Dépravation Des Moeurs

du monde qu'il juge corrompu et qu'il désire alors purifier.5 Il y commence donc une carrière de prédicateur, prêchant contre une société dégénérée qui ne recherche que le profit, la gloire et la richesse.6 Il dénonce, en outre, les malheureuses dépravations dont souffre l'Église, mais ne reniera cependant jamais les dogmes que cette dernière professe.7 Par ailleurs, le prédicateur considère Laurent de Médicis comme le "détenteur illégitime de la propriété des Florentins"8 et refusera tout au long

crois que la vie de la classe ouvrière n'a jamais été abordée avec cette carrure.» Il conçut une ''Ébauche'' relativement courte (dix-sept feuillets) commençant par cette idée générale : «Montrer le milieu peuple et expliquer par ce milieu les moeurs du peuple ; comme quoi à Paris, la 7 soûlerie, la débandade de la famille, les coups, l'acceptation de toutes les hontes et de toutes les misères vient [sic] des conditions mêmes de l'existence ouvrière, des travaux durs, des promiscuités, des

imprudence, une source de maux. Je serais trop long si je rapportais ici tout ce que Raphaël a vu dans ses voyages. D'ailleurs, ce n'est pas le but de cet ouvrage. Peut-être compléterai-je son récit dans un autre livre, où je détaillerai principalement les mœurs, les coutumes et les sages institutions des peuples civilisés qu'il a visités. Sur ces graves matières nous le pressions d'une foule de questions, et lui prenait plaisir à satisfaire notre curiosité. Nous ne lui demandions rien de ces monstres fameux

L’Angleterre apparaît comme le pays de la tolérance religieuse. A côté de l’Église officielle, anglicane, il y a des sectes diverses (le quakerisme par exemple, une doc-trine protestante prêchant le pacifisme, la philanthropie et la simplicité des mœurs. Cf. la lettre sur les quakers dans les Lettres anglaises). Voltaire : « S’il y avait deux religions en Angleterre, elles s’égorgeraient ; il y en a tellement qu’elles vivent en bonne intelligence, et chacun va au ciel comme il l’entend ». Comme tous

deux guerres. f) Aux colonies La Société française d’émigration des femmes aux colonies (1897) pense pouvoir résoudre le chômage en envoyant les institutrices, sages-femmes… dans les colonies, cela permettrait également de « civiliser » les mœurs coloniales. Les hommes disent qu’elles vont distraire les colons de leur tâche et que les maladies tropicales vont affaiblir les mères. Là-bas, seules les carrières de l’enseignement et de la santé s’ouvrent à elles, elles deviennent des observatrices

Antonin : « Que les peuples seront heureux quand les rois seront philosophes, ou quand les philosophes seront rois ! »... Le vrai philosophe est donc un honnête homme qui agit en tout par raison, et qui joint à un esprit de réflexion et de justesse, les mœurs et les qualités sociables. Entez un souverain sur un philosophe d’une telle trempe, et vous aurez un parfait souverain. * 9 Quelques noms, titres et dates Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Diderot… et bien d’autres ! Il suffit de voir la

 VOLTAIRE (1756) ESSAI SUR LES MŒURS ET L’ESPRIT DES NATIONS Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration

En 1804 Code civil. La période entre 1789 et 1804 c’est la période intermédiaire entre la Révolution française et le code civil : c’est le droit intermédiaire que l’on retrouve dans le mariage, le divorce etc. Période qui reflète le changement de mœurs, de droit. La valorisation de l’individu en droit intermédiaire ; la notion d’individu apparait avant la révolution française. Apparition du protestantisme au 16ème siècle. Le protestantisme c’est un moment de cristallisation de l’individu car les

poste de premier commis de bureau. Mais la mort de Montcornet a fragilisé leur situation et justifié le choix de la rue Doyenné. Portrait de Jean-Paul Stanislas Marneffe, employé résistant à l’abrutissement par la dépravation et qui pourrait se retrouver aux assises pour outrage aux mœurs (125). Description détaillé de l’appartement des Marneffe (la salle à manger mal entretenue, la chambre de monsieur en désordre, celle de madame, plus soignée, qui sent la femme entretenue) (126). Dîner retardé des

navire fut démâté, il se comporta avec un flegme exemplaire. À une autre occasion, il prit la défense d’un albatros capturé et tourmenté par de rudes matelots (on peut d’ailleurs se demander si cet adolescent frêle et élégant n’a pas été victime des mœurs de ces marins). En fait, ce voyage enrichit sa sensibilité, l'éveilla à la poésie de la mer, allait lui laisser la nostalgie des ports remplis de voiles et de mâts, des soleils couchants sur les flots, et lui inspirer plusieurs poèmes. Après quatre-vingt-trois