Déséquilibre Macroéconomique

informel " (Rajaa Mejjati Alami), " Les politiques macroéconomiques " (M’hamed Sagou). Le rapport reprend également quelques développements d’un " état des lieux " de la dynamique macro-économique de l’économie marocaine entre 1986 et 2003 dû à Bernard Billaudot (2005). Afin de ne pas trop alourdir la présentation les emprunts directs à ces textes ne sont pas référencés. Sommaire Résumé 7 Introduction 9 Chapitre 1: Des politiques macroéconomiques autonomes (1960-1981) mais débouchant sur une croissance

équilibres macroéconomiques ? pp.41-47 5.1. L’équilibre emplois – ressources pp.41-43 Objectifs de savoir : distinguer exhaustivement emplois et ressources / établir un lien entre les emplois et les ressources et en déduire l’équilibre emplois-ressources / préciser l’intérêt de l’équilibre emplois / ressources 5.2. Les grands déséquilibres macro-économiques pp.43-47 Objectif de savoir : identifier les sources possibles (ainsi que leurs conséquences) de déséquilibres d’ordre macroéconomique 2 SENSIBILISATION

les affiliés. De son côté, le Haut-commissariat au Plan, qui s'est intéressé à l'impact du vieillissement de la population marocaine sur la situation financière du système de retraite et l'évolution macroéconomique, a fait savoir que la dégradation du rapport démographique a entraîné un déséquilibre entre les dépenses et les ressources des différents régimes. «Alors que le niveau des cotisations des différentes caisses est en baisse continue depuis 2005 pour atteindre 3,2% du PIB en 2009, celui des

économies se referment sur elles-mêmes => l'État ne peut qu'intervenir pour essayer d'enrayer la spirale de récession, de faillites, de chômage massif ; c'est l'époque des politiques de relance mises en œuvre et financées par l'État. o Une théorie macroéconomique dans un cadre national et à court terme : concerne des données globales (emploi global, demande et offre globale, investissement global, etc.). o Pour Keynes, économie = système où les flux circulent, raisonnement à court terme, dans un cadre

privés § 2 : L’aide au développement § 3 : Les apporteurs multilatéraux : FMI & BM Chapitre VI : Le système monétaire international § 1 : L’étalon-or § 2 : Le régime de Bretton Woods § 3 : Le flottement des monnaies § 4 : Le SMI actuel et ses déséquilibres § 5 : Quels ajustements ? § 6 : Vers un nouveau SMI ? Conclusion 3 Chapitre 1 : LES ECHANGES INTERNATIONAUX § 1 : Les trois phases de l’ouverture. 11) 1850-1914. 1° Mondialisation. Intégration aux économies s’industrialisant d’Europe de

institutionnels. L'influence prépondérante de ces acteurs financiers imprime sa marque sur la concurrence dans la finance, sur l'allocation des capitaux et sur les comportements des entreprises. Ces effets microéconomiques ont des répercussions macroéconomiques. La globalisation financière agit sur les conditions de la croissance des économies. Elle s'accompagne aussi d'une instabilité endémique qui nourrit des crises financières récurrentes .Ces crises accompagnent l'extension de la libéralisation

expansion permettrait de résoudre le problème de chômage dans la première et de pression à la hausse des salaires dans la seconde, et de résoudre le déséquilibre commercial (en diminuant la demande dans le premier pays et en l'augmentant dans le second). Selon Mundell, l'unification monétaire faisant disparaître le premier instrument correcteur des déséquilibres, seules des économies ayant une forte mobilité des facteurs et/ou une forte flexibilité des prix et des salaires peuvent viser à constituer une

auteurs ont centré leurs études sur d’autres déterminants qui peuvent influencer la profitabilité. Dans ce sens, des variables macro-économiques et d’autres bancaires sont introduites à la modélisation de la profitabilité des banques. Parmi celles macroéconomiques ont cite le taux d’intérêt, le taux d’inflation et le produit intérieur brut (PIB). En ce qui concerne les variables bancaires les plus importantes on cite la liquidité, la taille de la banque, le niveau de risque, l’adéquation en capital… Afanasieff

politiques conjoncturelles sont totalement inefficaces, aussi bien à court terme qu’à long terme et que tout déséquilibre ne peut être que rare et temporaire. Pour eux, toute variation des prix, de l’offre ou de la demande résulte du processus permanent d’ajustement. Ils s’opposent aux keynésiens pour qui les rigidités sont fréquentes et à FRIEDMAN pour qui l’économie peut être en déséquilibre à court terme. La NEC fait reposer ses analyses sur les hypothèses suivantes : * Les prix sont les

 I. Définition (Voir Cahier) II. Les faits analyser par la macroéconomique La théorie macroéconomique analyse les faits qui touchent toute la collectivité nationale. Le chômage à deux causes cause micro : une entreprise mal gérer pourra tomber en faillite d’où chômage. raison macro : la crise entraine un chômage de masse. L’inflation « augmentation généraliser durable des prix à la consommation (la monnaie perd son pouvoir et pas sa valeur), le consommateur finale qui paye. » elle