Désintermédiation

financement. Les banques ont alors recours au crédit monétaire : elles créent de la monnaie en accordant des crédits (on parle de financement monétaire). 3. Le financement direct Depuis les années 80, on assiste à un processus de désintermédiation financière : le financement externe indirect, source de création monétaire et donc d’inflation, est en forte diminution. Les agents à besoin de financement se tournent de plus en plus vers les marchés financiers pour se procurer des ressources

transaction (Coase). L’objectif de désintermédiation est de limiter les couts de transaction. Le financement de l’économie est couteux, il s’agit d’emprunter du capital, souvent pour investir (analyse cout/avantage). Si la rentabilité du capital attendu n’est pas élevé on peut essayer d’en diminuer le cout du à l’intermédiation bancaire. Je cherche à diminuer le cout du financement des investissements. Or l’investissement est favorable à la croissance. Après la désintermédiation, il y a la dérèglementation

La régulation administrative des taux d’intérêt et la part importante des crédits bonifiés dans L’ensemble des crédits distribués a laissé les taux d’intérêt réels à un niveau le plus souvent négatif. b. Les conséquences : décloisonnement, désintermédiation Evolution du mode de financement observée en France depuis les années quatre-vingt et caractérisée par la préférence croissante des agents pour le face-à-face direct entre l’épargne et l’investissement (par le truchement des titres tels qu’actions

conditionnés du FMI dans les années 1980-1990. Un pouvoir financier diffus : un certain contrôle Tous les agents ont donc l’air dépassé, victimes de la mondialisation. Mais ne faut-il pas trouver la réponse à cette situation confuse dans la désintermédiation des milieux financiers et économiques ? En raisonnant en macroéconomique, les vrais bénéficiaires de ce phénomène de globalisation sont les entreprises qui devant elles beaucoup plus d’états. C’est une offre d’implantation beaucoup plus nombreuse

refinancer les institutions financières afin d'éviter le risque systémique, en faisant participer le contribuable. Quelles peuvent être les conséquences de ses crises financières? Depuis les années 80 et la vague de libéralisme de la désintermédiation, déréglementation et décloisonnement de H. BOURGUINAT, le marché des capitaux s'est tellement développé, {text:soft-page-break} qu'aujourd'hui 80% du financement de l'économie passe par celui-ci. En effet, tous les agents tels que l'Etat, les

majorité des pays industrialisés. Ce sont elles qui créent le plus d’emplois et qui contribuent le plus à la croissance. Ce rôle des PME dans le développement économique est d’ailleurs de plus en plus manifeste. En dépit du très net mouvement de désintermédiation observé depuis le milieu des années 1980, les intermédiaires financiers continuent de jouer un rôle déterminant dans le financement de l’économie en France par exemple : en 1998, près de 80 % de l’endettement des sociétés et quasi sociétés non

mondial de capitaux se développe. Le volume des petros-dollars va être multiplié par 5 : règle des « 3 D » Déréglementation financière : idée que les capitaux circulent librement Décloisonnement : fin de la spécialisation des banques Désintermédiation : les emprunteurs et le préteur pourront agir librement sur le marché des capitaux C) Une organisation de la production qui se restructure Décomposition Internationale du Processus de Production : les étapes de la production d’un produit

(libéralisme économique des années 80). * Décloisonnement des banques qui font plusieurs métiers : banque de dépôt et banque d’affaire. * Dérèglementation des marchés financiers, les Etats contrôle de moins en moins les bourses. * Désintermédiation : les entreprises font des placements boursiers sans passer par l’intermédiaire de la banque. II. Les acteurs de la globalisation * Les banques + compagnie d’assurance (les zinzins = investisseurs institutionnels). * En France

mais aussi à la répartition et au transfert des risques entre agents économiques. C'est l'entrée, notamment avec le développement des marchés de contrats dérivés, des principes de l’assurance dans la sphère du financement et du placement. -la désintermédiation : possibilité pour les agents économiques de financer leurs besoins non plus par l’emprunt auprès des seules banques, mais directement sur les marchés financiers, par l’émission d’actions ou d’obligations. -la libre circulation des capitaux

forts capacité de financement et on assiste à l'essor des marchés financiers. L'épargne brute était conservé notamment pour financer les dettes et intérêts. Les marchés financiers sont déréglementés et les transactions se font plus facilement (désintermédiation de la finance). Les intérêts commencent à se substituer aux dividendes (la contribution des dividendes à la croissance de l'EBE est supérieur de 5% à la contribution des intérêts). 2000-2007 : Durant cette période, on assiste à un prolongement