Dénouement La Machine Infernale

Commentaire de la pièce de Jean Cocteau, "La machine infernale", qui mêle les registres comiques et tragiques tout en désacralisant le mythe d'Oedipe afin de le rendre accessible à un public moderne et universel. Ecrit en 2007; 1370 mots; 0 sources; Résumé: Cette analyse de la pièce détaille, acte par acte, le cheminement de l'intrigue et de la fatalité tragique. Cocteau fait de Oedipe un anti-héros : naïf, prétentieux, avide de richesse, de puissance et de gloire, il n'a ni le courage, ni

« La Machine Infernale » de Cocteau 1. Acte 1 : registre comique dominant Alors que dans le Prologue, la Voix annonce un sujet tragique-le parricide et l'inceste d'Oedipe-le premier acte ouvre la pièce sur une scène de comédie. On peut effectivement relever différents procédés comiques. Ainsi, l'action dramatique débute avec une conversation entre les soldats. Le discours des personnages est en prose et appartient au registre de langue familier, certains mots sont mêmes argotiques :"truc

hommes en Rhinocéros symbolise la montée du nazisme. Cf. aussi Cocteau, La Machine Infernale. L’exploitation de ce principe conduit à abolir les structures traditionnelles du théâtre. C) Remise en question de la structure d’une pièce de théâtre Les pièces de Beckett remettent en cause la division en actes et scènes, elles sont remplacées par des tableaux. Puis la structure exposition, nœud, péripétie, dénouement est également bouleversé. Ex : La cantatrice chauve de Ionesco, l’exposition

THEME : mythes et héros PB : Comment le mythe d’Oedipe a réussi à traverser les époques a travers ses réécritures théâtrales ? (Sous forme scénaristique) Prologue : Un comédien se trouve debout sur scène, récite le prologue de La machine infernale , Cocteau l’interromps et fait une remarque. D’un coup, voix de Zeus : Zeus : Mais ce ne serait pas encore une réécriture du mythe d’Oedipe ça ? Cocteau ! Vient avec moi j’ai des personnes à te présenter ! Scène

situation initiale, événement perturbateur, péripéties, éléments de résolution, situation finale). • Présentez brièvement les personnages, en insistant sur leur fonction (actantielle, symbolique,…) dans le récit. • Interrogez-vous sur le sens du dénouement : la leçon par exemple dans un conte philosophique, le devenir des personnages comme indice de la vision du monde de l’auteur… ➢ Pour une pièce de théâtre • Pouvez-vous classer l’œuvre dans un genre théâtral précis: comédie, tragédie

Ici, Anouilh parle de l’intermédiaire du chœur en exposant la conception de la tragédie qui est très différente de celle du drame. Axes : I Une définition de la tragédie : « Et voilà » → fatalité 1) Une mécanique → métaphore de la machine → notion littéraire esthétique « ressort est bandé », « ça roule », « bien huilé » et « coup de pouce » → métaphore filée de la mécanique 2) Le caractère aléatoire du commencement (l. 7 à 10) → insiste sur la capacité de la tragédie

personnage des pulsions inverses». (158) Qu’il s’agisse de Gide, de Cocteau, de Robbe-Grillet ou d’Eliot, l’emprunt à Sophocle s’accompagne d’un refus de Sophocle. Ce qui donna naissance à des Œdipes modernes, débarrassés du premier mythe. La Machine infernale (1934) de Cocteau, l’Œdipe de Gide (1931) et Fin de Carrière de T. S. Eliot (1959) sont des preuves du métabolisme du mythe archétypal. Alors que les classiques comme Corneille et Voltaire ont préféré garder le ton légué de l’héritage antique

hasard, acte I, scène 7 (1730) (à revoir) Lecture Analytique n°7 : Marivaux, La double inconstance, acte II, scène 11 (1723) B. La machine infernale de Jean Cocteau Lecture Analytique n°8 : Acte I, La voix Lecture Analytique n°9 : Acte II : Les rêves de gloire d’un jeune homme Lecture Analytique n°10 : Acte III, La nuit de noces Lecture Analytique n°11 : Le dénouement I. Le personnage de roman du XVII siècle à nos jours A. Descriptions et portraits chez Balzac Lecture Analytique n°12 : Le

avec changement de genre dramatique : « Quant au genre de la comédie… » + question rhétorique. § 3 : Même dans les comédies, les conflits sans importance peuvent être lourds de conséquence, autre manifestation de l'absurde. Ex. 1 : Le dénouement des Caprices de Marianne, chez Musset, contraste avec la légèreté de la comédie : Cœlio est amoureux de Marianne qui est mariée à Claudio. Le jeune homme sollicite l’aide de son ami Octave. Mais Marianne tombe amoureuse d’Octave avec qui elle obtient

Electre, scène 1 I. Le palais (Un décor inhabituel) II. Les rappels du mythe Jean Giraudoux, La Guerre de Troie n’aura pas lieu A quoi peut on identifier le dénouement ? I. Les paroles des personnages II. Le visuel III. Les gestes Etudiez le mélange des registres I. Le registre comique II. Le registre tragique Jean Cocteau, La machine infernale, p280 I. Les éléments tragiques II. Les éléments comiques