Désobéir Aux Lois

l'Etat semble être l'obstacle par excellence à la liberté individuelle. Le quotidien nous donne de nombreux exemples de ces obstacles: limitation de vitesse sur la route, respect de la propriété du voisin, obligation de payer ses impôts, etc. Autant de lois qui semblent entraver ce que l'opinion commune appelle « la liberté ». De même, l'Histoire offre de nombreux exemples de tyrannies et totalitarismes qui ont confisqué la liberté politique de leurs citoyens. Pourtant, la liberté politique peut-elle

connais le sens puisque je suis moi aussi capable de l'endurer. La pitié est donc la cause unique de cinq effets, qui sans elle demeureraient inexplicables : « c'est elle » qui nous rend capables de compassion ; « c'est elle » qui, en l'absence de lois positives, vient limiter nos désirs égoïstes ; « c'est elle » qui nous incite, non à préférer le bien d'autrui au nôtre, mais à ne pas préférer absolument le nôtre au sien, en cherchant autant qu'il est possible à ne pas le léser dans notre quête légitime

répétition de l’adj “tous” - Référence volonté égalité: ↳ répétition “égaux”; “également” + adj “même” - Correction DDHC; pour soutenir la cause des femmes: O.G défend = droits H/F en ajoutant des éléments à la DDHC => corriger - “Doit” ou “doivent” = lois communes pas respectées: ↳ Femmes pas impliquées même manière dans l’exigence de participer à l’expression de la volonté commune. - Loi doit s’améliorer pour que les femmes puissent s’exprimer: → O.G demande donc un changement. - DDHC originale “volonté

de voyager debout dans le fond de l'autobus. Mme Parks a refusé d'obtempérer. Elle a été arrêtée pour avoir enfreint les lois de l'Alabama sur la ségrégation. Cet incident a provoqué un boycott des autobus de Montgomery qui a duré un an. Il n'a pris fin qu'après la confirmation par la Cour suprême de la décision du tribunal inférieur qui avait jugé anticonstitutionnelles les lois sur la ségrégation dans les autobus. (Bibliothèque du Congrès).   3 Martin Luther King (à gauche), Fred Shuttlesworth (au

même le détruire. Ainsi, des conflits (qui peuvent être violents) peuvent se produire. Enfin, par définition, l’état de nature n’est pas un état dans lequel il existe des règles, des lois, la morale, les notions du Bien et du Mal ou du Juste et de l’Injuste. Dans l’état de nature, tout homme est dépourvu de règles, de lois. Les hommes sont libres de faire ce qu’ils veulent, c’est pour cela que Hobbes dit que les passions des hommes et les actions qui en découlent ne sont pas des péchés. (Texte 6). L’unique

et le sentiment de pitié à l’œuvre dans nos sociétés. Dans l’état de nature, lorsque l’homme est confronté à lui-même, la pitié « tient lieu de Lois, de mœurs, et de vertu » (L.7), ces lois, mœurs et vertus supposent que l’homme est à l’état civil, gouverné par des règles qui dirigent les sociétés. Or, à l’état de nature, il n’y aurait pas besoin de lois pour punir ceux qui se conduisent mal puisque ce sentiment n’aurait effleuré l’esprit de personne, il n’y aurait pas non plus besoin de mœurs, ni

ordre, à condition qu'on énonce aussi la règle par rapport à laquelle se définit cet ordre. — Peut-on parler d' « ordre social »? Ne pourrait-on dire que l'ordre social c'est la disposition de tous les éléments composant la société conformément aux lois qui la régissent. Tout ce qui serait en dehors de cette disposition légale, ou contraire à elle, serait désordre. Mais cet ordre légal ne renverrait-il pas à un ordre (explicite ou implicite) politique ? Si bien que ce qui serait en ordre par rapport

l’ensemble des missions qui sont contenues dans les textes définissant son service. Par conséquent, ils sont normalement tenus d’obéir aux ordres émis par le ministère de l’éducation. De plus, nous sommes dans un pays en démocratie. Par conséquent, désobéir à la loi c’est d’une certaine manière rejeter les principes de la démocratie. Si des mécontentements sont émis, c’est dans les élections qu’il faut les prendre en compte. b) Du point de vue des désobéisseurs Cependant, ce n’est pas de cette

faire un choix difficile dont chaque partie possède ses avantages et ses inconvénients. La scène 5 de l’acte I montre son père qui le supplie et lui donne ordre de le venger. Rodrigue ne peut désobéir à Don Diègue : d’une part, la société patriarcale dans laquelle il vit n’autorise pas la transgression des lois du père ; d’autre part, l’acte injuste de Don Gormas doit être réparé, malgré la vieillesse de Don Diègue, et Rodrigue se doit de sauver l’honneur de sa famille. Pourtant, tuer Don Gormas serait

Dans ces conditions, peut-on encore soutenir que les passions ne nous empêchent pas de faire notre devoir ? Si la passion incontrôlable ne nous permet plus de distinguer les choses externes que se soit de notre conscience, d'autrui, ou même des lois il arrive que par les circonstances la passion peut nous faire à agir conformément à ce que demande le devoir. Dans ce cas, l'intention ici ne sera pas morale, l'action ne se fera pas pour respecter le devoir, mais en réalisant notre passion cela respectera