Défis Stratégique De L Industrie Pétroliere

L’INFORMATION 1. Qu’est-ce que l’information : définition, rôle, formes et sources d’information Le système d’information 2. 2.1.Définition et objectifs 2.2.Organisation du système d’information 3. 4. La gestion de l’information stratégique Les notions d’intelligence économique et de vielle 4.1.Définitions et finalités 4.2. Types de veille (concurrentielle, technologique, environnementale et commerciale) ____________________________________________________________ _____________________________

puissance C. Le désir d’ une gouvernance globale par refus d’ ordre fondé sur l’ un hyperpuissance américaine III. « Le nouvel ordre mondial » comme histoire des tendances nouvelles qui structurent les relations internationales : A. De nouveaux défis ? : B. L’ Etat, un acteur dont l'influence décline? C. Le rôle croissant d’ autres acteurs internationaux: 2 Jusqu’ la fin des années 80, les relations internationales sont profondément marquées par la à bipolarisation issue de la Seconde Guerre

été -bien involontairement- oubliées. SOMMAIRE I - MISE EN CONTEXTE 1) Les déclencheurs du changement en entreprise A. Faits historiques de l’innovation industrielle B. Les mutations de la société pendant la révolution industrielle C. Nouveaux défis et enjeux 2) L’innovation technologique au service de l’entreprise : une révolution ? A. L'évolution des produits ; digitalisation, big data, smart grid, réseaux sociaux, monde communiquant B. Le levier de performance par l'innovation : Productivité

orienté vers le long terme, salarié plutôt vers le court terme, différence des perceptions de problèmes et différences qualitatives quant à la solution à y rapporter. Les limites Elles peuvent être : volontaire : secret (informations à contenu stratégique), confiscation du pouvoir par un groupe minoritaire (rétention de l’information) involontaire : le temps, notamment quand le canal est trop long, la déformation du mode de circulation de l’information le coût de l’information, le système de communication

nécessité de renforcer la contribution de l’investissement à la croissance en stimulant les taux d’investissement, en améliorant la productivité des investissements, actuels et nouveaux, et en veillant à ce que l’investissement aille à des secteurs stratégiques et prioritaires jugés essentiels pour la transformation économique. Il souligne également l’importance qu’il y a à renforcer les liens entre entreprises locales et entreprises étrangères, à endiguer la fuite des capitaux pour libérer davantage

européenne. 60 III. Le secteur privé comme acteur organisé de la RSE ? 64 1. La RSE comme démarche volontaire. 64 1.1. Le World Business Council for Sustainaible Development. 64 1.2. Projets et initiatives sectorielles. 65 1.2.1. Industries extractives et minières. 65 1.2.2. L’exemple de l’Investissement Socialement Responsable (ISR) 67 I. Problématiques de la RSE. 1. Contexte : réduction de l’APD et promotion du secteur privé. Ouverte par l’effondrement de l’Union

.......... 82 Cinquième Chapitre : Formulation de la stratégie marketing .......................... 87 5.1. Synthèse du diagnostic ................................................................................ 88 5.2. Identification des axes stratégiques............................................................ 93 5.3. Positionnement actuel du Maroc................................................................ 95 5.4. Choix du positionnement ................................................

produits ou services proposés (qui se répercutent inévitablement sur les prix de ventes) peuvent avoir des origines diverses : Augmentation de salaires lorsque les syndicats sont assez puissants pour les imposer. Augmentations bu tables de prix stratégique comme dans les chocs pétroliers. Augmentations des coûts d’amortissement lorsque les entreprise ont beaucoup investi. Augmentation des coûts + quand les entreprises sont endettées et que les taux d’intérêt sont élevés. Dans tous le cas ces augmentations

apports financiers de ses membres et appartient de fait aux pays riches, sont bien les seules à disposer de moyens substanciels, à la différence des institutions onusiennes, qui reposent sur le principe « un pays, une voix ». Ainsi, censée répondre aux défis alimentaires mondiaux, l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture dispose d’un budget de 430 millions de dollars pour 2008, et encore : les deux tiers de ses fonds financent les activités de son siège. En juin 2008, elle a réuni à Rome une conférence

l'approche politique retenue en ce qui concerne la situation et l'avenir de toutes les industries maritimes d'Europe fait l'objet d'une communication récente de la Commission intitulée "Façonner l'avenir de l'Europe maritime - compétitivté des industries maritimes"1. Depuis la première communication de la Commission "Vers une politique commune des transports - transports maritimes" de 1985, des industries maritimes se sont développées rapidement dans de nombreux pays, notamment dans l'est de