Déterminisme Hasard Finalité

» • Ce point est essentiel à la pensée de Bergson. La vie est « un élan créateur » ; ses lois sont radicalement autres que celles qui organisent la matière. Les lois du vivant (et a fortiori celles des êtres vivants & conscients) dépassent le déterminisme qui règne dans la matière. A ce stade, Bergson effectue une 1ère correction logique « qui complète la conclusion ». Que fait-il au juste ? Sans rien ajouter de plus, il redresse l’ordre causal en le renversant. Ce qu’on a observé en 1er

particulièrement elle est fondée sur le 4ème principe de la raison qui est le principe de causalité qui affirme que tout fait à une cause et qu’une même cause est toujours suivie du même effet. Ceci rejoint l’idée qu’il existe dans la nature un déterminisme universel et ceci permet à la raison de chercher les lois ordonnant la diversité apparente des phénomènes. Mais le domaine où la raison règne en maître ce sont les maths avec sa plus fine pointe qui est la démonstration. Une démonstration est

plus léger atome, rien ne serait incertain pour elle et l’avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. » (Essai Philosophique sur les probabilités, 1814). Dans cette conception le hasard disparaît et/ou correspondrait à l’ignorance des séries causales qui déterminent les événements singuliers. Le déterminisme ne doit pas être pris dans un sens épistémologique, car toute sociologie est déterministe puisqu’elle rend compte de ce qui est en proclamant « que rien n’est sans raison d’être » (Bourdieu)

le langage, l’art et la technique, le travail, la religion, l’histoire. Présentation du problème : Culture | Nature | LIBERTE(mais condamné à créer ses propres lois) * Langue * Echanges * Interdits * Représentation des lois | DETERMINISME (chaque cause produit toujours le même effet)Lois de la nature : * Loi de l’attraction universelle (1686) * Photosynthèse * Evolution * Astronomie/minéralogie/biologie (non vivant) * Obéissance aux lois | Culturel = artificiel (=fait

universally acknowledged among mankind, and has never been the subject of dispute, either in philosophy or common life. David Hume Résumé : Dans cet article j’aborde quelques notions centrales du naturalisme huméen telles que la causalité, le déterminisme, le problème de l’induction et la liberté de la volonté. Les aspects de ces notions sont souvent ramenés à la surface grâce à la comparaison des idées de Hume avec celles d’autres auteurs modernes ou contemporains. Il m’intéresse tout particulièrement

alors que Darwin, 50 ans plus tard, ne fera que proposer des mécanismes plus cohérents pour ce qui est de l’explication de l’évolution –en remplaçant l’usage et la désuétude par la lutte pour la vie. I° la compréhension du vivant entre finalité et mécanisme : A° la conception finaliste et hiérarchique du vivant : Aussi loin que l’on remonte dans l’analyse du vivant, on trouve le débat qui consiste à opposer une interprétation finaliste et une interprétation mécaniste du vivant

ne pourraient donc être le résultat d'une évolution progressive par sélection naturelle : une ébauche d'œil ne fonctionnerait pas et ne donnerait pas un avantage sélectif significatif. =) n'est ce pas reconnaître une forme de hasard en l'évolution ? Prédominance du hasard rend tout explication impossible S'il s'agit simplement de subsister (et non, par exemple, d'être plus complexe, plus intelligent ou plus beau) et si l'adaptation n'est que cette aptitude à perdurer, alors il suffit d'un mécanisme

à quelqu'un --Le malheur des uns fait le bonheur des autres -Satisfaction morale durable -->Satisfaction des besoins, des désirs -->Idéal à atteindre Sentiment joie plaisir liberté Malheur tristesse souffrance La vie heureuse est la finalité e l'homme. Présupposés: -L'homme veut être heureux/ il est difficile de définir le bonheur: Le bonheur--->Subjectif, pas objectif. Paradoxe: -Comment être heureux si on ne peut définir le bonheur. -L'homme veut une vie heureuse MAIS le bonheur

(au sens du libre-arbitre). Cf. dernière partie. On peut aussi, toujours dans une perspective épicurienne, comprendre la liberté comme indépendance, autarcie : cette fois, nous voulons devenir libres, à l’égard de nos désirs, de nos passions, du hasard et du monde extérieur, parce que c’est un moyen pour l’ataraxie. -La liberté, comme libre-arbitre, est une condition nécessaire de la responsabilité, donc du caractère juste de la punition. Nous voulons être libres, car sinon aucune morale, ni aucune

affirmer que l'histoire ne pouvait évoluer autrement qu'elle ne l'a fait ? (Cf. Chapitre II, 2ème partie, cinquième point). - Enfin, les philosophies de l'histoire se sont surtout heurtées au problème de l'action des hommes dans l'histoire. Le déterminisme qu'il les sous-tend, conduit, en effet, à comprendre de façon singulière la signification. Certes, ce sont les hommes qui font l'histoire mais sans savoir l'histoire qu'ils font et dont le sens leur échappe. Les passions (Amour, gloire, jalousie)