Désobéir Aux Lois

serait plutôt la soumission à une autorité externe à la raison ( être hétéronome, c'est obéir aux dogmes d'une religion, à ses désirs, à ses passions ou à un supérieur hiérarchique comme le prétendait Eichmann). Dès lors, faire le mal moral, c'est désobéir à la règle morale . En effet, être immoral, c'est obéir à une autre règle que celle de la raison, c'est donc être hétéro nome, autrement dit c'est être, d'une certaine manière, esclave d'un autre que soi. J'en arrive donc à cette conclusion que l'agir

Il semble que de nos jours la liberté d’expression n’a jamais été autant susciter dans la population. Presque tous les usagers d’internet peuvent présenter leurs opinions sous différentes formes. Néanmoins, plus récemment, une vague de dénonciation portant sur des cas faisant polémique auprès de célébrité a fait surface sur les réseaux sociaux comme entre autres le cas de Marie Pierre Morin qui s’est fait déprogrammer ses émissions sur plusieurs postes de télé au Québec après avoir porté des agressions

attitude s'explique par sa fonction de roi. Ismène est partagée : elle a une attitude réaliste presque adulte et elle essaie de comprendre les uns et les autres. Il n'y a pas de partis tranchés chez Anouilh. Dans la pièce de Sophocle, Antigone défend les lois sacrés contre la tyrannie. Ici on a une version plus "mitigée" des choses. Antigone reprend des phrases de sa sœur de manière laconique, ces réponses ne permettent pas d'entrer dans un débat de fond avec Ismène, mais elles nous permettent de comprendre

sont le symbole de la résistance.Dans l’Allemagne Nazie le peuple adhère dans sa majorité (même si des voix dissonantes se font entendre et refusent les idées nazies) aux règles du régime légitimes et obéissent aux lois telles celles de Nuremberg sur la supériorité de la race, les lois antisémites …Pourtant à titre personnel tous n’adhère pas. Les exécutants obéissent à un ordre et mettent en œuvre différents moyen sans considérer la fin. Chacun n’étant qu’un exécutant sans porter la responsabilité

plus dur que se s’accorder avec son interlocuteur. L’autorité arbitraire à tous pour intéresser les jeunes de troisième millénaire, elle relève le fait de désobéir à une loi ou de la suivre. La nouvelle société joue beaucoup la dessus, essayer de contourner les lois et de faire ce qu’il nous plait. Les plus puissants eux fournissent des lois pour accorder tout le monde ensemble. Ceci pourrait très bien intéresser les jeunes aussi parce qu’ils aiment eux aussi être respecter et avoir du pouvoir,

5-Martin Luther King pense qu’il est moralement nécessaire de désobéir à une loi injuste à condition d’accepter les conséquences de sa désobéissance.6-Kohlberg a montre ke tous les individus ont une capacité morale et que cette capacité progresse selon les stades hiérarchiques.Le stade 6 est celui de l’autonomie morale.C’est pourquoi Kohlberg classe King au stade 6.CH.2 1-Il y a une différence entre les jugements de fait et les jugements de prescripteur.Les premiers s’appuient sur l’observation des

Ils vont être indépendant car aucun représentant d’un pouvoir ne va être désigné par un autre : les députés et le président sont nommés à la suite d’élections différentes. En séparant le pouvoir législatif, c’est à dire ceux qui font les lois, du pouvoir exécutif, c’est à dire ceux qui les font exécuter « le pouvoir arrête le pouvoir » comme le dit Montesquieu. Si une des autorités prenaient une décision despotique alors elle se confronterait à une autre, ce qui

forme d'obéissance est une destruction de la personnalité. Or l'Etat symbolise l'ordre et l'autorité. Il apparaît donc comme la négation de la liberté : il exerce une oppression plus ou moins forte sur l'individu en réglementant sa vie sociale par des lois. Ainsi, pour Stirner, l'Etat est la puissance hostile aux forces individuelles : « tout Etat est despotique », écrit-il, car « aux mains de l'Etat, la force s'appelle droit, aux mains de l'individu, elle s'appelle crime ». Rejetant la notion d'Etat

Toutes les conceptions du droit naturel posent l’existence d’un droit naturel universel ayant vocation à fonder et à évaluer, du point de vue de la raison, l’ensemble des droits positifs. Ceci implique la possibilité, dans certaines conditions, de désobéir à une loi injuste ; - Un courant, appelé par les juristes « positiviste » rejette toute idée d’un droit naturel transcendant vers lequel devrait tendre le droit positif ; le droit n’est rien d’autre que le droit en vigueur dans un pays et un temps

en imaginant n’être pas obligé de travailler pour suffire à ses besoins, on ne peut échapper aux lois établies par la société. « La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres » [John Stuart Mill] C’est cette définition qui est appliquée dans nos société, qui montre bien que la liberté n’est pas absolue, qu’elle est subalterne à l’obéissance. Sommes nous libres de transgresser les lois ? Avons-nous le choix ? Cela revient à se poser la question du libre arbitre. Sommes nous Libres