Défaut Argumentation Directe

cherchés différents procédés littéraires pour se faire comprendre et susciter chez le lecteur un raisonnement et une prise de position sur l'homme en général et sa société. Quelles stratégies seraient les plus efficaces ? Chaque type d'argumentation, directe ou indirecte, a ses qualités, mais aussi ses limites. C'est a cela que nous allons nous intéresser. I) L'argumentation indirecte : L'argumentation indirecte cherche à convaincre, à délivrer un enseignement ou encore à faire réfléchir sur un

de répétition - les effets de contraste et de décalage - le comique de geste - le comique de mots (jeu sur les niveaux de langage), l’absurde satirique Rire et moquerie. Portrait caricatural, description d’une époque mettant en évidence ses défauts. - il a pour but de se railler, de se moquer d’un type de personne ou d’une institution. - vocabulaire réaliste et familier, parfois péjoratif. - la caricature - les formules ironiques ironique Raillerie, critique au second degré qui rend le

Effets de chute, de rupture et de décalage - Répétitions mécaniques des mots ou de situation - Ironie - Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas)- Articulations logiques explicites (hypothèse, cause, conséquence, opposition, but) - Argumentation serrée, raisonnements concessifs - Interrogations (adressées à soi-même ou a autrui)- Lexique de la pédagogie - Tournures de l’ordre et du conseil (impératifs et futur à valeur injonctive) - Progression logique du propos (expression de la

I - Une tirade polyphonique - mélange du discours et du récit. Cléanthis reprend les paroles d'Euphrosine au style direct, au présent de l'indicatif et à la première p. du sing. L124. "Cependant"(L125-131) marque l'intervention de Cléanthis. Les passages narratifs, dans lesquels Cléanthis résume les principales circonstances, sont brefs. Elle utilise le pronom indéfini "on" pour présenter Euphrosine. On peut supposer que, d'après l'intonation de Cléanthis, elle caricature sa maîtresse (L126-127)

et une démarche démonstrative pour défendre son argument naturel.apostrophe ⇒ adresse directe ex : Abdel ! Infirme ⇒ démentir grâce a des preuveII )Mouvement : Une exception incohérente Ligne 9 : l’adjectif «seul» est un terme exclusif. Terme négatif «fagoté» qui dénonce un modèle sociale incohérent.Lignes 9 à 11 : Accumulation de terme péjoratif : Bizarre, aveugle, boursouflé et crasse qui associe les défauts masculins a la saleté. Antithèse entre «lumière» et «ignorance» qui permet de mettre en

théorique, c’est une réflexion philosophique. * L’enfant à l'Âge classique L’Âge classique correspond au XVIIe et au début du XVIIIe siècle. Fondamentalement, à cette époque, l’enfant est considéré comme à la fois à partir de l’Homme (adulte) et en défaut par rapport à celui-ci, c’est-à-dire que c’est un adulte avec quelque chose en moins. Par exemple, le corps d’un enfant est un corps d’adulte avec moins de force ; l’intelligence d’un enfant est l’intelligence d’un adulte mais moins rapide. Ainsi

celui d’une guerre proche. En fait, elle se compose de deux fables, la première est une longue dédicace à M. de Barillon en forme d’éloge qui prend l’allure d’une fable pour en présenter une autre. La deuxième contient une fable, elle avance une argumentation complète... I – Eloge de l’ambassadeur de la première fable 1 – Une technique oratoire 2 - La flatterie 3 - La situation d'énonciation Transition II - Une dédicace habile 1 - Un récit animé pour présenter une autre fable

moins directes : nous sommes donc entraînés à nous demander quelles sont les stratégies les plus efficaces pour emporter l'adhésion d'un lecteur, lorsqu’on aborde des notions abstraites et morales. Nous étudierons d’une part la stratégie d’argumentation directe utilisée pour emporter l’adhésion du lecteur, et d’autre part, au contraire, celle indirecte. Pour faire accepter un point de vue à un lecteur dans un texte, les auteurs peuvent utiliser une stratégie d’argumentation directe, qui est

oublier qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais point de vue en soi (on peut toujours être d’accord avec l’énoncé, le contredire ou le nuancer), qu’outre la qualité de la langue, c’est la structure et le contenu de l’argumentation (argument + preuves directes ou indirectes + commentaires) qui importent, et qu’il n’y a pas de modèle de plan prédéterminé non plus (tels le plan dialectique ou analogique, par exemple.) 2.1 LES OUTILS INDISPENSABLES 2.2 LES OUVRAGES INDISPENSABLES 3. STRATÉGIE DE RÉDACTION

spatio-temporelles (avec références à la réalité géographique ou historique) Dialogues au discours direct Champs lexicaux de la vie sociale (métiers, ville..,) - Faire passer la fiction pour vraisemblable, produire l'illusion du vrai Satirique Antiphrases Caricature : figures de l'exagération (hyperboles...) Naïveté feinte ou éloge paradoxal Allusions et sous-entendus - Se moquer, dénoncer des défauts par le rire Épique Procédés d'insistance et d'amplification (hyperboles, superlatifs