Déterminants Du Chômage

Population et structure : a. L’accroissement de la population b. L’évolution de la population par milieu de résidence c. La répartition spatiale de la population d. Structure par âge de la population 2. Fécondité et ses déterminants a. Le taux brut de natalité b. L’indice synthétique de fécondité c. Le taux de fécondité d. La parité par âges 3. Mortalité et ses composantes a. Le taux brut de mortalité b. L’espérance de vie à la naissance

fonction de production. Dans une telle approche, la croissance du PIB potentielle est la somme de la croissance potentielle de l’emploi, du capital et de la productivité globale des facteurs (PGF). Cette méthode permet de relier le PIB potentiel à ses déterminants économiques. Un dernier ensemble 83 regroupe des approches intermédiaires, dites semi-structurelles, qui essayent d’allier la simplicité des méthodes statistiques tout en ajoutant un contenu économique, comme par exemple la courbe dite de

Chapitre IV- Emploi et chômage I- Emploi et chômage en perspective A- Emploi et population active Le niveau de la population active dépend du taux de natalité, du taux de mortalité, du solde migratoire, du taux d’activité. L’emploi dépend de la croissance économique, de l’évolution de la productivité, du niveau de formation, de la durée du travail. Les facteurs déterminant ces deux éléments sont donc profondément différents et il est plus simple de faire varier le niveau de l’emploi que la population

anticipation sera exacte et rien ne dit que la production effective, réalisé permettra d’embaucher tous les individus désirant travailler, cela veut dire que pour Keynes il existe des situations de chômage involontaire, les individus sont involontairement privé d’emploi. Il considérait que quand il y avait chômage, il est causé par une insuffisance de la demande mais cependant elle est aussi causé par une insuffisance de l’offre lorsque les entreprises ne sont pas incitées à embaucher et à produire car

niveau de Productions en fonction de la demande anticipée , et ce niveau de production ne correspond pas nécessairement au niveau de la production permettant le plein emploi. -Nicolas Kaldor = le carré magique (Il doit servir a lutter contre le chômage,l'inflation , a favoriser la croissance et les échanges ). Chapitre 2 = Le circuit Économique I-Les méthodes d'analyses économiques 1)La représentation du fonctionnement de l'économie 2 formes de représentations économiques = -Système de marché

d’Economie Dans nos sociétés modernes, 90 % de la population active est salariale et 70 % travaille dans le secteur tertiaire. L’emploi est donc au cœur des préoccupations économiques et sociales contemporaines. Aujourd’hui, la question du chômage reste déterminante car bien qu’en baisse, il concerne toujours environ 8% de la population. La crise des années 70 a entraîné une demande moins dynamique et plus fluctuante ; les entreprises doivent donc s’adapter à des goûts plus diversifiés (remise en

extérieur. C- Les objets de la macroéconomie Cinq grands domaines d'études : La croissance économique( richesse) et le développement économique ( culturel & social). Celle-ci est nécessaire au développement. L'emploi et le chômage (Les causes d’où vient le chômage...) La répartition des richesses ( Comment est répartie la richesse?) L'inflation(Perte du pouvoir d'achat) Elle ne touche pas les agents économique de la même façon. Le commerce international A- Principaux courants de pensée

tendance à accroître S. &Rôle de l’immobilier : dépense de logement = une S (dès lors que ce n’est plus un loyer), donc augmentation prix immobilier explique augmentation S. II. Les déterminants du taux d’épargne Les théories économiques permettent-elles de comprendre l’évolution du taux d’épargne ? Les déterminants traditionnels Le taux d’intérêt (réel) Vient des classiques, démontré par les néoclassiques : prix de renonciation à la C° (I=S). Véritable corrélation entre variation taux int variation

coût, c'est aussi un déterminant important de la demande. Par ailleurs, pour Keynes, le mécanisme des prix sur le marché du travail n'aboutit pas usuellement au plein emploi d'où l'introduction de la notion de chômage involontaire. Pour les classiques, l'offre de travail par les salariés dépend du salaire réel w/p. S'il y a du chômage c'est que le salaire réel w/p (w salaire nominal et p indice des prix) est supérieur à la productivité marginale du travail PmL. Le chômage ne peut être que volontaire

propre 1) De la relation entre croissance des salaires nominaux et chômage à la relation entre croissance des prix et chômage. En 1958 l’économiste néo-zélandais Alban William Phillips, publie un article dans la revue Economica pour rendre compte de son travail mené à la London School of economics. La recherche porte sur une liaison éventuelle entre le taux de croissance du taux de salaire nominal et le taux de chômage, elle repose sur l’observation de l’économie anglaise de 1861 à 1913 puis