fouillis »e ou peu de personnes semblent concentrées me paraît être une prise de risque pas très rentable. L'ambiance "foire paysan" sur les photos surtout sur le 1)a- pourrait être intéressante pour faire

celle de lieu amena l'unité de décor, d'où les faibles informations scéniques des auteurs, telle que " la scène est à Rome " dans Cinna de Pierre Corneille. Si la troupe avait de l’argent, les décors et les costumes pouvaient être très beaux mais ils n’étaient pas réalistes ou historiques car il fallait faire rêver les gens.  Ils s'agissait donc souvent de décors presque inexistants, mis en place selon les moyens à disposition, allant de quelques planches à un décor plus riche avec des tentures

entre ces derniers. Dans cette chambre manque le lit, cet objet est le centre de l'action, car il représente l'objet qui pourrait nuire aux deux amants, ce dernier que le comte a promis à Figaro, servirait ainsi à assouvir les désirs du comte. Le décor est symbolique, rien n'y est laissé au hasard. Figaro ne voit que du positif dans cette chambre, elle est confortable "un grand fauteuil de malade", mais non seulement bien placée pour lui, car elle se situe entre les appartements de ces maîtres, il

Pourtant, la vie du personnage romanesque est tracée, il n'a pas de destin, alors que l'être humain ignore tout de son avenir. Le roman n'est donc pas une image du réel, mais une métamorphose de celui-ci. Premièrement, l'intrigue est encrée dans un décor réel mais reconstitué par l'auteur, accompagné par des procédés utilisés par ce dernier afin de changer la réalité. C'est une transformation du réel. En addition, il faut prendre en compte le fait que l'écrivain nous transmet sa vision du monde à travers

pour Mandrake, Dale pour Flash Gordon, Daisy Mae pour Li'l Abner et... Olive pour Popeye . Mais toutes ces filles attentives ne jouaient qu'un rôle de second plan, condamnées à panser les blessures, à subir les sévices des félons et à agrémenter le décor. Elles servaient tout au plus d'appât et constituaient parfois le moteur initial de l'action : le cas est très net pour Dale que Flash Gordon ne cesse de perdre et de rechercher, de délivrer et d'exposer selon un mouvement pendulaire implacable. Ces

topographique. Le plus souvent en plongé. On n’isole pas le décor et on ne sent pas les personnages. Plan d’ensemble (PE) : il précise le PG. On s’intéresse à un aspect du PG, on est sur un quartier et non plus sur une ville. C’est plus détaillé mais le décor n’est toujours pas identifié car on peut encore voir plusieurs décors à la foi. Plan demi-ensemble (P1/2E) : On est sur un coin de rue et non plus sur un quartier. L’unité d’un décor est précisé cependant il ‘est encore impossible d’identifier

dos au monde qui l'entoure, car par sa position le personne semble étranger. Il semble mis en avant et au centre de toutes les attentions comme si il était observé, peut-être même jugé (on peut faire référence au procès de meursault). Au niveau du décor il n’y a pas beaucoup d’objet, il est plutôt banal ce qui peut représenter la vie banal de tous les jours comme dans la 1ere partie de l’étranger. Toutefois, la couleur jaune/oranger de la lumière peut nous faire penser au soleil et la couleur bleu

central du tableau, représente l’idéal de la beauté féminine. Elle possède une anatomie parfaite, renforcé par son déhanchement, une peau pâle et nacrée. La chevelure abondante, symbole féminin par excellence, est mise en valeur par ses mains. Le décor est réalisé dans des couleurs pastelles effacées. Les autres personnages sont peints dans des tons sombres et sont en admiration devant la déesse. Tous ses éléments concourent à attirer le regard du spectateur sur Vénus, qui resplendit de lumière.

pièce est constituée d'événements fictifs agencés de manière à faire croire aux spectateurs qu'ils sont vrais. Dans l'espace, l’illusion théâtrale se traduit par le fait que le spectateur oublie qu'il est assis dans une salle de spectacle et que le décor qu'il observe est faux. Pour cela, l'espace de la représentation doit être fidèle au lieu de l'action. C'est la pensée qu'a théorisé pour la première fois Platon et qui a été reprise par la suite avec Diderot et son quatrième mur (Mur imaginaire séparant