Définition Des Termes Techniques Bancaires

Partie 1 : le marketing et le marketing bancaire Section 1 : généralités sur le marketing 1- quelques définitions de marketing Le Marketing est un terme anglo-saxon, crée aux USA au début du siècle dernier suite au développement industriel. Traduit ensuite par l’académie française en « mercatique », mais cette traduction n’a pas trouvé toute son ampleur. Parmi les définitions que nous avons recensé, nous retenons celles proposées par : P.L DUBOIS, A.JOLIBERT, elle nous semble

entre le fonds de roulement (FR), le besoin en fonds de roulement (BFR) et la trésorerie. 1.1. Définition et contenu de la trésorerie Il existe de multiples définitions de la trésorerie, parfois source de confusions. D’abord, la notion de trésorerie peut s’entendre, soit en termes de flux, c’est l’ensemble des flux correspondant aux encaissements et décaissements pendant une période, soit en termes de stock, représentant la situation de trésorerie à un moment donnée. Pour définir la trésorerie

o Chapitre 1 : Généralité sur le secteur bancaire au Maroc ▪ Section 1  : Historique de la banque : ▪ Paragraphe 1 : Avant le protectorat : ▪ Paragraphe 2 : La période coloniale : ▪ Section 2: La banque : Définition et typologie ▪ Paragraphe 1: Définition   ▪ Paragraphe 2: les types de la banque : ▪ Section 3: Les activités bancaires : ▪ Paragraphe 1  : La réception

Techniques du Commerce International – ECE2 Olivier Geneviève Techniques du Commerce International INTRODUCTION Quels moyens de paiement est le mieux adapté ? dépend du pays : A (riches), B (émergeants), C (PMA/ LDC : Less Developed Countries) dépend des risques et garanties : - risque commercial = capacité du remboursement du client à échéance de la créance ; - risque politique = impossibilité de transférer l’argent (niveau macroéconomique) ; - risque de change

URBANISATION DES PROCESSUS I LA NOTION D'URBANISATION 1. Définition Les concepts de l'urbanisation de l'habitat humain (organisation des villes, du territoire) ont été réutilisés en informatique (notamment par Jacques Sassoon dans les années 1990 dans le secteur bancaire) pour formaliser ou modéliser l'agencement du système d'information (SI) de l'entreprise. Urbaniser, c'est organiser la transformation progressive et continue du système d’information visant à le simplifier, à optimiser sa

mineure, des structures ; ceux-ci adoptant au final une attitude plutôt conservatrice des logiques bureaucratiques ancrées depuis de nombreuses années. Ce cas nous enseigne alors la difficile mise en œuvre de la transversalité dans les organisations bancaires. Mots clés Management par les processus, Banque, Transversalité, Recherche-action. Abstract The Process Management School has long been successful in the industrial sector. This sector, like banks now, is confronted to an evolutionary environment

comme un chantier 16 1.2.1.2 L'architecte coordinateur 16 1.2.2 Définitions 17 1.2.2.1 L'architecture métier 18 1.2.2.2 L'architecture fonctionnelle 18 1.2.2.3 L'architecture applicative 18 1.2.2.4 L'architecture technique 19 1.2.3 Cohérence des architectures 19 1.3 Le concept d’urbanisation des systèmes d’information 20 1.3.1 La métaphore de la ville 20 1.3.2 Définition 21 1.3.2.1 Urbanisme de la cité 21 1.3.2.2 Urbanisme des systèmes

22/10/2014 Régulation et réduction du risque de liquidité RÉGULATION ET RÉDUCTION DU RISQUE DE LIQUIDITÉ Olivier Davanne Associé, DPA Invest Les autorités publiques – prêteurs en dernier ressort et superviseurs bancaires et non bancaires – peinent à définir une doctrine claire sur leur tolérance au risque de liquidité dans les institutions qu’elles contrôlent. Une des raisons-clés réside dans la difficulté conceptuelle à faire la part entre les « externalités négatives » (le rôle du risque

intérêts de chaque partie, les banques proposent aux importateurs et aux exportateurs des produits et des services leur permettant de financer leurs besoins en trésorerie de sorte qu’ils minimisent les risques de non paiement ou de non exécution des termes du contrat. Néanmoins, ces produits et services répondent différemment aux attentes des parties contractuelles. Dans ce cadre, chaque partie contractuelle veille à ce que l’instrument choisi lui soit plus adéquat tenant compte du faite que chaque

vient tout juste d’être votée et les décrets d’application non encore pris. C’est pourquoi certaines dispositions de la loi de sécurité financière peuvent ne pas faire l’objet d’une analyse critique approfondie car la pratique des affaires n’a, par définition, pas encore révélé d’éventuelles carences législatives. 2 « LE DEMARCHAGE FINANCIER : BILAN ET PERSPECTIVES » MEMOIRE DE HAROUN BOUCHETA « La Faculté de droit et de sciences politiques de l’Université Paris XII n’entend assurer aucune