Décrire Colère

ntroduction En 1944,l’armée allemande perd des batailles et commence à fatiguer. Une division de soldats das Reich entreprend de regagner les villes du centre puis du nord de la France. Sur son chemin, animée d’une colère froide, d’une folie sanglante, elle choisit de décimer au hasard un village du Limousin: Oradour sur Glane. Vengeance, ce massacre s’avère être un bon moyen de marquer les consciences, de semer la terreur et de réaffirmer la supériorité des nazis…. La forme et la structure

Ah ! », fréquent, qui ponctuent toute la première tirade. Les questions révèlent la blessure d’Arnolphe, et son ironie est très amère : « Le deviez-vous aimer, impertinente ? » (p.82). Enfin l’on reconnaît la stichomythie, quand, sous l’effet de la colère, les personnages se répondent mot par mot, par exemple aux pages 82/83. Les reproches adressés à Agnès viennent surtout de sa jalousie, car il a été obligé d’écouter les paroles amoureuses échangées par les deux jeunes gens : « Tudieu comme avec lui

très éloignés ? Certes, la haine et l’amour sont deux sentiments contraires et un grand fossé les sépare dans le cœur des gens. Selon les adversaires de ce proverbe, on pourrait très bien se fâcher avec une personne qu’on aime et ressentir de la colère ou de la déception envers cette personne mais il serait impossible de ressentir de la haine pour une personne qu’on a aimée. Cela arrive assez fréquemment dans les relations familiales ou amicales que l’une des personnes en déçoit une autre. Par

pourrait-on dire en paraphrasant la Préface qui cite elle-même La Poétique d’Aristote. Seule Aricie semble échapper pour le moment à ce principe d’écriture des personnages. ACTE IV SCÈNE 2 COMMENTAIRE COMPOSÉ Cette scène marque un crescendo dans la colère de Thésée et dans le pathétique. Elle se caractérise en effet par la violence d’un affrontement inégal qui pose très tôt, sur le plan de l’écriture dramatique, les éléments du dénouement tragique, tout en représentant un moment où les enjeux de

parler sans s’entendre. On retrouve cette fois une mise en scène d’une parole délirante marquée par de nombreuses interrogations : Que vais-je lui dire ? et par où commencer ? 248) et par une multitude d’exclamations : O haine de Vénus ! O fatale colère ! Dans quels égarements l’amour jeta ma mère ! (vers 250). La 3ème partie est celle où Oenone arrache enfin l’aveu par une dernière question au vers 252 : Qui ? [...] [...] Intensité de la passion : Après avoir vu Hyppolite, Phèdre semble complètement

évènement nous est décrit à travers les yeux et les pensées du personnage de Phèdre. On relève la présence d’allitération en i(v1227 à1231)qui exprime la colère et la dureté du b)personnage. Il ya aussi de nombreuses phrases exclamatives(v1265 à1267)qui font ainsi ressortir la fureur de Phèdre qui se sent outragé. La jeune femme ressent une extrême colère en elle ce qui prouve qu’elle est très amoureuse et prête à tout pour avoir Hippolyte pour elle seule. Elle est rongée par ses sentiments qui se transforment

autre organisme vivant lorsque ce dernier est motivé par le désir de ne pas subir un traitement pareil.» Action qui porte préjudice à autrui. Agression : act, comportement. Agressivité : trait de caractère, pulsion, attitude. Colère : émotion d’énervement. Violence : usage de la force pour contraindre autrui, conséquences extrêmes, tentative délibérée de provoquer une blessure psycho ou physique sérieuse => agression extrême. OMS : « Menace ou utilisation intentionnelle

la moitié de mon équipement, j'avais plongé dans l'eau froide du lac, je l'avais ensuite entouré de la corde que j'ai tiré tant bien que mal jusqu'à la rive. Depuis ce jour là, on ne s'était plus quitté. A l'instant même où j'ai vu son corps, la colère m'a envahie puis la tristesse, les larmes roulaient sur mes joues. Et pourtant je m'en voulait de pleurer, à l'Armée on vous apprend à ne pas laisser transparaître vos émotions. Je porte son corps jusqu'à un des camions, l'allonge et le recouvre

blessures et d'agressions sexuelles. Problèmes affectifs et comportementaux analogues à ceux des enfants victimes de mauvais traitements physiques. Symptômes du syndrome de stress post-traumatique : crainte, irritabilité, cauchemars, explosions de colère, évitement des situations rappelant les actes de violence vécus, etc. Agressivité, hyperactivité, difficultés à se concentrer. Troubles d'apprentissage, décrochage scolaire. Fugues, délinquance, grossesses à l'adolescence. Isolement, dépression

couvrait rapidement d’une taie blanchâtre qui rendait l’air plus étouffant. Rieux se laissa aller sur son banc. Il regardait les branches, le ciel, retrouvant lentement sa respiration, ravalant peu à peu sa fatigue. – Pourquoi m’avoir parlé avec cette colère ? dit une voix derrière lui. Pour moi aussi, ce spectacle était insupportable. Rieux se retourna vers Paneloux : – C’est vrai, dit-il. Pardonnez-moi. Mais la fatigue est une folie. Et il y a des heures dans cette ville où je ne sens plus que ma