Démocratie Rome Antiquité

tout athénien majeur jouissant de ses droits politiques. Elle vote la loi, n’importe qui peut proposer une loi. Les lois sont inscrites sur les tablettes de bois ou de pierre qui sont ensuite confiées à des dépôts d’archives. Période ou la démocratie disparaît en Grèce, il y a des conquérants qui vont venir sur ces cités : Alexandre Le Grand . 2) Le temps des monarchies hellénistiques : Ce sont des souverains guerriers qui vont imposer des monarchies de nature divine et autoritaire, mais

culturelle entre ville et campagne et qui, pour la première fois dans l’histoire, permettraient à l’individu de libérer son énergie productive des contraintes que lui imposaient jusqu’àlors la nature et la société traditionnelle ». (p ;47-8) La démocratie comme révolution A noter, dans une perspective sociologique, l’aversion de la Révolution (et de l’Empire) pour les « associations partielles », les collectivités intermédiaires : les corporations, mais aussi la famille (lois sur le divorce, sur

indépendants, souvent en guerre les uns avec les autres. Ils n’ont pas le même mode de gouvernement commun. Ils sont dirigés suivant les époques par un seul homme, par un petit groupe d’individus, c’est à la Grèce qu’on doit les termes de tyrannie, tyran, démocratie, oligarchie (petits groupes dirigeants),police (cité-Etat). Les individus étaient conscients qu’ils avaient une culture propre.Hérodote au V siècle définissait ainsi «Notre appartenance à une même race, notre langue, nos sanctuaires édifié pour

LA POLITIQUE CONTEMPORAINE par ETIENNE FAJON DÉPUTÉ DE LA SEINE Cours professés à l'Université Ouvrière de Paris de février à avril 1938. Sommaire : 1. L'ACTION POLITIQUE ET LE MARXISME (p. 2) 2. L'ÉTAT ET LA RÉVOLUTION (p. 11) 3. LA DÉMOCRATIE ET LE SOCIALISME (p. 22) 4. PLANISME ET SOCIALISME (p. 33) 5. LA CLASSE OUVRIÈRE ET LES PAYSANS (p. 43) 6. LA NATION ET L'INTERNATIONALISME (p. 54) 7. LES PROBLÈMES DE L'UNION (p. 65) Edition électronique réalisée par Vincent Gouysse à partir

l'approche formaliste se focalise, elle, sur les techniques discursives, et notamment sur celles qu'étudiait l'élocution, à travers des auteurs comme Ramus, Dumarsais, Pierre Fontanier, ou, au xxe siècle Gérard Genette et le Groupe µ. Dès la basse Antiquité, en effet, à la suite de la disparition de la cité antique, la fonction politique de la rhétorique s'est perdue : l’éloquence perd son statut d'instrument politique pour devenir simple fin recherchée en elle-même. De pratique, la rhétorique devient

dépassement par un droit barbare - L’analyse de la diversité des sources juridiques au moyen âge - Les tendances a l’unification du droit qui se sont parues du 16 ème siècle jusqu’au code civil Thème 1 : Du modèle juridique romain aux droits barbares Rome c’est treize siècle d’existence et au cours de ces treize siècles, l’apport du droit romain au droit public a été considérable pour deux raisons : - Les romains ont créés un modèle administratif à la fois hiérarchisé et centralisé. - Les grands concepts

métaphysique 5 Sciences pratiques 5.1 L’Éthique 5.1.1 Le bonheur 5.1.2 La vertu 5.1.3 La prudence : phronesis 5.1.4 La sagesse 5.1.5 Volonté et responsabilité 5.2 La politique et l’économie 5.3 Rhétorique 5.4 Poétique 6 Postérité 6.1 Antiquité 6.2 Moyen Âge 6.3 Époque moderne 6.4 Époque contemporaine 7 Bibliographie 7.1 Liste des œuvres 7.2 Ouvrages perdus 7.3 Ouvrages conservés 7.4 Éditions anciennes 7.5 Les faux : les Pseudo-Aristote 7.6 Études 8 Anecdote 9 Péripatéticiens

5 Hydrographie * 2.6 Faune et flore * 2.7 Ressources naturelles et gisements * 2.8 Barrages hydriques * 2.9 Géographie humaine et administrative * 2.10 Villes principales * 3 Histoire * 3.1 Préhistoire * 3.2 Antiquité * 3.2.1 Numidie * 3.2.2 Après la mort de Massinissa * 3.2.3 Christianisme et les Vandales * 3.2.4 Byzantins * 3.3 Moyen Âge * 3.3.1 Islamisation de l’Algérie * 3.3.2 Dynasties islamiques

symbolique. Il dépend de l’interprétation. C’est pour cela que plusieurs périodisations sont possibles. Dans les manuels, l’histoire est très souvent présentée comme une succession de tranches assez rigides, de périodes canoniques (Préhistoire, Antiquité, …). Ce découpage n’est ni universel, ni immuable. Au contraire, il évolue dans le temps. (ex. : avant le 18e on ne parlait pas de Moyen-Âge) Exemple de son universalité : - Au Royaume-Uni et aux USA, on ne parle pas de période contemporaine

de place, donc, pour une histoire. L’histoire ne devient possible que si le droit se fait, au moins en partie, humain ; lorsqu’il peut s’inscrire dans le temps des hommes. C’est ce qui advient, pour la première fois sans doute, en Grèce et à Rome (chap. I). Rome lègue à l’Occident, et donc au monde, un droit déjà très riche ; il s’enrichit encore, par diverses voies, tout au long de ce millénaire que nous appelons, si improprement, le Moyen Âge (chap. II). Vient ensuite, pour le royaume de France auquel