Décrire Colère

était lente. Parfois, cela pouvait prendre une semaine avant que je me rappelle quelle marque de parfum j’utilise. À ce rythme là, mieux vaudrait tout repartir de zéro. Mais c’est difficile lorsque l’on a une identité, un nom, collé à notre peau. Une colère, une tristesse, un auto-rejet s’empara d’elle et elle commenca à mépriser son entourage et les hommes en particulier. Elle ne parlait qu’à Sylvio, qui l’hébergeait toujours. Étant le directeur du journal LeauCalle, un journal environnemental très

jamais pour nuire, ce qui peut sembler être un échec à première vue, peut s’avérer plus tard l’élément qui permettra d’avoir un succès encore plus grand. Même si on se relève de certains échecs, ceux-ci entrainent tellement de frustration, de honte, de colère et de culpabilité qu’il est difficile d’en tirer profit. En conclusion, pour moi, l’échec n’existe que s’il est une fin. Il devient une épreuve si l’on ne s’y arrête pas. La bonne démarche pour transformer un échec en tremplin est, d’arrêter de se

par autrui, et que la vertu de Justice exige de voir plus équitablement corrigé ou expié, choses inéluctablement nécessaires ; • La mansuétude, consistant à écarter le mouvement intérieur de la passion d'équité, lequel ne serait plus alors que la Colère ; • La modestie, consistant à réfréner, modérer ou régler la partie affective en des choses moins difficiles que les précédentes, c'est à dire le désir de sa propre excellence, le désir de connaître ce qui ne nous est pas immédiatement utile, ou

excuses à sa maîtresse, revient à sa conception petite-bourgeoise de l'amour, qui fait accepter des « feux illégitimes » dont brûlent même « les Dieux de l'Olympe » (d'où ces comédies, ces vaudevilles même où l'on s'amuse de leurs fredaines). Aussi la colère de Phèdre tombe-t-elle sur la suivante (n'est-elle pas là pour servir de chèvre émissaire ? elle l'avait déjà soupçonnée : « Tu le savais. Pourquoi me laissais-tu séduire ? ») à qui elle reproche de l'avoir poussée à satisfaire sa passion, de lui

Dans cette tirade, Hermione lui en fait le reproche de façon violente. II – ETUDE : · La désignation de Pyrrhus par Hermione : Hermione passe du tutoiement au vouvoiement et revient en fin de tirade au tutoiement : les reproches, la soumission, la colère et la menace se succèdent dans cette désignation. En effet, Pyrrhus est d'abord « cruel » (1) car il joue avec les sentiments amoureux, puis accusé de « parjure » (7) car il a promis de l'épouser. Mais Hermione l'aime et ne reçoit rien en retour :

réussi à attirer l'attention d'une jeune personne, nommé Agnès, en profitant de l'absence de l'homme qui la tient enfermée, un certain Monsieur de la Souche. Tout à sa surprise, Arnolphe coupe court à l'entretien pour, une fois seul, laisser éclater sa colère ACTE II Scène 1 Arnolphe, retrouvant ses esprits, décide de faire toute la lumière sur ce qui s'est passé afin de reprendre la situation en main Scène 2 Il interroge d'abord les valets, mais la violence avec laquelle il les apostrophe rend

Un gars donne 12 roses à une fille,11 vraies et une seule fausse et dit : "Je vais t'aimer jusqu'à ce que la dernière rose se fane...!" - Il y en a d'autres que tu aimeras, bien plus belles, bien plus fortes que moi... - Les conséquences de la colère sont beaucoup plus graves que ses causes. - Avant de renoncer a quelqu'un, essais de te rapeller toutes les raisons pour lesquelles tu restais accroché à elle. - L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. - Le malheur de l'avoir

cacahuètes. Tu commences à pleurer comme une madeleine, sans aucune réelle raison valable. Tu pleures, tout simplement. C’est bon de pleurer quelques fois. Tu as cette vague sensation que toute la haine, toute la tristesse, toute la rage, toute la colère cumulés en toi s’écoulent, en perles salées qui roulent doucement sur tes joues rouges, par dizaines de milliers. Ca fait tellement de bien. Tu te dis que tu es une bonne à rien, que ta vie n’a aucun sens, que tu n’es d’aucune utilité à personne,

Compliqué C’est l’histoire d’un être qui se nommé compliqué, c’était un être sournois, toujours partant pour embrouiller ses amis. Confiance, colère, tristesse, chance… Tous passés dans les griffes de compliqué, et n’en sortait pas indemne. Il aimait poser des questions existentielles présentes pour changer le cours des choses. Il aimait rajouter des idées, émettre des hypothèses saugrenues, et poser un doute totalement inexistant dans un problème banal. Il prenait un malin plaisir à donner le

murs. De temps en temps passe une ombre, fuyant entre les murs gris. Et ces hommes, ces femmes, ces enfants, qu'on voit pourtant, ils ont des corps, mais ont-ils des âmes ? Dans leurs yeux vides, peut-on lire la peur, la joie, la tristesse, ou la colère ? On voit le ciel parfois, malgré la brume, malgré l'épais nuage qui descend de la cheminée de l'usine de crémation, à l'ouest. On voit des avions aussi, un instant surgis des nuages gris, tranchant l'air, déjà si coupant. 
Mais il n'y a pas d'oiseaux