Désobéir Aux Lois

Sujet: Suffit-il d'obéir aux lois pour être juste? Il existe plusieurs façon de concevoir la justice. On peut concevoir la justice comme étant une valeur morale, mais aussi comme étant juste le fait de se conformer aux lois, ou encore, la justice peut simplement renvoyer à l'institution ou au pouvoir judiciaire. Être juste c'est être légale, et être légale c'est être conforme aux lois. Il existe trois types de lois: celles qui interdisent, celles qui obligent et celles qui autorisent. Cependant

esclave, à l’exception du roi, qui lui, est le maître du peuple. La but du citoyen est de servir son roi, il doit en aucun cas lui désobéir ou le déshonorer, donc la liberté est inexistante. Maintenant, venons aux Grecs. Ils vivent dans un État de droit, ce qui veux dire un régime démocratique. Ils ne vivent pas sous le règne d’un roi, mais sous le règne de la lois, qu’ils craignent plus qu’il ne craignent un roi. Celle-ci est voté par les démos, et elle est écrite, donc elle ne change pas et

éventuelle conciliation pour un droit parfait ? Le sujet est « Idéalisme et Positivisme ». L’idéalisme et le positivisme sont deux courants fondamentaux du droit, les idéalistes pensent qu’au dessus de l’ensemble des lois que l’Homme a créé, il existe en réalité des lois naturelles non édictées que l’Homme respecte grâce à sa conscience, à sa morale, ce courant vient de ce que l’on appelle le droit naturel, défini comme l’ordre réel de la vie en société, il prône un idéal de justice, celui-ci

la réponse de Socrate. Après avoir examiné les conséquences de l'évasion de Socrate sur l'État, les lois lui font voir les conséquences funestes que créera celle-ci sur lui-même, ses amis et ses enfants. En premier lieu, l'évasion aurait un impact négatif pour lui-même car il perdrait toute crédibilité face au reste du monde, il se ridiculiserait et serait déshonnoré vu comme corrupteur de lois. En deuxième lieu, sa fuite serait néfaste pour ses amis, car ils risqueraient l'exil et la perte de

Les principes pratiques guident les actions de la volonté, tous ces principes s’adressent à un être qui peut obéir ou désobéir, qui est capable de faire des choix. Par exemple, si je suis nécessairement (le contraire serait impossible) amenée à commettre un inceste ou à mentir, j’ai une volonté capable de désobéir. « L'homme possède le libre arbitre ou alors les conseils, les exhortation, les préceptes, les défenses, les récompenses, les châtiments seraient vains »

moi, que tu trahis ton fils, que pouvant les élever et les instruire parfaitement, tu te dérobes et les abandonnes. Q2. Les principales objections se résume en une seule qui est ; je n'ai pas respect des lois donc je dois subir les conséquences car se sauver détruirait le pouvoir des lois. Q3. Un homme qui s'exerce à la gymnastique et qui en fait son étude prête-t-il attention à l'éloge, à la critique du premier venu, ou de celui-là seul qui est son médecin ou son pédotribe ? Il devra donc

Supposons un moment ce prétendu droit. Je dis qu'il n'en résulte qu'un galimatias inexplicable, car sitôt que c'est la force qui fait le droit, l'effet change avec la cause. Toute force qui surmonte la première succède à son droit. Sitôt qu'on peut désobéir impunément, on le peut légitimement ; et, puisque le plus fort a toujours raison, il ne s'agit pas de faire en sorte qu'on soit le plus fort. Or qu'est-ce qu'un droit qui périt quand la force cesse ? S'il faut obéir par force, on n'a pas besoin d'obéir

distinction expliquer / comprendre II – La conscience produit une illusion qui empêche l'homme de connaître sa véritable place dans la nature (« Lettre à Schuller » de B. Spinoza, la psychanalyse de Freud) A) Nous sommes des corps déterminés par les lois de la nature B) Comment expliquer l'illusion du libre-arbitre ? C) Repenser la responsabilité D) Une autre critique de la liberté de la conscience : La théorie freudienne de l’inconscient III – La conscience nous empêche d'éliminer la responsabilité

livres ou de journaux en leur possession" ou encore " qu'ils ne devaient pas utiliser les transports publiques " Faudrait-il donc ne pas obeir à toutes les lois ? En effet , on peut considerer que si les lois n'ont pas été établies par un " contrat social " mais par une force exclusivement contraignante alors on peut avoir le droit de desobeir à la loi car celle-ci n'est pas conforme avec la première liberté des individus : celle d'avoir librement et légitement choisi. De même , si la loi n'est

est le cas lorsque les deux conditions définies par l’Art. 28 du Titre 1 du Statut général de la fonction publique sont remplies : le fonctionnaire doit désobéir aux ordres gravement illégaux et lorsque cet ordre porte atteinte grave à un intérêt public. Ex : Arrêt Conseil d’Etat 10 novembre 1944, Arrêt Langneur : un fonctionnaire aurait dû désobéir à un ordre donné par son supérieur hiérarchique (en l’espèce un maire) qui lui avait demandé d’inscrire comme chômeur les habitants de la commune pour