Désobéissance Loi Légitime

est-il constitutif de son ordre, de sa fondation et de sa permanence ? En ce sens, est-ce qu’une société peut pleinement garantir son ordre et sa fondation de façon autonome ? Peut-elle – au sens premier de l’autonomie – se donner à elle-même la loi et assumer cette liberté, ou doit-elle nécessairement conférer à ses lois une autorité et une origine transcendante ? C’est une telle exigence d’autonomie qui fonde les démocraties modernes. Et s’il s’agissait de définir la démocratie, on pourrait

une différence entre 2 types de normes : Les normes secondaires : ceux qui organisent la production des normes qui l’organisent. C’est la base de la constitution. Les normes primaires : des règles qui ont un contenu plus ou moins précis, ex : « la loi doit être la même pour tous. » Une norme, même si elle n’est pas très précise reste une norme. Elle n’est pas forcement accompagnée d’une sanction. Selon HART, est considérée une norme, quelque chose qui l’eu déjà été. Est valide, dans un certain

contexte de l'ascension de la bourgeoisie, soucieuse de se légitimer par rapport à la noblesse. Il y a une tension dans l'existence d’une classe politique dans la démocratie contemporaine. Dès lors, peut-on accepter dans une société de plus en plus égalitaire l'existence d'une classe politique ? Est-il temps aujourd'hui de donner congés à tous ceux qui figurent au premier rang de la société ? Les élites de la classe politique sont moins légitimes qu'avant en raison d'un certain nombre de comportements

la police qu’on arrive à imposer la paix en interne, elle se professionnalise entre le XVIIIe et XIXe s. L’Etat dispose de : →L’armée pour faire la guerre avec d’autres Etats. Vers l’extérieur →La police pour surveiller la p° et réprimer les désobéissances à l’Etat. Elle est tournée vers l’intérieur. 1 phénomènes parallèles qui ont entrainé : Police → une pacification des sociétés grâce à la surveillance. Armée →concentration de la violence vers l’extérieur grace à la guerre. Surveillance :

Mais à un moment donné, les hommes décident par eux même d’abandonner cet état de nature, pour 2 raisons principales: -il manque à l’homme avant le contrat social 3 choses: :=1 loi tjrs claire et précise qui assurerait le partage équitable des terres en tranchant l’appropriation des terres. =un juge pour appliquer cette loi =une force collective chargée de faire observer une décision prise par les juges car quand il y a un conflit entre deux individus, chacun a tendance à faire preuve de partialité

nos supérieurs l’attendent de nous ! 16 Les caractères généraux de la relation hiérarchique Les caractères généraux de la relation hiérarchique sont : •l’Autorité ; •les sentiments et les attitudes ; •les ordres ; •l’obéissance et la désobéissance ; •la discipline ; •la crédibilité. 17 Les caractères généraux de la relation hiérarchique - L’Autorité (suite) - Pour faire fonctionner la relation hiérarchique dont il a la responsabilité, le Chef a besoin d’une autorité. L’AUTORITÉ

multiples définitions que l’on peut recenser du mot frontière, aucune ne lui attribue comme rôle à la frontière celui d’empêcher un quelconque dépassement. Une frontière n’est pas considérée comme une barrière infranchissable elle permet juste de légitimer au sein des territoires délimités qu’un gouvernement souverain puisse s’établir et s’exercer sans craindre qu’une autre puissance vienne empiéter sur sa compétence. Une fois les frontières terrestres mises en place, cela n’empêche en rien le ressortissant

l’ordre juridique, qui ne peut exister sans elle. Le droit constitutionnel est un droit fondamental, essentiel, qui s’intéresse à la Constitution. “Avoir une bonne constitution” = être en bonne santé. 1789 : Révolution française → adoption de la loi des 16-24 août 1790 : soustrait à l’emprise des juges le contrôle des règlements et des lois : ne peuvent s’occuper que des conflits privés. Création juge spécial pour contrôler les affaires de l’Etat : - Juge administratif : règle contentieux entre

Djaout, assassiné par un marchand de bonbons sur l'ordre d'un ancien tôlier ». La malédiction, c'est celle qui pèse sur Alger, soumise aux seules forces de l'intolérance et de la barbarie. Celle qui piétine une société corrompue où la force fait loi. Celle qui frappe les familles où les frères s'entre-tuent, où les femmes sont réduites à l'esclavage. La malédiction c'est l'ignorance, les représailles, le désaccord, la crainte, le soupçon, la bigoterie érigée en principes. En somme, la malédiction

peuvent etre influencés par aucune personne ou groupe social. Selon Muller le « cœur meme » de la « liberté stoicienne » est l’assentiment, les informations que l’on perçoit, sont traitées et analysées, notre propre sensibilité permet de les légitimer ou non. L e fait d’approuver une information résulte de considérations personnelles relevant du critère de l’évidence ; La pertinence de l’information dépend uniquement de la volonté de celui qui la reçoit, cela est l’essence meme de la liberté.